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Pépère le chat du poète, suite.

#1
Suite d'hier, Pépère raconte son histoire à Fripouillet.


N'écoutant que son amour pour son crapouillot elle prit son courage à deux bouteilles. D'une main dans chaque poche, elle saisit une fiole de rhum. Puis elle s'écria, tient bon ma crapouille et elle terrassait la bête d'une main. Dans l'autre téléphone en main, elle appelait l'aéroport le plus près pour mettre la bête en partance pour le Zimbabwe.
Donc, pour la remercier, je lui fis cadeau d'un de mes succulents poulets.
Plutôt que de le garder pour elle, elle le donna à jambe de bois pour qu'il le cuisine.
Ce fut alors que me voyant passer devant le gourbi alors que love alligator était repartie qu'il m'appelait.
Regarde mon gentil minet qu'il me dit. Tu vois ce joli poulet.
Je ne suis pas aveugle que je lui réponds, tant que l'on ne me parle pas à deux centimètres des yeux, chat chat chat.
Hé bien, disait-il, tu vas faire un feu de bois et tu vas le rôtir dessus et nous le mangerons ensemble.
Encore une fois, j'y ai cru et j'ai fait comme il me l'avait demandé.
J'aurais dû me méfier quand je l'ai vu partir avec une lime dans la main. Oui, il avait été affûté ses dents.
Et ce fut ainsi que le poulet me passait sous les moustaches. Ses grandes dents l'ont mangé entièrement. Même les os, il en fit un festin.
Cela faisait un tel bruit quand il croquait les os que le sol tremblait et que toute la commune crut à la punition céleste des dieux.
Ce fut ainsi que madame le maire vint voir ce qui se passait sur son terrain.
Elle avait garé sa voiture proche d'un arbre qui fragilisé par les tremblements du sol et les dents d'Hector qui avait rogné le tronc, s'empressait de tomber sur l'auto.
Le salopard plutôt que de dire les faits à madame le maire lui répondit.
Je m'excuse, c'est mon chat qui se fait les dents sur les arbres. Le bruit que vous avez entendu vient de ça.
Ce fut ainsi que madame le maire me demandait de remettre sa voiture à neuf, sinon, elle porterait plainte et je finirais en chat-prison.
Voilà l'histoire mon pauvre Fripouillet.
Bon, ce n'est pas tout ça, une moyenne compensée attend Pépère et tu nous retardes à trop parler Fripouillet.
-Comment ça une moyenne compensée ?
Nous allons manger mon papa.
- Non, moi, je vais manger avec Toutblanc une succulente saucisse. Toi, tu vas surveiller le bout de gras pour sumotori anorexique du grattez moi-là.
- D'accord mon papa, je vais aller derrière sa porte et faire semblant de passer ici en curieux.
- Très bien, Fripouillet, donc je te laisse à ta mission.
Le petit partit vers la cabane du poète et le Pépère avec sa magie se retrouvait avec Mimine et Toutblanc comme si de rien n'était et ils prirent la direction de la gare, à patte.
À Sancoins pendant ce temps, le président s'impatientait du retour du brigadier Tatouvu qui devait assurer la sécurité autour des lieux de la cérémonie.
Il finit par l'appeler et tomba sur le général Picolle qui avait pris le téléphone du brigadier.
Celui-ci était en train de ramasser la graisse de la rôtissoire avec sa cousine.
Le général n'avait pas voulu y aller de peur de tacher son uniforme.
- Allô, ici, Picolle premier chef des armées, que voulez-vous ?
- Allô, ici, Manu, chef premier des Français, lol, que faites vous à Mornay nous vous attendons ici avec le brigadier.
- Le brigadier prend un bain de graisse avec ma future générale.
Un chat déguisé en scooter est venu ici tout détruire. Au point où nous en sommes, nous ne sommes pas près d'être à l'élysée canal avec vous.
- Mon général, vous avez bu ce n'est pas possible, vous avez une drôle de voix.
- Écoutez-moi bien mon maréchal bleu. Je vous dirais n'avoir j'avais consommé d'alcool de ma vie.
- Pourquoi, vous êtes allergique, lol.
- Taisez-vous, ou je vous colle dix ans de bouton rouge à perpétuité.
Laissez-moi vous expliquer pourquoi vous ne me verrez jamais boire de l'alcool.
Et vous me croirez puisque c'est vrai. Si après cette histoire, vous en doutez encore, je vous collerai dix jours de chaise électrique à perpétuité assortie d'une peine de bouton rouge de six cents ans.
Voilà l'histoire pour que vous compreniez que vous n'avez pas à faire ni un demeurer ni un boit-sans-soif.
Lorsque j'étais petit, je n'étais pas grand, oui, cela vous étonne. Alors que j'étais jeune homme, à l'âge de trois ans à peu près, j'ai été nommé officier de la Légion d'honneur et j'ai mené mon bataillon à la victoire, au Tchad et en Chine en deux jours. Grâce à un raccourci que je tiendrai secret, j'ai pu rallier ces deux point en à peine deux heures. Mais revenons à mon adolescence. Alors que j'avais deux ans...
- Il n'y aurait pas un problème dans l'âge mon général ?
- Pas du tout, mon maréchal bleu, je suis nez militaire. J'ai été formé dans le ventre de ma mère par une armée de globules blancs. Ce sont eux qui m'ont appris le maniement des armes.
Donc à deux ans alors que j'étais petit et pas grand, je voulais intégrer une unité d'élite. Pour ce faire, je devais faire mes preuves en tant que militaire débutant. M'a donc été alloué un contingent de jeunes recrues de mon âge. Nous sommes partis en campagne au Yémen. Malheureusement, c'est là que j'ai été enlevé par des Martiens dans le vaisseau de Marie.
Donc, ces Martiens m'ont emmené sur une planète qui s'appelle, Xilef, et dessus est produit un vin tonique à partir d'un maïs en pierre qui donne au bout de ses épis comme une sorte de raisin. J'ai été enlevé avec des millions d'autres personnes qui d'ailleurs ont largement témoigné auprès des médias. Ceci prouve ma vérité vraie si vous en aviez douté monsieur bleu. Donc, nous devions boire ce vin comme des cobayes afin de savoir s'il n'était pas toxique. C'est donc sous les ordres de Dieu lui-même, pas son fils, que j'ai ingurgité du vin à outrance entre l'âge de deux et trois ans avant d'être nommé général à mon retour sur terre. Oui, mon maréchal bleu, je suis général depuis l'âge de trois ans. Donc, ce breuvage m'a déclenché une allergie et j'avais suite à cause de ça des cheveux en pierre. Cela a mis quatre ans à passer. On devait me couper les cheveux avec un burin et ciseau à brique. Voilà, une fois guéri les médecins m'ont annoncé que si je buvais à l'avenir ne serait-ce qu'une goutte, le phénomène reviendrait et je ne pourrais jamais en être soigné, alors voilà pourquoi je ne boirai jamais d'alcool. Si je faisais ça, demain, j'aurais une chevelure pierrée, comprenez-vous.

