La cousine du brigadier arrivait enfin sur la commune dont le ciel était surchargé d'un épais brouillard de couleur mauve.
- Regarde, qu'est-ce que c'est que ça à ton avis.
- Hé bien, je n'en sais rien ma cousine, j'espère que ce n'est pas un coup de cheveu bleu qui essaie de faire cuire des cordons-bleus avec du gasoil.
- Pourquoi ferait-il une chose pareille. Non la fumée ne vient pas de l'épicerie, mais de beaucoup plus haut. Qu'est-ce que je fais ?
- Écoute, j'irai voir le cheveu après, emmène moi là-bas, je pense que ça vient du terrain de capot blanc.
- C'est qui capot blanc ?
- C'est le maître de Pépère et il est en infraction de capot blanc.
- Ha bon, mais qu'est-ce que ça fait que le capot soit blanc.
- Hé bien, ça fait que les autres automobilistes sont perturbé par ce capot sur une voiture grise et rouge alors ils risquent l'accident. En plus, l'homme est soupçonné d'être un extra-terrestre comme son chat.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire ça. Mais pourquoi garde-t-il ce capot blanc ?
Comment ça un extraterrestre, il n'y en a pas sur terre.
- Le capot blanc et le toit rouge sont là pour rappeler aux autres son penchant. Oui, rouge, blanc en plus des fleurs dans sa voiture dont certaines sont jaunes. C'est la couleur du vin Sancerre le jaune, tu comprends maintenant. Dès qu'il arrive quelque part, les ivrognes voient rouge blanc et pensent au vin et le retrouvent au bistrot. Oui, il y a des extraterrestres sur terre. Il y a aussi des chats Android dont est soupçonné de faire partie Pépère et sa minette Ainos qui est actuellement recherchée par le FBI. Peut-être ne le sais-tu pas, mais le capot blanc est sous le coup d'une enquête et il est soupçonné d'avoir plus de mille ans.
Tiens, regarde au bout de la rue, les Américains sont en pleine agitation. Ça vient de chez capot blanc, ton compte est bon mon gaillard.
Le pauvre Momo qui était resté sur la fenêtre pour observer l'homme démontant son mur avait assisté au changement de couleur du ciel. Il avait ensuite aperçu la fumée et maintenant, il était inquiet pour son maître. C'est donc avec insistance qu'il avait réclamé la porte.
La cousine du brigadier qui n'était pas trop mariée avec le code de la route, était passée à une vitesse hallucinante au ras des moustaches du pauvre Momo qui attendait pour traverser.
- Qu'est-ce que c'est encore que ce bolide sur nos sentes sinueuses. Je n'en crois pas mes moustaches, la drôlesse roulât au moins à plus de cent à l'heure. Cela est extrêmement inquiétant pour l'avenir des miens, s'ils se promènent durant que ce danger sillonne les routes de notre commune. Il m'a semble-t-il et je ne rêve point, avoir vu un gendarme à côté d'elle. Assurément, je ne vois qu'une chose possible, la drôlesse est alcoolisée et le gendarme à dû se faire kidnapper. Diantre, mais qu'est-ce que c'est que cette fumée au-dessus du champ à Cookie. Il y a le feu chez mon maître ou quoi. Dussé-je croire qu'il serait un effet du diable de Pépère qui ait fait une pitrerie et enflammé la cabane. Morbleu, j'entends Cookie appeler à l'aide, mais quelle est cette foire d'empoigne à ciel ouvert.
Pendant que Momo avançait à pas mesurés dans l'épaisse fumée le brigadier était en pleine agitation devant les Américains qui essayaient vainement d'éteindre la parabole en feu. Il était déçu que ce ne soit pas capot blanc.
Pendant ce temps-là, les quatre malfrats qui s'étaient évadés du commissariat de Sancoins avançaient vers Mornay. Ils arrivaient sur le général qui était au milieu de la route essayant de vouloir ralentir cette providence qui tombait du ciel. Mais la voiture qui était devant lui n'était pas conduite des fonctionnaires de l'autorité publique. Il agitait les bras autant qu'il le pouvait et quand il comprit que le véhicule arrivait trop vite pour s'arrêter, il se balança dans le fossé qui bordait la nationale.
