Seule dans le matin,
Le coeur à la traîne,
Rêveuse je me promène,
Avec une pensée, toujours la même,
Qui me suit, qui m'entraîne.
Tu m'aimes et pourtant tu me fais souffrir
Tu es ma joie, mon bonheur, Mon souvenir
Mais aussi ma peine et mon malheur.
Quand, parfois
Brisant nette mon ardeur
D'une flèche amère,
Me meurtrissant le coeur,
Tu m'entraînes dans un abime de pleurs...
Le coeur à la traîne,
Rêveuse je me promène,
Avec une pensée, toujours la même,
Qui me suit, qui m'entraîne.
Tu m'aimes et pourtant tu me fais souffrir
Tu es ma joie, mon bonheur, Mon souvenir
Mais aussi ma peine et mon malheur.
Quand, parfois
Brisant nette mon ardeur
D'une flèche amère,
Me meurtrissant le coeur,
Tu m'entraînes dans un abime de pleurs...