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GABY73

Maître Poète
#2
Suite d'hier, Pépère raconte son histoire à Fripouillet.


N'écoutant que son amour pour son crapouillot elle prit son courage à deux bouteilles. D'une main dans chaque poche, elle saisit une fiole de rhum. Puis elle s'écria, tient bon ma crapouille et elle terrassait la bête d'une main. Dans l'autre téléphone en main, elle appelait l'aéroport le plus près pour mettre la bête en partance pour le Zimbabwe.
Donc, pour la remercier, je lui fis cadeau d'un de mes succulents poulets.
Plutôt que de le garder pour elle, elle le donna à jambe de bois pour qu'il le cuisine.
Ce fut alors que me voyant passer devant le gourbi alors que love alligator était repartie qu'il m'appelait.
Regarde mon gentil minet qu'il me dit. Tu vois ce joli poulet.
Je ne suis pas aveugle que je lui réponds, tant que l'on ne me parle pas à deux centimètres des yeux, chat chat chat.
Hé bien, disait-il, tu vas faire un feu de bois et tu vas le rôtir dessus et nous le mangerons ensemble.
Encore une fois, j'y ai cru et j'ai fait comme il me l'avait demandé.
J'aurais dû me méfier quand je l'ai vu partir avec une lime dans la main. Oui, il avait été affûté ses dents.
Et ce fut ainsi que le poulet me passait sous les moustaches. Ses grandes dents l'ont mangé entièrement. Même les os, il en fit un festin.
Cela faisait un tel bruit quand il croquait les os que le sol tremblait et que toute la commune crut à la punition céleste des dieux.
Ce fut ainsi que madame le maire vint voir ce qui se passait sur son terrain.
Elle avait garé sa voiture proche d'un arbre qui fragilisé par les tremblements du sol et les dents d'Hector qui avait rogné le tronc, s'empressait de tomber sur l'auto.
Le salopard plutôt que de dire les faits à madame le maire lui répondit.
Je m'excuse, c'est mon chat qui se fait les dents sur les arbres. Le bruit que vous avez entendu vient de ça.
Ce fut ainsi que madame le maire me demandait de remettre sa voiture à neuf, sinon, elle porterait plainte et je finirais en chat-prison.
Voilà l'histoire mon pauvre Fripouillet.
Bon, ce n'est pas tout ça, une moyenne compensée attend Pépère et tu nous retardes à trop parler Fripouillet.
-Comment ça une moyenne compensée ?
Nous allons manger mon papa.
- Non, moi, je vais manger avec Toutblanc une succulente saucisse. Toi, tu vas surveiller le bout de gras pour sumotori anorexique du grattez moi-là.
- D'accord mon papa, je vais aller derrière sa porte et faire semblant de passer ici en curieux.
- Très bien, Fripouillet, donc je te laisse à ta mission.
Le petit partit vers la cabane du poète et le Pépère avec sa magie se retrouvait avec Mimine et Toutblanc comme si de rien n'était et ils prirent la direction de la gare, à patte.
À Sancoins pendant ce temps, le président s'impatientait du retour du brigadier Tatouvu qui devait assurer la sécurité autour des lieux de la cérémonie.
Il finit par l'appeler et tomba sur le général Picolle qui avait pris le téléphone du brigadier.
Celui-ci était en train de ramasser la graisse de la rôtissoire avec sa cousine.
Le général n'avait pas voulu y aller de peur de tacher son uniforme.
- Allô, ici, Picolle premier chef des armées, que voulez-vous ?
- Allô, ici, Manu, chef premier des Français, lol, que faites vous à Mornay nous vous attendons ici avec le brigadier.
