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RECHERCHE ÉDITEUR POÉSIES * Janv 2008 Marc cantin

#1

La solitude est, un crie, sans échos à la montagne ou les fleurs deviennent vents sans parfums aux saisons du temps
La solitude est un soleil au gaz qui brule l’espoir la vie sans horizon au foret de sa lune
La solitude est une main sans doigts, sans direction au majeur de son cœur
La solitude est une peau ou la chaire de ses battements devient frisson au sang de ses os
La solitude est un verbe qui se compose au futur de son passé, dans l’oublie de ses écrits
La solitude est un corps ou la larme devient pleurs sans heures à son temps
La solitude est une jambe sans pied à son chemin ou la route en devient roche à ses mains
La solitude est une rage qui nait au son de l’angoisse, dans les jugements aux phrases qui en partagent ses conjugaisons, seul sans mots à son livre de sa vie, qui tourne les pages de son temps
La solitude est une étoile naine au vœu d'une galaxie dans l'oublie de son sonar
La solitude est un enfant aux yeux de Dieu, qui s’enveloppent dans le fœtus sans souvenir au sein de la vierge, ou résonne la mémoire du bonheur de sa mère, au sol de son père, sans sourire aux lèvres qui en bouche le baiser de son bien
La solitude est une musique, sans notes à son harmonie, ou les danses deviennent des slows, qui entrelacent le miroir de son être sur le plancher de ses souffrances, au mur de son martyr, sans paroles aux souliers de ses souvenirs
La solitude est un soldat sans drapeau à la liberté de sa terre, ou la vision en reste seule à son fusil, qui sans nuit a l'ombre de ces balles, dans les cillements des bombes qui en guide la mort aux sommeils des photos dans l’angoisse de ses pixels, aux couleurs d’or, dans les chemins qui en traces les empreintes des angoisses de la folie, dans les envies des peurs, ou tremble le bonheur dans l’arme de sa liberté sans famille a la route qui en vagues les cauchemars de ses nuits
La solitude est le sage de la vieillisse, qui en oublie la mémoire de sa jeunesse
La solitude est la carte du joker, sans as à sa table, ou des invités deviennent ombres à la chaise de son jeu
La solitude est un cocon, sans épanouissement à son papillon, qui vole sans ailes à son ciel
La solitude est une terre, sans jardin à sa récolte, qui en nourrit l’envie de l’arbre de son fruit des souvenirs sans semence à ses récoltes
La solitude est l’amour, sans partage aux échos de son corps, qui en blesse les sentiments de son être aimé, ou brule l’avoir dans son reflet au désespoir qui en perd l'espoir du diamant de son cœur
La solitude est une itinérance sans chemins, au don des gens qui en cultivent les trottoirs de son toit, dans la senteur de son goudron, sans neiges gel son l'hiver de ses saisons aux printemps des vents de ses feuilles qui deviennent l’arbre de sa racine, perdue dans l'écorce de ses cultures au mal de l'arthrite de ses mains qui en perdent le collage de son jour qui réchauffe l'esprit de son jour, sans mains aux doigts de son gobelet, vide a la pauvreté de sa rue sans foyer la buche qui en réchauffe l’argent de sa liberté
La solitude de l'amour est une frontière de la détresse, qui en appelle la décomposition de son âme au senti des pleurs, seul à l'arme de son âme
