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Pépère le chat du poète, suite.

#1
À Sancoins à la brasserie, le président était toujours avec le professeur Ourat dans l'attente du retour de Pépère.
- Que fait il à la fin, c'est long, regarder donc s'il n'est pas dans la rue.
- Écoutez, je ne suis pas sourd, je l'aurais entendu arriver, Professeur.
- Oui, c'est vrai ce que vous dites, mon bon bleu. Heureusement que vous n'êtes pas sourd, ha ha ha.
Ce n'est pas drôle mon bon virus, je l'ai été plus jeune cela m'a suffit.
- Vous, mon bon cordon, sourd, mais comment se fait-il ?
- Hé bien mon bon virus, je vais vous comment cela m'est arrivé.
Je me suis rendu sourd en jouant au football, voilà monsieur.
- En jouant au football, c'est incroyable.
- Oui, laissez-m'en vous en parler.
Donc, dans ma prime jeunesse, il me fut demandé par mes parents si je désirais pratiquer un sport. C'est alors que je fus attiré par le tennis. Oui j'y ai beaucoup joué sur la console Atari de ma promise, bêtement perdue en lui disant la chauve sourit alors que je lui avais brûlé les cheveux sur le barbecue par mégarde, bref. Là encore, mes capacités de vue en trois dimensions m'ont fortement aider à ce jeu dont je fus le meilleur joueur au monde.
C'est comme ça que j'ai entamé un entraînement au tennis. Malheureusement, j'ai dû abandonner.
- Et pourquoi, avez-vous arrêté mon bon bleu ?
- Attendez, laissez moi y venir mon bon virus et vous allez comprendre la chose.
Vous vous souvenez de ces horribles lunettes de plongée que me forçait à mettre ma mère.
À cause d'elles, je ne voyais rien sur les côtés et ma vue en trois dimensions qui était un avantage sur un écran de télévision ne m'aidait pas sur un cours. Je ne voyais pas le déplacement de ma main et je fus qualifié de médiocre à ce sport. Par déception, je me suis tourné vers le football et là encore ne voyant rien sur les côtés, j'étais très mauvais. C'est alors que l'on m'a donné une deuxième chance en me mettant dans les goals. Je fus un prodigieux gardien de but grâce à ma vision en trois dimensions. Tout se passait bien jusqu'au jour où la balle est venu de plein fouet sur mon front. Le cheveu qui vivait en ses lieux avait une pointe redoutable, d'ailleurs, je m'en servais régulièrement pour faire des trous dans les feuilles que je rangeais dans mes classeurs. Pour dépanner mon père à accrocher un tableau, j'ai même fait un trou dans un mur avec une autre fois. La rencontre de la balle avec le cheveu a été horrible. Le ballon a explosé et la détonation s'est entendue à des kilomètres. Dû coup les services de sécurité croyant à un attentat, le stade fut évacué et plus de cinquante personnes ont été à l'hôpital pour de légères lésions aux tympans. Quant à moi, je suis demeuré sourd et le souffle de l'explosion m'avait aussi écarté les oreilles et arraché les cheveux. C'est ainsi que l'ont dû m'équiper de deux appareils auditifs pour que j'entende à nouveau. J'ai donc repris l'école totalement chauve et les oreilles écartées. Ma promise, qui était dans le même collège que moi pour se venger du coup de l'hôpital, ne manquât pas de me répéter à plusieurs reprises, le chauve sourit, et de me traiter de feuilles de choux.
- Ha oui quand même mon bon président, c'est horrible.
À Mornay pendant ce temps là, sous la plate-forme le Pépère fit signe à Grisou et Lolo de l'attendre. Il partit derrière la porte écouter ce qui se disait, car le poète était toujours en ligne.
Une fois calé contre la porte, il se mit à écouter. C'est en montant sur la chaise qu'il vit qu'il avait sali ses Nike qui étaient dans un état épouvantable.
En plus de la crasse, elles sentaient mauvais.
Il observait le poète, brioche devant le nez et téléphone en main.
- Quand je pense au gros ventre ha, ha ha, tu verrais la bosse qu'il ait fait sur le capot.
