Dans le champ, Momo était face à Cookie et Lucie arrivait sur lui d'un pas décidé. Elle semblait calme mais en fait elle se demandait où était l'homme qu'elle avait vu derrière le noyer ainsi que les deux Américains partis plus tôt à sa poursuite.
- Hii, ça va Momo, tu as vu la chatmoureuse à Pépère.
- Oui, Chère Amie, j'ai rassuré la douce qui fut inquiète que Pépère ne l'ai oublié. Ne savez-vous peut-être pas, mais cet olibrius que je m'en viens de punir à semé le trouble en sa raison.
- Ha, oui, hiii ou est-il ce fou furieux, mais d'où vient-il ?
- Écoutez ma chère, j'ignore comme vous d'où réchappe cet énergumène. Assurément le bougre à les oreilles emplies de cérumen et il n'entendit point les conseils que je lui prodiguasse quelque temps plus tôt avant qu'il ne s'en revienne en ces contrées.
Le pitre, qui ferait un fort mauvais bouffon à notre roi, s'en va au zéphyr chantant pour clamer sa déraison à la belle Adélaïde. Malgré que j'ignorasse la fragrance de la damoiselle, je la subodore et la douce Ainos fut persuadée un temps qu'elle fût une courtisane de Pépère.
- Hiii, comment cela a pu arriver, hiii, il ne ressemble pas à un chat, hiii.
- Pépère fait caca, hiiii c'est un dégoûtant, hiii, il a déjà pollué ma cabane à deux reprises, hiii, pirate.
- Attendez mes mies, que je vous explique le leitmotiv de ses inquiétudes. Voilà, le faquin est venu vers chez elle avec un costume de chat sans que je puisse vous en fournir une quelque raison plausible. Sans doute que le mauvais plaisantin s'en allât à un bal masqué ou bien s'en revenait il de l'asile. Le sacripant tenait son cylindre musical et il déclamait sa passion à la douce Adélaïde dont je ne sais de quelle cour elle puisse être. La brave minette s'était imaginée des choses extravagantes à ce sujet et elle le pensât jusqu'à ce que je lui annonce que ce n'était que ce maraud qui était totalement désorienté et sans raison propre.
C'est alors que m'en revenant de chez la douce minette que j'aie croisé ce rustre.
Fuyez de mes terres, faquin, où je fais ériger un bûcher pour vous punir, lui ai-je annoncé d'un ton clément. Que diantre, lui a-t-il prit de revenir, seul son esprit trismégiste pourrait nous le dire.
C'est alors que je l'ai découvert proche du noyer, je peux vous assurer que là, je n'aie point été tendre à sa demeure.
Écoutez moi bien faquin, lui ai-je dit, je m'en fais donner l'ordre que l'on mit l'huile à bouillir au château. J'envoie un pli à l'intention du roi, regardez manant ce pigeon, lui ai-je assuré, il s'en va porter ma missive au roi. D'ici cinq minutes, le pont-levis sera clos et les meurtrières ornées du fut des canons. Alors fuyez coupe jarret et ne remettez plus jamais les pieds sur les contrées du roi Momo second.
- Hii, il t'a cru ?
- Que diable, il n'en manquât que le contraire pour que je lui bottasse les fesses. Sachez que je n'admets point la défaite et encore moins la désobéissance.
- Hii, c'est un bandit, hiii il a eu ce qu'il mérite, hiii.
À l'épicerie pendant ce temps, tous les convives mangeaient paisiblement avant de reprendre la route dans le camping-car du Belge. L'épicière avait sorti un poulet de la rôtissoire et avait préparé des frites avec l'aide du ministre.
- Alors vieille girafe des îles Galàpagos, tu te régales de la chair de ces succulents poulets, lol.
- Écoute moi vieux zèbre de Corse du Sud, burine toi le museau et mange tes frites, je ne te demande rien.
- N'empêche, tous les deux vous êtes des sacrés comiques. C'est autre chose que les Soubirou n'est-ce pas !
- Manger pendant que c'est chaud, vous vous disputerez après.