La solitude dort seule sans âmes sur peau qui réchauffe la confiance de ses mains. Entrelacées dans l'ombre de ses draps qui recouvrent l'enfant de sa moisson dans les vagues de sa mer, qui s'endort dans l'espoir de son imaginaire, perdu dans les réconforts dans sa position, qui en plisse les sirènes de ses souvenirs, sans jouissances dans l’oublie de son lit. Naissent les fantômes qui s'entrecroisent dans la mémoire du cerveau sans repos dans les chemins aux évasions de ses rêves d'or dans le médium qui guide l'astral de ces lunes qui éclairent les vœux, ou naissent les esprits des désirs dans l’arc-en-ciel aux couleurs de l'artiste qui en peint la toile de son cœur dans l'évasion de sa création au seuil de son tableau qui en cadre la toile au mur des Lamentations sans paroles de sa demeure dans la liberté de ses valeurs
Droit auteur composé par Marc Cantin 2008-01-23 3 h 37 min 42 s
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La mémoire est un souvenir oublié, dans un temps sans seconde à la minute de notre passé, ou les heures du tic tac en berce les chants aux cheveux d’or qui dorment dans les souvenirs des paroles qui résonnent les pleurent dans les angoisses de la pellicule de son être aux croisées des chemins de ses souvenirs
La mémoire est un souvenir oublié, aux sons de la note des chansons qui empruntent le hasard des routes dans les chemins de sa direction, sans refrain au soleil de l'espoir qui berce les lunes de la naissance, dans l'atome de son corps perdu dans l'enveloppe de l'esprit de son étoile sur un vœu égaré dans les larmes du cristal
La mémoire est un souvenir oublié, ou frissonnent les vents des nuages qui marchent sans l’ombre de son amitié sans reflet au miroir de son identité qui se nomme Aïzaïmer qui en trace les routes des anges sans cellules aux souvenirs des gens, perdus dans la douceur qui en préserve les sentiments de mon cœur
La mémoire est un souvenir oublié, aux chemins de Dieu sans nom à la croix qui en fera la liberté de sa joie
La mémoire est un souvenir oublié qui dort aux pieds du lit, sans rêves à ses désirs dans les draps de sa maladie, ou les os des maux de son corps en oublient les souffrances de l’enfance dans les textes de sa solitude qui en décompose la racine de son bien
La mémoire est un souvenir oublié qui s'entrelace dans les mains d'un baiser sans pétales aux champs des fleurs qui épanouissaient le velours de la paume de son amitié dans un sommeil sans réveil, ou dérive le ruisseau aux chants des oiseaux qui s’envolent dans les saisons pour un voyage sans directions
La mémoire est un souvenir oublié qui devient pôle sans nord à l’or de son cœur qui appelle les mots de la mort sans souffrances à l’oreiller de son sommeil, ou dort le parfum de ses sentiments
La mémoire est un souvenir oublié qui danse seul aux chemins des temps sans réalité aux pas de son écho, qui devient sans mer aux vagues du courage sans rages dans les tempêtes de son toit
La mémoire est un souvenir oublié dans la douceur de son bouddhisme aux souvenirs de la tendresse de son enfance qui en perd le réconfort de sa cote d’Adam
La mémoire est un souvenir oublié aux Tam Tam des échos des montagnes où se trouve la vision de l’esprit de ton âme,
La mémoire est un souvenir oublié dans les poussières de son horizon, où se trouve la galaxie des vœux de sa naissance
Droit auteur composé par Marc Cantin 2008-01-18 4 h 23 min 45 s
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La guerre des gazes sans horizons aux pas des silences qui en décomposent les corps sans balles a mon gouvernement aux pieds des drapeaux sans liberté à l'étoile des sentiments.
