Il s'enfuit dés l'automne
Alors que tout dort.
Tient sur l'épaule, canne et baluchon
Comme le font les vagabonds.
Son chemin lui est ignoré
Mais il connait les routes empruntées.
Quand, fatigué, il décide pour arrêt
Une rivière, une soudaine énergie apparaît.
Les lignes de l'eau, détendu
Sur un point d'herbe tondu
Il guète une touche, futur trophé
Qui lui fera croire à la victoire de la journée.
Mais inlassablement il attend
Toure la journée durand.
La nuit approche, éreinté
Il repart, mais non découragé.
Alors que tout dort.
Tient sur l'épaule, canne et baluchon
Comme le font les vagabonds.
Son chemin lui est ignoré
Mais il connait les routes empruntées.
Quand, fatigué, il décide pour arrêt
Une rivière, une soudaine énergie apparaît.
Les lignes de l'eau, détendu
Sur un point d'herbe tondu
Il guète une touche, futur trophé
Qui lui fera croire à la victoire de la journée.
Mais inlassablement il attend
Toure la journée durand.
La nuit approche, éreinté
Il repart, mais non découragé.