Le pauvre ressortit du fossé complètement trempé et couvert de vase et de feuilles pourries.
Il était hors de lui et ne savait plus quoi en penser.
- Incroyable, la gendarmerie qui est sous mes ordres qui essaie d'écraser le général des armées internationales. C'est insensée cette histoire, quand on pense que je viens juste d'être greffé d'une jambe amputée par eux même. Attendez de revenir par là et je vous colle du bouton rouge à perpétuité et deux cent chaises électriques à perpétuité avec un sursis de mille ans.
Dans la Dacia, Arôme, qui était au volant, était fou de joie. Flan qui était à côté de lui était stupéfait. Cécilia et Ragoût, qui étaient à l'arrière, étaient en train de visionner une vidéo sur YouTube et ne s'étaient rendu compte de rien.
- Tu as failli tuer un chef d'état, tu y vas fort quand même.
- Un chef d'état où ça ?
- Le militaire sur la route, c'était Tromp, il va voir la Macronie qui est à côté. Tu ne l'as pas reconnu au comico !
- Tu es vraiment doué pour reconnaître les gens autant que pour le pilotage. Mais que fait-il ici, Tromp ?
- C'est normal, avant je dealais de la drogue alors je devais être réactif en voiture pour éviter les condés. Il est là pour un complot, un de plus après le sel.
- Ha, bon, tu as vendu de la drogue, mais qu'est-ce que c'est cette histoire de sel et ce complot.
- Oui, Flan, je vendais du rêve et on m'a mis en prison pour ça, je ne lâche rien, ah où ah où. Hé bien le sel que Macron faisait vendre en supermarché. En fait, c'était des bactéries en poudres pour empoisonner les pauvres et qu'ils ne restent que des riches. C'est un homme qui a fait découvrir la combine et l'a dénoncé à la télé devant le Douadouart Lafitte. Sa pauvre voisine n'avait plus de sel, et il l'avait dépanné, c'est ainsi que tous les deux se sont retrouvé avec un rétrécissement de la langue les empêchant de parler. Après analyse, ils se sont rendus compte que le sel de la femme était des bactérie en poudre sensées la tuer et pour l'empêcher de se plaindre des douleurs, la langue était rétrécie par la bactérie. Maintenant, c'est Tromp qui a décidé de donner de l'argent à Macron pour fabriquer des gilets jaunes avec du tissu faits de farine du virus d'ébolas, voilà la vérité du complot, on ne lâche rien ah où ah où.
Chatdore dans la cabane à Cookie avait tout entendu de la conversation entre le brigadier et les Américains. Il envoya un message à Pépère qui était arrêté à deux cents mètres du général.
Le Pépère consulta son SMS et regardant Saturne lui dis, nous faisons demi-tour.
- Pourquoi, faisons nous demi-tour mon frérot ?
- Hé, bien figure toi, que ce n'est pas mon Israélien fabriquant de bière nucléaire corse qui est responsable de l'asphyxie de Mornay mais les américains qui ont essayé d'empoisonner ma copine Cookie. Chatdore leur donne une bonne correction actuellement. Je dois me dépêcher de ramener cette belle seize soupapes avant que l'autre ne sorte du bistro. Il devait être en être à la toilette et le bougre est tellement morfale qu'il a dû manger la savonnette des toilettes et il attendait de ne plus faire de bulles le bougre.
Le Pépère fit demi-tour et fit ronfler le moteur à en exploser l'embrayage. Le pauvre Saturne voyait l'aiguille du compteur dépasser les cent quatre-vingts alors qu'il était à cent mètres du stop de l'entrée de la ville.
- Pépère, nous allons tous mourir nous autres, vite freine, maman moi peur, maman moi peur.