Chemins sans jambes aux fusils qui en perdent l’étoilent de leurs libertés, où résonnent les crient des pleurs sans échos aux cœurs perdus dans le sable sans balances aux ignorants des jugements des politiques dans les croix des religions
Dans l'air du temps aux bottes qui en tracent la senteur du pétrole de leurs pas dans l'empreinte des chemins des âmes perdues aux masques de leurs cauchemars, qui en brulent les yeux de leurs horizons
Dans l’illusion de leurs photos qui frotte leurs fusils dans la brillance de leurs nuits camouflées comme un voleur qui attend la lueur de son tueur aux sons des viols de leurs sœurs
Aux nuits des eaux, coulent le sang des chagrins perdus aux échos des montagnes sans vagues à la mer de leurs enfances aux souvenirs des saints perdus
Dans la mire qui en tue l’Être de son ombre, les routes deviendront éphémères dans les champs des fleurs aux cultures des pilules des effets secondaires dans les cauchemars des émotions de leurs mères, sans pères aux pleurs de leurs balles
Dans leurs camouflages des racines au sol de leurs frères en oublient l’humain de leurs cœurs dans les rages qui partagent l’animal sans nom, à la liberté de leurs enfants qui crèvent dans les moissons de leurs bombes
Souffrances qui brillent aux étoiles des voeux sans mérites aux grades de leurs saluts aux grades des corbeaux de leurs lieutenants aux ordres des habits sans frontières aux couleurs de leurs pays dans la langue sans respect pour leurs terres dans l'écho de la pandémie des innocents qui couleront aux ruisseaux sans rives dans la couleur rouge de leurs libertés sans paix dans la fierté de leurs saluts, ou or de leurs argents sans valeurs des récoltes aux blés de leurs ors des humains à la fosse des chemins
Route des esprits des zombies dans la puanteur des morts dans les sommeils aux corps en décomposition sans choix de liberté des pauvres qui en reste sourde aux mains des symboles.
Aux chemins de la balle de Juda, sans avertissement au dos des silences de la mort en reprend la racine de l'humain sans enveloppe au timbre de la vie dans l'or des corps dénudés.
Sans paroles s'envole la bête du courage qui brille encore dans la lumière de l'esprit qui tremble en travers les chaines de la prison son être.
Aux sons des os les fantômes en deviennent des humains oubliés, sans justices aux frères de leurs de pain, dans des larmes sans semences au respect de la vie
À la croix rouge de mon cœur, je te laisse une balle blanche au son de la liberté sans blessures au soleil qui réchauffe les souvenirs de ma main ou se repose la paix de l'amitié
Droit auteur composé par Marc Cantin 2008-01-18 5 h 41 min 47 s
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Les mots sont au texte qui en livre le livre de ma vie dans sa couverture qui en console sont histoire sans temps présent
Au son de ces pages tourne le passé de mon être dans la solitude de ces phrases qui en oublie l’être de mon âme
Dans la composition de son avoir au temps des lectures j’écris avec la main de la rose pour ne pas oublier les pétales de sa douceur qui s’envole aux vents des oubliés
Avec la montagne de mes rêves j’y grave l’amour dans la foret de son cœur, au son de son écho la mer qui me prête son ruisseau pour que la rive me berce au berceau qui enveloppe la tendresse dans la plume de ma poésie, ou l’encre coule a l’eau de ma chair, pour y mouiller la peau de ma jouissance comme un dauphin qui nage dans le destin des humains sans vagues a l’océan, je m’endors au blues de mon arc-en — ciel
Seul à l’ombre de mon cœur apparait le fantôme de mes désirs, qui s’assoit sur les fleurs de sa soie, pour y partager les champs des parfums dans les tulipes qui s’épanouissent aux rêves de mon senti aux sentiments de son sang, dans la soif de la vie de son chemin sans route pour y partager ses mains
Dans la bibliothèque des Dieux perdus meurt la vierge de mon amour sans ailes aux anges de mes religions qui deviennent corps du pape de ma croix dans les lourdeurs de mes heures qui angoisse le temps du Christ de mes pleures, ou les larmes en restent sans alarmes dans l’autrui de ma demeure
Aux champs de la moisson de ma culture qui en fourche les crient de mon espoir au blé de son or je m’envole seul aux cieux de mes rêves pour me soulager de mes souliers aux lacets perdus sans nœud au cordon ombilical, ou mon esprit entends l’enfant en moi qui m’appelle dans la voix de ses rires pour me prendre dans ses bras de ses souvenirs, ou il me prête le nombril de sa vie dans le plasma qui écume la sécurité de ma naissance dans le ventre d’un amour sans texte aux écrits de la parole des jugements qui s'épanouit sur l'enveloppe de mon âme dans les yeux au bleu de l'innocence qui devient invisible sur le regard de la guerre des mots de l’épée de mon roi qui en pointe le placenta de mon cœur au sang du diamant qui brille dans le repos de la couronne de la paix de ma reine ou je m'endors nu comme un chevalier aux chants de sa harpe qui en corde mon corps aux sentiments de sa douceur.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-13 19 h 7 min 11 s
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Le crayon de mes mots glisse aux sons de mon texte sans verbes aux phares de ma vie.
