Turbo était fasciné par les poèmes de Pépère. Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant.
- Hé soûlard, qu'est-ce que tu as écrit comme horreur !
- Pépère encore toi, mais que se passe-t-il encore.
- Qu'est-ce que tu as écrit, relis le passage.
- Turbo était fasciné par les poèmes de Pépère. Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant.
Je n'ai rien dit comme horreur de quelque nature qu'elle soit.
- Ha d'accord, tu ne vois pas le problème, hé bien, tu as dû y aller gaillardement hier soir avec ton amie, Ludivine la chopine !
- Tu racontes n'importe quoi, comme d'habitude.
- Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant, ça, c'est n'importe quoi. Tu apprendras que Guillaume Pépère est l'un des poètes les plus célèbres de sa génération. Hé bien, oui, ça t'en bouche une bouteille sous le nez ça.
Puisque tu parles de mes poèmes qui d'ailleurs en passant sont tous poèmes de platine, je vais parler des tiens. Comme ça, les lecteurs de mon histoire verront à qui ils ont à faire.
Je vais lire moi-même l'extrait d'un poème que tu as écrit il y a peu de temps.
Après, avec mes connaissances en poésie, je ferais la synthèse de ton poème.
Les amis de Pépère ouvrez grand vos oreilles.
Pourquoi faut-il que vienne au clair de l'aube nue
De la tendre jeunesse un jour où l'âge vint
De n'espérer ma foi, que le temps ne soit vain
De trouver l'opium en une autre avenue,
Imagine le vent qu'inonde la statue
Des sublimes saisons comme coule le vin
Au chevet de l'automne en un être divin
Qui teinte de saumur la terre d'or battue ;
- Donc vous remarquerez comme moi, vint, vain, vin, divin. Déjà, là, le thème est lancé, il vous parle clairement de son penchant. Pour continuer, il vous parle de son aube et de sa foi. Vous aurez compris son adoration pour les curés, la messe et les chants d'église. Ensuite, les sublimes saisons, nous ne sommes pas dupe nous autres, c'est bien évidemment la saison des vendanges dont il parle. La preuve arrive juste derrière le Saumur qui est un vin comme par hasard. Ensuite, vient le clair de l'âge et de la jeunesse, oui, il ne peut plus se situer dans le temps à cause de ses troubles de la mémoire. Il le dit lui-même, mon opium, nous avons clairement compris que sa drogue est le vin. Puis la statue, nous avons compris la référence, c'est celle de Saint-Vincent. Pour finir de parler de la terre battue par ses chutes à répétition comme excuse qu'elles soient trop dures et que lui ne pesant que quelques grammes est poussé dessus par le vent.
Alors soûlard, ton compte est bon mon gaillard, nous savons lire nous autres.
D'autre part, si tu pouvais arrêter d'éternuer sur le museau de mon frérot, il n'aurait pas envie de finir aveugle.
Oui, nous savons nous autres pourquoi tu éternues. C'est parce que tu passes ton temps à déboucher des bouteilles. Le bruit fait tombé la poussière des arbres au-dessus de ton capharnaüm. Alors soûlard, tu vois, Pépère vois tout ce qui se passe.
Tu peux continuer, j'ai rétabli la vérité.
Donc, reprenons notre histoire.
Turbo était fasciné par les poèmes de Pépère. Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant.
- Parle toujours, ça me fait de belles moustaches, chat chat chat, et ma mousse tache, chat chat chat, et le chauve sourit, chat chat chat, bref.
Donc, si l'animal veut bien cesser, Turbo était fasciné par les poèmes de Pépère. Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant.
- Ils sont géniaux tes poèmes aussi puissants que mes pattes pour la course.
Mais que fait ton maître là-bas assis par terre, il se tient le pied.
- Hé bien, c'est qu'il s'est ramassé une partie du tout du hangar sur le pied.
- Ha d'accord, mais comment ça se fait ?
Alors, Lolo ne peut pas prendre la corde ?
Est-ce qu'il va bouger d'ici à la fin !
- Hé bien, mon copain, c'est que le hangar a été fait par la bande des joyeux drilles de la chopine, oui toute la clique. Love colis et jambe bionique aux commandes.