Tu vas voir que je ne suis pas par près de le revoir, gras double, je me demande où il a été mettre ses moustaches, il était dans un état épouvantable.
- Ho, soûlard, ça sent la vengeance par là, attends tu ne perds rien pour attendre toi et ton aubergine.
- Pépère, s'il te plaît, c'est une fiction.
- Non, poivrot, c'est mon histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse, continue comme ça et demain matin, tu auras un joli caca devant ta porte.
Le Pépère furax, repartit sous la plate-forme. C'est alors que Lolo lui lança.
-Je n'avais pas vu mais tes chaussures sont pleines de crasses et ça sent une drôle d'odeur que s'est-il passé ?
- Ce n'est pas de la crasse sur mes chaussures, c'est de l'intelligence qui a couler de mon ventre. Oui, je transpire de l'intelligence, il faut le savoir. Quant à la drôle d'odeur, comme tu dis, c'est l'écho de l'odeur de mes dents qui parlent entre elles, voilà mon copain. Je te l'ai déjà expliqué que je suais de l'intelligence non et j'ai été contrarié alors j'ai beaucoup transpiré.
- À cause de ton maître ?
-Oui, Grisou, on a sali mon honneur en m'insultant de fifille, de bouboule, de gras-double, de gros ventru, et de peureux. Et par qui sont venues ces odieuses remontrances.
Par une tomate alcoolisée à l'eau-de-vie de la grotte des moines qui répète les orgies de mon ours de l'équateur buveur de cidre marocain.
Après, vu qu'elle doit me dédommager d'une cargaison de saucissons, je ne porterai pas plainte. Puis il se fait tôt et comme son foie parle quand il a soif elle a peut-être parlé sous le coup d'un manque d'alcoolémie.
Si j'avais su, je n'aurais pas réparé ses dents, la dernière fois.
- Ha, bon, elle a eu un problème dentaire ?
- Oui, Lolo, tout ça parce qu'elle a mangé la tarte aux pommes nucléaire de ma boîte à sucre chinoise pour café polonais.
Oui, je suis furax, soûlard, je ne parle pas non plus, outrancier, que tu picoles du matin au soir et dévores toute ma nourriture, mes catisfactions, mes croquettes Whiskas, mes sachets et les succulents poulets qu'il achète à la vilaine en bas.
- Bon, Pépère ça va suffire là-dessous, je suis au téléphone. Ce n'est pas vrai ce que tu dis.
- Si, c'est vrai, jambe bionique.
J'en veux pour preuve pas plus tard qu'il y a deux jours où tu m'as dit, viens ! mon joli Pépère, j'ai du poulet pour toi. Et moi pauvre souffreteux, j'ai été voir cette manne inespérée et mes pauvres yeux ont été à moitié aveuglés à cause des vapeurs d'alcool que tu dégageais en parlant et je n'ai vu qu'une maigre carcasse.
Oui mes amis, un squelette où l'ignoble individu avait commencé à manger les os des cuisses.
Excusez-moi mes amis, mais je suis énervé.
Bon, ce n'est pas tout ça, mais préparons le matériel pour la soucoupe. La Dacia va bientôt arriver et ils vont aller chercher le canapé de love garbure.
- Chat chat chat, une tarte nucléaire, c'est un peu drôle, tout de même.
- Hé bien, Grisou, pas temps que ça crois moi. Ses dents étaient chargées de radioactivité et elle brûlait tout sûr ce dont elle soufflait. Elle s'en est rendue compte en faisant un rapport sur son ordinateur à la brigade. Cela l'ennuyait de le faire et elle s'était mise à soupirer sur la machine. Le pc a fondu sous ses yeux. Elle m'a alors téléphoné et elle n'eut que le temps de dire, vite crapouillot que son téléphone était fondu. J'ai dû m'équiper d'une tenue anti radiation nucléaire pour la soigner, bref.
- Oui en effet, Pépère, mais c'est quoi cette histoire de canapé.

