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Paréidolie

biolive14

Poète libéré
#1
- Je me surprend toujours, à regarder en face,
des gens sans contours, dans un flou qui m'agace.
- Deviner des ganaches, saisir les crevasses,
de ma rétine sans taches, du visage lire les traces.

- L'autre est un langage, mais sans vocabulaire,
Tout se passe dans les nuages, dissimulé derrière.
- Cumulus maudit, laisse moi donc voir le spectre,
d'un arc en ciel de midi, même volé a la fenêtre.

- Comment deviner, les énigmes de la prose,
quand la poésie devient, le seul cri qui s'impose ?
- Un anglais à New-York, des différences les opposent,
mais ... ici ou là-bas, c'est la même langue qu'on cause !

- A force de plisser, j'aurai besoin de lunettes,
pour éviter de glisser, d'embrasser les pâquerettes.
- L'alarme me préviens, que j'arrive sur le seuil,
que si du drame je ne reviens, j'aurai la larme à l'oeil.

Le sourire sur ta bouche, c'est le seul mot que j'ai retenu,
Qu'on me foudroie si je louche, il valait le coup d’être vécu !

O.