La première construction a fini par terre et j'ai failli être écrasé dessous.
Oui, Lolo doit attendre que mon rabougri de jardin du château de Bordeaux soit parti d'ici.
Love médicament arrive avec la trousse de secours. Lolo m'a envoyé un message pour me le dire. Il lui a dit, vient avec la trousse de secours avec de l'anti maux.
Tu l'auras compris l'anesthésiant de la douleur étant du rhum.
- Hé bien, c'est toute une histoire ce hangar alors, Pépère.
- Oui, mon copain et c'est même un poème.
- Ha d'accord, tu as fait un poème sur le hangar.
- Oui, grâce à mon soûlard, il est poème d'or dans au moins cent catégories des arts et des lettres.
- Ha oui, quand même, hé bien, ça doit être quelque chose.
- Ça, tu l'as dit, c'est une œuvre d'art, écoute cette merveille, je l'ai sur mon Chatmsung, je vais te le lire.
Le spleen du hangar
Qu'il est beau le hangar
Qu'a fini la grande dindanne
Avec l'aide d'une certaine dindasse
Qui ne boit que du pinard,
C'est sur le renfort de l'astre
Peut-être évitera le désastre
Car l'ouvrage mène sa barque
Sous la houlette de joli marc
Et tout ces joyeux drilles
Forment une escadrille
Celle de la taverne
Où l'on ne lit pas du Jules Verne
Vient mon Pépère qu'il dit le poète
Et tous en cœur font la fête
Au brave chat qui malheureusement
Court un danger prochainement,
Ce n'était qu'une coccinelle
Qu'éternuait comme une belle
Et une pauvre feuille du bois
Qui tomba sur le haut du toit,
Qui fit s'écrouler l'édifice
Et comme un sacrifice
Le brave minet est mort
C'était donc son sort
À cause d'une bande de soûlard
Qui se sont couché trop tard
Et on bâclé leur ouvrage
Et franchement, j'ai la rage...
Guillaume Pépère.
- Hé soûlard, qu'est-ce que tu as écrit comme horreur !
- Pépère encore toi, mais que se passe-t-il encore.
- Qu'est-ce que tu as écrit, relis le passage.
- Turbo était fasciné par les poèmes de Pépère. Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant.
Je n'ai rien dit comme horreur de quelque nature qu'elle soit.
- Ha d'accord, tu ne vois pas le problème, hé bien, tu as dû y aller gaillardement hier soir avec ton amie, Ludivine la chopine !
- Tu racontes n'importe quoi, comme d'habitude.
- Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant, ça, c'est n'importe quoi. Tu apprendras que Guillaume Pépère est l'un des poètes les plus célèbres de sa génération. Hé bien, oui, ça t'en bouche une bouteille sous le nez ça.
Puisque tu parles de mes poèmes qui d'ailleurs en passant sont tous poèmes de platine, je vais parler des tiens. Comme ça, les lecteurs de mon histoire verront à qui ils ont à faire.
Je vais lire moi-même l'extrait d'un poème que tu as écrit il y a peu de temps.
Après, avec mes connaissances en poésie, je ferais la synthèse de ton poème.
Les amis de Pépère ouvrez grand vos oreilles.
Pourquoi faut-il que vienne au clair de l'aube nue
De la tendre jeunesse un jour où l'âge vint
De n'espérer ma foi, que le temps ne soit vain
De trouver l'opium en une autre avenue,
Imagine le vent qu'inonde la statue
Des sublimes saisons comme coule le vin
Au chevet de l'automne en un être divin
Qui teinte de saumur la terre d'or battue ;
- Donc vous remarquerez comme moi, vint, vain, vin, divin. Déjà, là, le thème est lancé, il vous parle clairement de son penchant. Pour continuer, il vous parle de son aube et de sa foi. Vous aurez compris son adoration pour les curés, la messe et les chants d'église. Ensuite, les sublimes saisons, nous ne sommes pas dupe nous autres, c'est bien évidemment la saison des vendanges dont il parle. La preuve arrive juste derrière le Saumur qui est un vin comme par hasard. Ensuite, vient le clair de l'âge et de la jeunesse, oui, il ne peut plus se situer dans le temps à cause de ses troubles de la mémoire. Il le dit lui-même, mon opium, nous avons clairement compris que sa drogue est le vin. Puis la statue, nous avons compris la référence, c'est celle de Saint-Vincent. Pour finir de parler de la terre battue par ses chutes à répétition comme excuse qu'elles soient trop dures et que lui ne pesant que quelques grammes est poussé dessus par le vent.