Le Pépère nullement affolé donna un violent coup de frein qui déclencha l'ABS qui faisait clac clac au rythme des ses Nike qui étaient sur la pédale de frein.
- Arrête, nous allons tous mourir nous autres !
Le Pépère les deux pattes sur le frein s'arrêta pile-poil sur la bande.
- Quelle puissance de frein cette voiture, super cool, aussi puissante que ma voiture. Oui, Saturne nous sommes pressés, si l'autre sort du bar, il va aller prévenir ma love saucissons et nous risquons d'avoir les gendarmes vers le canal pour le peu qu'elle pense que c'est un coup de Pêcheur ou Coin-coin mes deux coéquipiers à ailes. Tu sais complètement cramé, voler pour elle peut vouloir dire canard ou héron ne sait-on jamais.
- Tu crois mon Frérot, c'est quand même énorme.
- Hé bien, détrompe-toi, une fois ma love maîtresse m'a fait mettre du vin dans un moteur à la place de l'huile et je me suis retrouvé avec le harnais alors ne sait-on jamais.
- Ha bon, comment ça s'est passé ?
- Hé bien voilà, mon père cirrhose pour bouquet de capsule lisait un ouvrage philosophique. Pendant ce temps moi, je vidangeais la Dacia, car elle avait fait deux cent kilomètres en marche arrière à cause de son téléphone. Oui, elle était partie de la brigade et s'était rendu compte d'avoir oublié son téléphone sur la plage arrière. Elle tendit le bras et se dit mince trop court. C'est alors qu'elle a reculé pour essayer de l'attraper et s'est rendu compte deux cent kilomètres plus loin qu'il fallait mieux s'arrêter. Donc mon père la bricole en liège s'écrit d'un seul coup ( L'alcool est l'huile à moteur de nos rapports mécanisés). Elle était juste devant et viens me trouver et me dit. Pépère, sur cette voiture, il faut mettre du vin à la place de l'huile, car elle le transforme en vapeur alcoolique à inhaler. Voilà comment le soir même, j'étais de sortie avec mon ami le harnais.
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- Regarde, qu'est-ce que c'est que ça à ton avis.
- Hé bien, je n'en sais rien ma cousine, j'espère que ce n'est pas un coup de cheveu bleu qui essaie de faire cuire des cordons-bleus avec du gasoil.
- Pourquoi ferait-il une chose pareille. Non la fumée ne vient pas de l'épicerie, mais de beaucoup plus haut. Qu'est-ce que je fais ?
- Écoute, j'irai voir le cheveu après, emmène moi là-bas, je pense que ça vient du terrain de capot blanc.
- C'est qui capot blanc ?
- C'est le maître de Pépère et il est en infraction de capot blanc.
- Ha bon, mais qu'est-ce que ça fait que le capot soit blanc.
- Hé bien, ça fait que les autres automobilistes sont perturbé par ce capot sur une voiture grise et rouge alors ils risquent l'accident. En plus, l'homme est soupçonné d'être un extra-terrestre comme son chat.
- Hé bien, c'est une drôle d'histoire ça. Mais pourquoi garde-t-il ce capot blanc ?
Comment ça un extraterrestre, il n'y en a pas sur terre.
- Le capot blanc et le toit rouge sont là pour rappeler aux autres son penchant. Oui, rouge, blanc en plus des fleurs dans sa voiture dont certaines sont jaunes. C'est la couleur du vin Sancerre le jaune, tu comprends maintenant. Dès qu'il arrive quelque part, les ivrognes voient rouge blanc et pensent au vin et le retrouvent au bistrot. Oui, il y a des extraterrestres sur terre. Il y a aussi des chats Android dont est soupçonné de faire partie Pépère et sa minette Ainos qui est actuellement recherchée par le FBI. Peut-être ne le sais-tu pas, mais le capot blanc est sous le coup d'une enquête et il est soupçonné d'avoir plus de mille ans.
Tiens, regarde au bout de la rue, les Américains sont en pleine agitation. Ça vient de chez capot blanc, ton compte est bon mon gaillard.