- Le brigadier prend un bain de graisse avec ma future générale.
Un chat déguisé en scooter est venu ici tout détruire. Au point où nous en sommes, nous ne sommes pas près d'être à l'élysée canal avec vous.
- Mon général, vous avez bu ce n'est pas possible, vous avez une drôle de voix.
- Écoutez-moi bien mon maréchal bleu. Je vous dirais n'avoir j'avais consommé d'alcool de ma vie.
- Pourquoi, vous êtes allergique, lol.
- Taisez-vous, ou je vous colle dix ans de bouton rouge à perpétuité.
Laissez-moi vous expliquer pourquoi vous ne me verrez jamais boire de l'alcool.
Et vous me croirez puisque c'est vrai. Si après cette histoire, vous en doutez encore, je vous collerai dix jours de chaise électrique à perpétuité assortie d'une peine de bouton rouge de six cents ans.
Voilà l'histoire pour que vous compreniez que vous n'avez pas à faire ni un demeurer ni un boit-sans-soif.
Lorsque j'étais petit, je n'étais pas grand, oui, cela vous étonne. Alors que j'étais jeune homme, à l'âge de trois ans à peu près, j'ai été nommé officier de la Légion d'honneur et j'ai mené mon bataillon à la victoire, au Tchad et en Chine en deux jours. Grâce à un raccourci que je tiendrai secret, j'ai pu rallier ces deux point en à peine deux heures. Mais revenons à mon adolescence. Alors que j'avais deux ans...
- Il n'y aurait pas un problème dans l'âge mon général ?
- Pas du tout, mon maréchal bleu, je suis nez militaire. J'ai été formé dans le ventre de ma mère par une armée de globules blancs. Ce sont eux qui m'ont appris le maniement des armes.
Donc à deux ans alors que j'étais petit et pas grand, je voulais intégrer une unité d'élite. Pour ce faire, je devais faire mes preuves en tant que militaire débutant. M'a donc été alloué un contingent de jeunes recrues de mon âge. Nous sommes partis en campagne au Yémen. Malheureusement, c'est là que j'ai été enlevé par des Martiens dans le vaisseau de Marie.
Donc, ces Martiens m'ont emmené sur une planète qui s'appelle, Xilef, et dessus est produit un vin tonique à partir d'un maïs en pierre qui donne au bout de ses épis comme une sorte de raisin. J'ai été enlevé avec des millions d'autres personnes qui d'ailleurs ont largement témoigné auprès des médias. Ceci prouve ma vérité vraie si vous en aviez douté monsieur bleu. Donc, nous devions boire ce vin comme des cobayes afin de savoir s'il n'était pas toxique. C'est donc sous les ordres de Dieu lui-même, pas son fils, que j'ai ingurgité du vin à outrance entre l'âge de deux et trois ans avant d'être nommé général à mon retour sur terre. Oui, mon maréchal bleu, je suis général depuis l'âge de trois ans. Donc, ce breuvage m'a déclenché une allergie et j'avais suite à cause de ça des cheveux en pierre. Cela a mis quatre ans à passer. On devait me couper les cheveux avec un burin et ciseau à brique. Voilà, une fois guéri les médecins m'ont annoncé que si je buvais à l'avenir ne serait-ce qu'une goutte, le phénomène reviendrait et je ne pourrais jamais en être soigné, alors voilà pourquoi je ne boirai jamais d'alcool. Si je faisais ça, demain, j'aurais une chevelure pierrée, comprenez-vous.

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Une écriture tellement vrai qu'on s'y croirait
Merci Daniel
Amicalement
Gaby