écrit pour le concours "une chanson pour votre maman"
(j'ai rajouté un dernier couplet )
Parfois le soir je te revois,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,
Tu as vécu ta vie de cendrillon,
Et ton prince charmant un ouvrier, un communiste, sans autre ambition,
Que de porter l'amour en religion,
Et de faire de sa famille, sa nation
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,
Tu me disais que sur une île lointaine, ta mère était une princesse,
Ho ! Tu aurais bien pu être une marquise, une comtesse,
Et mon père lui roulait en 2cv, non pas en Mercedes,
Oui, mais pour moi de l'Olympe tous ça valait bien toutes les déesses,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,
Tu étais là en tablier derrière tes fourneaux,
Et mon vieux dans un fauteuil lisait les journaux,
Moi je dessinais des bateaux qui partaient aux quatre points cardinaux,
Quand mes sister écoutaient encore à la radio leurs idoles ou sur un phono,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois
Dans ton petit jardin tu arrosais les fleurs,
Papa après une dure journée de labeur piochait ses salades en pleine chaleur,
Quand pour moi m'écorcher le genou était mon seul malheur,
Vous nous avez appris à moi et mes sœurs qu'à tout l'or du monde la vie à bien d'autres valeurs,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois
Tu as retrouvé la tienne la haut au bout de l'aventure,
Toi padre au paradis tu ne croyais pas, ton étoile rouge est tombée en déconfiture,
Voyez votre fils est un poète, un artiste qui n'oublie pas la peinture,
Et vos filles devenues grand-mère, regardent grandir les générations futur,
(j'ai rajouté un dernier couplet )
Parfois le soir je te revois,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,
Tu as vécu ta vie de cendrillon,
Et ton prince charmant un ouvrier, un communiste, sans autre ambition,
Que de porter l'amour en religion,
Et de faire de sa famille, sa nation
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,
Tu me disais que sur une île lointaine, ta mère était une princesse,
Ho ! Tu aurais bien pu être une marquise, une comtesse,
Et mon père lui roulait en 2cv, non pas en Mercedes,
Oui, mais pour moi de l'Olympe tous ça valait bien toutes les déesses,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois,
Tu étais là en tablier derrière tes fourneaux,
Et mon vieux dans un fauteuil lisait les journaux,
Moi je dessinais des bateaux qui partaient aux quatre points cardinaux,
Quand mes sister écoutaient encore à la radio leurs idoles ou sur un phono,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois
Dans ton petit jardin tu arrosais les fleurs,
Papa après une dure journée de labeur piochait ses salades en pleine chaleur,
Quand pour moi m'écorcher le genou était mon seul malheur,
Vous nous avez appris à moi et mes sœurs qu'à tout l'or du monde la vie à bien d'autres valeurs,
Ho ! Maman maman, entends, entends ma voix,
Et parfois le soir je te revois
Tu as retrouvé la tienne la haut au bout de l'aventure,
Toi padre au paradis tu ne croyais pas, ton étoile rouge est tombée en déconfiture,
Voyez votre fils est un poète, un artiste qui n'oublie pas la peinture,
Et vos filles devenues grand-mère, regardent grandir les générations futur,
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