Le pauvre Momo qui était resté sur la fenêtre pour observer l'homme démontant son mur avait assisté au changement de couleur du ciel. Il avait ensuite aperçu la fumée et maintenant, il était inquiet pour son maître. C'est donc avec insistance qu'il avait réclamé la porte.
La cousine du brigadier qui n'était pas trop mariée avec le code de la route, était passée à une vitesse hallucinante au ras des moustaches du pauvre Momo qui attendait pour traverser.
- Qu'est-ce que c'est encore que ce bolide sur nos sentes sinueuses. Je n'en crois pas mes moustaches, la drôlesse roulât au moins à plus de cent à l'heure. Cela est extrêmement inquiétant pour l'avenir des miens, s'ils se promènent durant que ce danger sillonne les routes de notre commune. Il m'a semble-t-il et je ne rêve point, avoir vu un gendarme à côté d'elle. Assurément, je ne vois qu'une chose possible, la drôlesse est alcoolisée et le gendarme à dû se faire kidnapper. Diantre, mais qu'est-ce que c'est que cette fumée au-dessus du champ à Cookie. Il y a le feu chez mon maître ou quoi. Dussé-je croire qu'il serait un effet du diable de Pépère qui ait fait une pitrerie et enflammé la cabane. Morbleu, j'entends Cookie appeler à l'aide, mais quelle est cette foire d'empoigne à ciel ouvert.
Pendant que Momo avançait à pas mesurés dans l'épaisse fumée le brigadier était en pleine agitation devant les Américains qui essayaient vainement d'éteindre la parabole en feu. Il était déçu que ce ne soit pas capot blanc.
Pendant ce temps-là, les quatre malfrats qui s'étaient évadés du commissariat de Sancoins avançaient vers Mornay. Ils arrivaient sur le général qui était au milieu de la route essayant de vouloir ralentir cette providence qui tombait du ciel. Mais la voiture qui était devant lui n'était pas conduite des fonctionnaires de l'autorité publique. Il agitait les bras autant qu'il le pouvait et quand il comprit que le véhicule arrivait trop vite pour s'arrêter, il se balança dans le fossé qui bordait la nationale.
Le pauvre ressortit du fossé complètement trempé et couvert de vase et de feuilles pourries.
Il était hors de lui et ne savait plus quoi en penser.
- Incroyable, la gendarmerie qui est sous mes ordres qui essaie d'écraser le général des armées internationales. C'est insensée cette histoire, quand on pense que je viens juste d'être greffé d'une jambe amputée par eux même. Attendez de revenir par là et je vous colle du bouton rouge à perpétuité et deux cent chaises électriques à perpétuité avec un sursis de mille ans.
Dans la Dacia, Arôme, qui était au volant, était fou de joie. Flan qui était à côté de lui était stupéfait. Cécilia et Ragoût, qui étaient à l'arrière, étaient en train de visionner une vidéo sur YouTube et ne s'étaient rendu compte de rien.
- Tu as failli tuer un chef d'état, tu y vas fort quand même.
- Un chef d'état où ça ?
- Le militaire sur la route, c'était Tromp, il va voir la Macronie qui est à côté. Tu ne l'as pas reconnu au comico !
- Tu es vraiment doué pour reconnaître les gens autant que pour le pilotage. Mais que fait-il ici, Tromp ?
- C'est normal, avant je dealais de la drogue alors je devais être réactif en voiture pour éviter les condés. Il est là pour un complot, un de plus après le sel.
- Ha, bon, tu as vendu de la drogue, mais qu'est-ce que c'est cette histoire de sel et ce complot.