Alors soûlard, ton compte est bon mon gaillard, nous savons lire nous autres.
D'autre part, si tu pouvais arrêter d'éternuer sur le museau de mon frérot, il n'aurait pas envie de finir aveugle.
Oui, nous savons nous autres pourquoi tu éternues. C'est parce que tu passes ton temps à déboucher des bouteilles. Le bruit fait tombé la poussière des arbres au-dessus de ton capharnaüm. Alors soûlard, tu vois, Pépère vois tout ce qui se passe.
Tu peux continuer, j'ai rétabli la vérité.
Donc, reprenons notre histoire.
Turbo était fasciné par les poèmes de Pépère. Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant.
- Parle toujours, ça me fait de belles moustaches, chat chat chat, et ma mousse tache, chat chat chat, et le chauve sourit, chat chat chat, bref.
Donc, si l'animal veut bien cesser, Turbo était fasciné par les poèmes de Pépère. Celui-ci était content d'avoir trouvé un auditoire peu exigeant.
- Ils sont géniaux tes poèmes aussi puissants que mes pattes pour la course.
Mais que fait ton maître là-bas assis par terre, il se tient le pied.
- Hé bien, c'est qu'il s'est ramassé une partie du tout du hangar sur le pied.
- Ha d'accord, mais comment ça se fait ?
Alors, Lolo ne peut pas prendre la corde ?
Est-ce qu'il va bouger d'ici à la fin !
- Hé bien, mon copain, c'est que le hangar a été fait par la bande des joyeux drilles de la chopine, oui toute la clique. Love colis et jambe bionique aux commandes.
La première construction a fini par terre et j'ai failli être écrasé dessous.
Oui, Lolo doit attendre que mon rabougri de jardin du château de Bordeaux soit parti d'ici.
Love médicament arrive avec la trousse de secours. Lolo m'a envoyé un message pour me le dire. Il lui a dit, vient avec la trousse de secours avec de l'anti maux.
Tu l'auras compris l'anesthésiant de la douleur étant du rhum.
- Hé bien, c'est toute une histoire ce hangar alors, Pépère.
- Oui, mon copain et c'est même un poème.
- Ha d'accord, tu as fait un poème sur le hangar.
- Oui, grâce à mon soûlard, il est poème d'or dans au moins cent catégories des arts et des lettres.
- Ha oui, quand même, hé bien, ça doit être quelque chose.
- Ça, tu l'as dit, c'est une œuvre d'art, écoute cette merveille, je l'ai sur mon Chatmsung, je vais te le lire.
Le spleen du hangar
Qu'il est beau le hangar
Qu'a fini la grande dindanne
Avec l'aide d'une certaine dindasse
Qui ne boit que du pinard,
C'est sur le renfort de l'astre
Peut-être évitera le désastre
Car l'ouvrage mène sa barque
Sous la houlette de joli marc
Et tout ces joyeux drilles
Forment une escadrille
Celle de la taverne
Où l'on ne lit pas du Jules Verne
Vient mon Pépère qu'il dit le poète
Et tous en cœur font la fête
Au brave chat qui malheureusement
Court un danger prochainement,
Ce n'était qu'une coccinelle
Qu'éternuait comme une belle
Et une pauvre feuille du bois
Qui tomba sur le haut du toit,
Qui fit s'écrouler l'édifice
Et comme un sacrifice
Le brave minet est mort
C'était donc son sort
À cause d'une bande de soûlard
Qui se sont couché trop tard
Et on bâclé leur ouvrage
Et franchement, j'ai la rage...
Guillaume Pépère.