Dans les échos de ses pages se glisse l’auteur de ma couverture sans fin à son histoire dans les paroles du silence qui balance les pensées des jugements des mots sans texte aux pages de l’écho de ces conjugaisons, aux verbes des cultures d’un temps oublié qui en forme le roman de son cœur.
Aux yeux des lecteurs nait l'histoire des chemins des étoiles aux écrits des mémoires qui s’endorment dans les nuits des vœux pour y former l’espoir d’une langue sans temps aux goûts des fleurs dans la solitude de sa lecture qui envahit son corps dans l’astre de son roman.
Assis sur la route qui en forme les chemins aux rêves des châteaux dans les lectures de son imaginaire ou volent les anges dans le royaume des cieux qui en trace l'étoile de ses saisons aux souvenirs sans nuages sur les baisers de sa chair qui éclair les diamants dans la lune de son temps.
Dans l’ombre de son corps ou les forêts sans branches aux chants des racines dans les saisons des tempêtes ou coule les ruisseaux de son or aux feuilles de ses saisons dans les silences de ses heures qui en guide la jouissance de sa rose aux désirs qui envahit le parfum de son temps dans l'horizon sans jours de ses nuits qui embrouille les lignes de sa vie.
Aux doigts de sa poésie dans les chemins de l'écriture de son texte qui en décompose les pages de ses mots dans la chaleur du soleil de sa liberté qui deviendra bulle de son air dans le chagrin des intrigues du cadran de son réveil.
Couché dans les draps de son lit qui enveloppe le blizzard de la brume dans les plis de l'éveil d'une étoile s’épanouit l’amour au pied du verbe de sa montagne qui en forme l’emprunte de son chemin au chevet du nord de sa boussole.
Dans l’esprit ou récolte les semences de son jardin qui en devient cultures de sa lecture dans l’avoir d’un appétit sans fin aux repas de sa table s’ouvre la fenêtre de son hôte qui attend l’invité de son fruit dans le vent de son bonheur au foyer sans buche qui réchauffe le corps de son âme qui s’embraye dans pétillement son être entrelacé au je de son texte.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-11 23 h 27 min 13 s
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J’ai soif de l’envie d’aimer, je Crystal au reflet de ta rive comme un verre d’eau ou or est en deviens image de ton corps je bois la goutte de ton âme sur ma langue qui me donne goût de toi
Je glisse l’eau de mon verre qui coule dans mon corps qui mouille mes lèvres au plaisir de te déguster dans la réalité du temps, tu deviens santé de mon sourire
Aux avoirs de mes souvenirs tes rêves traverse les artères de mon corps, qui en vaines le sang a la mémoire de ton nom et mon ventre gargouille du manque de ta présence ou ma peau deviens sèche, car tu en étais l’oxygène de son gène sans gène je rougi aux velours de tes yeux qui me donnais espoir aux chemins de ma main, je pointe une étoile avec mon doigt pour que le nord de ton être me revienne dans la direction de mon bonheur
Sans lendemain avec toi, je dors sans rêves aux couleurs de ma route dans l’arbre de mon âme qui perd l’horizon de ses feuilles, car tu en étais le parfum de sa fleur, dans l’engrain de sa force qui épanouissait le velours de ses pétales, je suis déraciné d’être humain sans la jouissance de tes cries qui dansaient comme un animal dans la lune de mes vœux
À l’ombre de ton corps j’avais une œuvre à admirer au tableau de ma vie qui donnait une valeur, a mon cœur, sans le toit de ton toi mon vous est seul a son tu qui en tue ses pleures
Dans l’espoir de mon fruit redonne-moi le croc de ta pomme pour déguster ta chaire dans la peau, qui glisse à la faim de mon appétit le goût dans ma bouche qui papille le repas de ma vie
Si chère au besoin de mon être je te laisse le seuil de mes rêves à toi d’en faire ma réalité dans égo de mon espoir je crois en toi Amour qui en soif le verbe de mes poésies