- Oui, Flan, je vendais du rêve et on m'a mis en prison pour ça, je ne lâche rien, ah où ah où. Hé bien le sel que Macron faisait vendre en supermarché. En fait, c'était des bactéries en poudres pour empoisonner les pauvres et qu'ils ne restent que des riches. C'est un homme qui a fait découvrir la combine et l'a dénoncé à la télé devant le Douadouart Lafitte. Sa pauvre voisine n'avait plus de sel, et il l'avait dépanné, c'est ainsi que tous les deux se sont retrouvé avec un rétrécissement de la langue les empêchant de parler. Après analyse, ils se sont rendus compte que le sel de la femme était des bactérie en poudre sensées la tuer et pour l'empêcher de se plaindre des douleurs, la langue était rétrécie par la bactérie. Maintenant, c'est Tromp qui a décidé de donner de l'argent à Macron pour fabriquer des gilets jaunes avec du tissu faits de farine du virus d'ébolas, voilà la vérité du complot, on ne lâche rien ah où ah où.
Chatdore dans la cabane à Cookie avait tout entendu de la conversation entre le brigadier et les Américains. Il envoya un message à Pépère qui était arrêté à deux cents mètres du général.
Le Pépère consulta son SMS et regardant Saturne lui dis, nous faisons demi-tour.
- Pourquoi, faisons nous demi-tour mon frérot ?
- Hé, bien figure toi, que ce n'est pas mon Israélien fabriquant de bière nucléaire corse qui est responsable de l'asphyxie de Mornay mais les américains qui ont essayé d'empoisonner ma copine Cookie. Chatdore leur donne une bonne correction actuellement. Je dois me dépêcher de ramener cette belle seize soupapes avant que l'autre ne sorte du bistro. Il devait être en être à la toilette et le bougre est tellement morfale qu'il a dû manger la savonnette des toilettes et il attendait de ne plus faire de bulles le bougre.
Le Pépère fit demi-tour et fit ronfler le moteur à en exploser l'embrayage. Le pauvre Saturne voyait l'aiguille du compteur dépasser les cent quatre-vingts alors qu'il était à cent mètres du stop de l'entrée de la ville.
- Pépère, nous allons tous mourir nous autres, vite freine, maman moi peur, maman moi peur.
Le Pépère nullement affolé donna un violent coup de frein qui déclencha l'ABS qui faisait clac clac au rythme des ses Nike qui étaient sur la pédale de frein.
- Arrête, nous allons tous mourir nous autres !
Le Pépère les deux pattes sur le frein s'arrêta pile-poil sur la bande.
- Quelle puissance de frein cette voiture, super cool, aussi puissante que ma voiture. Oui, Saturne nous sommes pressés, si l'autre sort du bar, il va aller prévenir ma love saucissons et nous risquons d'avoir les gendarmes vers le canal pour le peu qu'elle pense que c'est un coup de Pêcheur ou Coin-coin mes deux coéquipiers à ailes. Tu sais complètement cramé, voler pour elle peut vouloir dire canard ou héron ne sait-on jamais.
- Tu crois mon Frérot, c'est quand même énorme.
- Hé bien, détrompe-toi, une fois ma love maîtresse m'a fait mettre du vin dans un moteur à la place de l'huile et je me suis retrouvé avec le harnais alors ne sait-on jamais.
- Ha bon, comment ça s'est passé ?
- Hé bien voilà, mon père cirrhose pour bouquet de capsule lisait un ouvrage philosophique. Pendant ce temps moi, je vidangeais la Dacia, car elle avait fait deux cent kilomètres en marche arrière à cause de son téléphone. Oui, elle était partie de la brigade et s'était rendu compte d'avoir oublié son téléphone sur la plage arrière. Elle tendit le bras et se dit mince trop court. C'est alors qu'elle a reculé pour essayer de l'attraper et s'est rendu compte deux cent kilomètres plus loin qu'il fallait mieux s'arrêter. Donc mon père la bricole en liège s'écrit d'un seul coup ( L'alcool est l'huile à moteur de nos rapports mécanisés). Elle était juste devant et viens me trouver et me dit. Pépère, sur cette voiture, il faut mettre du vin à la place de l'huile, car elle le transforme en vapeur alcoolique à inhaler. Voilà comment le soir même, j'étais de sortie avec mon ami le harnais.
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