Pour certains Hauts Alpins,
Mais qu'est ce que vous avez, à tant nous reprocher ?
qu'est ce que nous avons fait, pour si peu de respect ?
Vous êtes des archaïques, de vos niaises pensées.
Vous vivez enfermé, dans vos peurs refoulées,
vous êtes soupçonneux, à tous les étrangers.
Je ne vous demande pas, de me lécher les pieds,
simplement d'arrêter, de pourrir mes journées,
par votre manque de respect, par vos gestes grimacier ,
vos questions doucereuses, vos allusions douteuses.
Je ne suis pas canaille, je ne suis pas vaurienne.
Je ne suis qu'une mère, tailladée par la vie,
qui aspire à trouver, paix et sérénité,
dans cet endroit paisible, sans ce faire emmerder.
Alors je vous en prie, saisissez bien ceci,
les montagnes se prosternent devant l'humanité,
elles offrent leur prestige, à ceux qui apprécies,
pouvoir les contempler, sans, ce les approprier.
Ces paysages paisibles, ne vous appartiennent pas,
il faut l'assimiler , dans votre esprit muré,
cette terre vous a vu naître, elle façonne les miens.
Tu n'as jamais marché, plus loin que tes planchers
ta peur elle est basée, sur l'actualité,
qui te rend médisant, à quelques espérances.
Vos manières me blessent, me déplaisent, me révoltent.
C'est pour ça, qu'aujourd'hui je n'aspire qu'à ma vie,
je préféré contempler, mon aubaine, récoltée.
Je ne veux plus tonner, je ne veux plus gronder,
tes gestes sont inférieurs, à ma moralité.
Vous êtes calomnieux, envieux, et vaniteux,
vous me sortez des yeux, je conserve l'idée,
qu'un jour votre idiotie, vous en fera crever !
A toi, paysans des montagnes.