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-07 23 h 23 min 3 s
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La larme coule en silence dans les émotions de mes maux de mes rires qui transperce la rive de mon corps sur la peau qui en frissonne mes sentiments ou coule la chair de mes souvenirs, aux sons de son angoisse
Je pleure aux silences de mon cœur dans le battement de sa vie, qui m’appelle vers la mort de ma fleur aux parfums des vents, où je demeure invisible dans la peine de son champ dans le blé de mes saisons perdue, je m’envole aux désirs des anges sans ailes aux chaines de mes pieds, ou je marche dans les nuages dans l’atome de mon âme
Dans l’endorphine de son bien je m’endors dans le sommeil de mon temps, ou je me réchauffe aux rêves de mon espoir sans échos a ma solitude dans la caverne de mon je, qui en grave les hiéroglyphes de ma mémoire comme un parchemin sans écrits a mon temps
Aux pierres des pyramides dans le Dieu de Shou, je reste à genou aux ruisseaux de mes échos qui attendent la mer de sa liberté vers le père de son ciel dans la terre de son chagrin ou en récoltes l’engrain de sa racine seul à la fourche de ma route les esprits en cultivent les peurs aux cratères de mes mains, sans lendemain au levé de son pain je bois sans bouteilles au vin pour en dégustes la joie de son amitié qui me colle au palais de mon roi, dans l’or de sa couronne aux épines de lys pour y protéger mon amour perdu au sang de Graal, Lucifer en partage mon dos dans la cote d’Adam, aux voix des ignorants les jugements me volent l’émeraude de mon cœur
Aux souvenirs de Ève je reste la pomme de son pécher comme un pêcheur qui voit le reflet de sa faim sans famille aux photos qui en mur le cadre de sa survie, ou brûle le feu de mes pixels qui en consume le gaz de mon être, sans effet de serre disparait la zone de mon amour dans les noirceurs de mes nuits ou brilleront les étoiles dans les noms des sans aimer aux forment des visages l’innocence en traine leurs voix dans les croix aux vœux des miracles
À l’ombre des apôtres je voudrais être hôte au Christ de ta religion pour sentir la paix d’un chemin dans les parchemins ou tourne les pages qui en partagent la coupe de ton calice
J’épanouis mes bras aux crient de ton salut sur le bonheur de l’amour, au senti des montages, je te laisse la poésie dans l’écho de mes mots aux textes de la douceur de mes écrits, pour y graver avec tendresses ton nom à mes heures sans cadran au temps du verbe, aimer.
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-05 3 h 58 min 22 s
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Mon corps est assis dans une valise ou le voyage devient éternel aux larmes de ma pognée
Dans un ciel, ou pleures les jugements de l’ignorance, vole au-dessus des nuages la bêtise de l’homme, sans ombres a sa lune, ou gronde le tonnerre du mal, dans la pluie qui coule sur la terre des morts, sans croix a la surdose du destin qui en reste le festin de l’envie, sans doses aux bras de sa sereine, les crient des illusions embrouille sa guerre aux croix de sa liberté, dans sa vision du phénomène l’endorphine de mon bien qui en perd ses couleurs dans la paix qui m’endort au sein de ma mère
Aux gris de mon sol, les volcans en déracinent l’arbre de mes écrits de mon père, dans les laves de mon sommeil qui envahit le sang de mon cœur, sans souvenir aux reliefs terrestres de mon enfance
La chaleur de ma terre me parle aux nuits de mon cocon, qui brûle l’enveloppe de ses rêves, aux cendres de ses désirs, a la main sans boussole au nord de mon amour je reste seul a mon rocher, dans la froideur de son glaive comme une l'épée Celtibère qui attend la puissance, pour y couvrir ses blessures dans la cape de son Dieu
Droit d'auteur composé par Marc Cantin 2008-01-01 4 h 25 min 13 s
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