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Cortisone

Maître Poète
#2
À Sancoins à la brasserie, le président était toujours avec le professeur Ourat dans l'attente du retour de Pépère.
- Que fait il à la fin, c'est long, regarder donc s'il n'est pas dans la rue.
- Écoutez, je ne suis pas sourd, je l'aurais entendu arriver, Professeur.
- Oui, c'est vrai ce que vous dites, mon bon bleu. Heureusement que vous n'êtes pas sourd, ha ha ha.
Ce n'est pas drôle mon bon virus, je l'ai été plus jeune cela m'a suffit.
- Vous, mon bon cordon, sourd, mais comment se fait-il ?
- Hé bien mon bon virus, je vais vous comment cela m'est arrivé.
Je me suis rendu sourd en jouant au football, voilà monsieur.
- En jouant au football, c'est incroyable.
- Oui, laissez-m'en vous en parler.
Donc, dans ma prime jeunesse, il me fut demandé par mes parents si je désirais pratiquer un sport. C'est alors que je fus attiré par le tennis. Oui j'y ai beaucoup joué sur la console Atari de ma promise, bêtement perdue en lui disant la chauve sourit alors que je lui avais brûlé les cheveux sur le barbecue par mégarde, bref. Là encore, mes capacités de vue en trois dimensions m'ont fortement aider à ce jeu dont je fus le meilleur joueur au monde.
C'est comme ça que j'ai entamé un entraînement au tennis. Malheureusement, j'ai dû abandonner.
- Et pourquoi, avez-vous arrêté mon bon bleu ?
- Attendez, laissez moi y venir mon bon virus et vous allez comprendre la chose.
Vous vous souvenez de ces horribles lunettes de plongée que me forçait à mettre ma mère.
À cause d'elles, je ne voyais rien sur les côtés et ma vue en trois dimensions qui était un avantage sur un écran de télévision ne m'aidait pas sur un cours. Je ne voyais pas le déplacement de ma main et je fus qualifié de médiocre à ce sport. Par déception, je me suis tourné vers le football et là encore ne voyant rien sur les côtés, j'étais très mauvais. C'est alors que l'on m'a donné une deuxième chance en me mettant dans les goals. Je fus un prodigieux gardien de but grâce à ma vision en trois dimensions. Tout se passait bien jusqu'au jour où la balle est venu de plein fouet sur mon front. Le cheveu qui vivait en ses lieux avait une pointe redoutable, d'ailleurs, je m'en servais régulièrement pour faire des trous dans les feuilles que je rangeais dans mes classeurs. Pour dépanner mon père à accrocher un tableau, j'ai même fait un trou dans un mur avec une autre fois. La rencontre de la balle avec le cheveu a été horrible. Le ballon a explosé et la détonation s'est entendue à des kilomètres. Dû coup les services de sécurité croyant à un attentat, le stade fut évacué et plus de cinquante personnes ont été à l'hôpital pour de légères lésions aux tympans. Quant à moi, je suis demeuré sourd et le souffle de l'explosion m'avait aussi écarté les oreilles et arraché les cheveux. C'est ainsi que l'ont dû m'équiper de deux appareils auditifs pour que j'entende à nouveau. J'ai donc repris l'école totalement chauve et les oreilles écartées. Ma promise, qui était dans le même collège que moi pour se venger du coup de l'hôpital, ne manquât pas de me répéter à plusieurs reprises, le chauve sourit, et de me traiter de feuilles de choux.
- Ha oui quand même mon bon président, c'est horrible.
À Mornay pendant ce temps là, sous la plate-forme le Pépère fit signe à Grisou et Lolo de l'attendre. Il partit derrière la porte écouter ce qui se disait, car le poète était toujours en ligne.
Une fois calé contre la porte, il se mit à écouter. C'est en montant sur la chaise qu'il vit qu'il avait sali ses Nike qui étaient dans un état épouvantable.
En plus de la crasse, elles sentaient mauvais.
Il observait le poète, brioche devant le nez et téléphone en main.
- Quand je pense au gros ventre ha, ha ha, tu verrais la bosse qu'il ait fait sur le capot.
