Hors concours
Partis au ciel...
Ô ciel, abritant ceux qui m'ont aimé
Peut-être perdus en d'autres univers...
Qui ont franchi le "sentier des loups"
Cette multitude d'étoiles en rivières...
Si loin...où se cachent les dieux ailés,
Tu observes nos écarts les plus fous...
Tapis sont nos pères dans les nuages,
Âmes peuplant la divine stratosphère,
Eaux claires, translucides et légères...
Qui parcourent à la vitesse-lumière,
Ce bleu céleste sans aucune frontière,
Et révélateur de bien des messages...
Ciel bienveillant éclaboussé de soleil,
Mécontent, tu nous assailles d'éclairs...
Ou nous envoies tes plumes blanches...
Tu parles à nos cœurs vivant en enfer,
Tel un baume sur nos âmes en transes,
Éveilles aussi le démon qui sommeille...
Il paraît qu'il existe cet éden en fleurs,
Où l'aigle noir et la fragile colombe,
Planent ensemble sur les vents alizés...
Ô ciel, lorsque tu déploies tes nuées,
Tu apaises l'angoisse de notre monde,
Es annonciateur d'espérance et de vie...
Ô ciel, abritant ceux qui m'ont aimé
Peut-être perdus en d'autres univers...
Qui ont franchi le "sentier des loups"
Cette multitude d'étoiles en rivières...
Si loin...où se cachent les dieux ailés,
Tu observes nos écarts les plus fous...
Tapis sont nos pères dans les nuages,
Âmes peuplant la divine stratosphère,
Eaux claires, translucides et légères...
Qui parcourent à la vitesse-lumière,
Ce bleu céleste sans aucune frontière,
Et révélateur de bien des messages...
Ciel bienveillant éclaboussé de soleil,
Mécontent, tu nous assailles d'éclairs...
Ou nous envoies tes plumes blanches...
Tu parles à nos cœurs vivant en enfer,
Tel un baume sur nos âmes en transes,
Éveilles aussi le démon qui sommeille...
Il paraît qu'il existe cet éden en fleurs,
Où l'aigle noir et la fragile colombe,
Planent ensemble sur les vents alizés...
Ô ciel, lorsque tu déploies tes nuées,
Tu apaises l'angoisse de notre monde,
Es annonciateur d'espérance et de vie...
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