Tu vas voir que je ne suis pas par près de le revoir, gras double, je me demande où il a été mettre ses moustaches, il était dans un état épouvantable.
- Ho, soûlard, ça sent la vengeance par là, attends tu ne perds rien pour attendre toi et ton aubergine.
- Pépère, s'il te plaît, c'est une fiction.
- Non, poivrot, c'est mon histoire qu'elle est vraie réelle, pas fausse, continue comme ça et demain matin, tu auras un joli caca devant ta porte.
Le Pépère furax, repartit sous la plate-forme. C'est alors que Lolo lui lança.
-Je n'avais pas vu mais tes chaussures sont pleines de crasses et ça sent une drôle d'odeur que s'est-il passé ?
- Ce n'est pas de la crasse sur mes chaussures, c'est de l'intelligence qui a couler de mon ventre. Oui, je transpire de l'intelligence, il faut le savoir. Quant à la drôle d'odeur, comme tu dis, c'est l'écho de l'odeur de mes dents qui parlent entre elles, voilà mon copain. Je te l'ai déjà expliqué que je suais de l'intelligence non et j'ai été contrarié alors j'ai beaucoup transpiré.
- À cause de ton maître ?
-Oui, Grisou, on a sali mon honneur en m'insultant de fifille, de bouboule, de gras-double, de gros ventru, et de peureux. Et par qui sont venues ces odieuses remontrances.
Par une tomate alcoolisée à l'eau-de-vie de la grotte des moines qui répète les orgies de mon ours de l'équateur buveur de cidre marocain.
Après, vu qu'elle doit me dédommager d'une cargaison de saucissons, je ne porterai pas plainte. Puis il se fait tôt et comme son foie parle quand il a soif elle a peut-être parlé sous le coup d'un manque d'alcoolémie.
Si j'avais su, je n'aurais pas réparé ses dents, la dernière fois.
- Ha, bon, elle a eu un problème dentaire ?
- Oui, Lolo, tout ça parce qu'elle a mangé la tarte aux pommes nucléaire de ma boîte à sucre chinoise pour café polonais.
Oui, je suis furax, soûlard, je ne parle pas non plus, outrancier, que tu picoles du matin au soir et dévores toute ma nourriture, mes catisfactions, mes croquettes Whiskas, mes sachets et les succulents poulets qu'il achète à la vilaine en bas.
- Bon, Pépère ça va suffire là-dessous, je suis au téléphone. Ce n'est pas vrai ce que tu dis.
- Si, c'est vrai, jambe bionique.
J'en veux pour preuve pas plus tard qu'il y a deux jours où tu m'as dit, viens ! mon joli Pépère, j'ai du poulet pour toi. Et moi pauvre souffreteux, j'ai été voir cette manne inespérée et mes pauvres yeux ont été à moitié aveuglés à cause des vapeurs d'alcool que tu dégageais en parlant et je n'ai vu qu'une maigre carcasse.
Oui mes amis, un squelette où l'ignoble individu avait commencé à manger les os des cuisses.
Excusez-moi mes amis, mais je suis énervé.
Bon, ce n'est pas tout ça, mais préparons le matériel pour la soucoupe. La Dacia va bientôt arriver et ils vont aller chercher le canapé de love garbure.
- Chat chat chat, une tarte nucléaire, c'est un peu drôle, tout de même.
- Hé bien, Grisou, pas temps que ça crois moi. Ses dents étaient chargées de radioactivité et elle brûlait tout sûr ce dont elle soufflait. Elle s'en est rendue compte en faisant un rapport sur son ordinateur à la brigade. Cela l'ennuyait de le faire et elle s'était mise à soupirer sur la machine. Le pc a fondu sous ses yeux. Elle m'a alors téléphoné et elle n'eut que le temps de dire, vite crapouillot que son téléphone était fondu. J'ai dû m'équiper d'une tenue anti radiation nucléaire pour la soigner, bref.
- Oui en effet, Pépère, mais c'est quoi cette histoire de canapé.

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Une belle lecture avec ces histoires de Pépère
Merci Daniel
Amicalement et bonne journée
Gaby