- Oui, ma brave rouquine, vous avez raison, le temps est à la paix. Tu les entends mon Manu, question humour, ils vont te faire de l'ombre, lol.
- Écoute mon Totof, je ne suis pas un comique non plus, mais ça me rappelle avoir fait des ombres chinoises en Belgique par association d'idée.
- Tu entends ça vieux sapajou, ce n'est pas toi qui en ferais autant avec ton aube dans ton mausolée.
- Mais faites là taire, c'est insupportable à la fin, et toi au couvent, tu en faisais avec ta cornette vieille bique. Écoutons plutôt l'histoire du président.
- Ho, vous savez monsieur le pape ce n'est qu'une petite anecdote. Voilà, comment, c'est arrivé, j'étais parti en vacances en Belgique avec mes parents et un soir nous avons été manger dans un restaurant où se tenaient des spectacles. Il y avait un numéro d'ombres chinoises.
Nous mangions tranquillement quand la femme qui venait de faire son numéro passa à côté de notre table. Moi, j'étais émerveillé et je l'ai salué de la tête en passant. J'avais oublié mon maudit cheveu et j'ai fait une balayette à la malheureuse sans le vouloir. Elle a chuté sur la table d'en face où trônaient des bougies. Certainement, qu'on y donnât un dîner romantique. Ses cheveux se sont embrassés et mon père a éteint l'incendie du cheveu avec du vin. La brave femme plutôt que de rester calme pour un malheureux feu de cheveux s'était agité dans tout le restaurant avant qu'elle soit revenue vers mon père. Voilà comment elle a fini chauve et que le restaurant a brûlé. Voyez-vous, rien de bien méchant en fait. Malheureusement, j'ai été condamné à trente jours d'ombres chinoises en dédommagement dès que le restaurant fut remis en état. Je faisais des ombres exceptionnelles avec mon cheveu et en un mois le propriétaire a empoché des millions d'euros. J'ai même été notifié au livre Guinness des records comme étant le seul être sur terre capable de faire des ombres chinoises avec un seul de ses cheveux.
Le poète à Sancoins regardait évoluer, Coin-coin et Pêcheur et il lui semblait que le héron avait un chat sur son dos.
- Toc toc toc, mais que fait cet homme, toc toc toc, il nous espionne, toc toc toc, il faut prévenir Pépère.
- Fle fle fle, non, c'est le maître à Pépère et le love poète de ma love gendarme qui donne du pain aux petites pattes, fle fle fle.
- Alors laissons le regarder, il me semblait le reconnaître de loin. Alors Isidore, que penses-tu de notre prestation.
- Vous êtes les meilleurs et vous serez les plus applaudis de toutes griffes dehors.
Le poète prit la résolution de partir et commença à aller vers sa voiture. Le Pépère se dépêcha de ranger sa bible comme il l'appelait dans le fond du chat-ventre.
- Hé, regarde mon frérot, cornet de glace au rhum pour love saucisson vinassée s'en va vers sa voiture. Prépare-toi, je vais te rendre invisible et n'oublie pas dès qu'il pose la carte prend là. Je serai devant le musée de la viande à t'attendre.
Mince, il s'arrête, mais que faut-il ?
Hé soûlard, tu vas te dépêcher un peu de monter dans ton char, nous attendons nous autres. Nous avons des poulets à rouler soûlard, tu t'occuperas des feuilles qui tombent des arbres demain. Ce n'est pas la saison poivrot de faire de la vinasse d'arbre.
- Que regarde-t-il comme ça ?
C'est drôle ça le vin d'arbre, chat chat chat.
- Ce qu'il fait, regarde, il a le téléphone en main. Il est en direct avec l'auberge des moines avec Marc pour sans doute se renseigner sur l'état de la cave. Oui, n'oublie pas que ma love rhum y est déjà. Surtout en sortant de la voiture devant l'antre des soûlographes ne t'inquiète pas de l'odeur. Oui là vilaine que l'on a arrêté à fait en sorte que son Dracula fasse une explosion de couche. Lâche moi ce téléphone soûlard et va tant ce n'est pas de ton âge cet objet, non mais, donne le à ton chat.
Bon attendons que jambe bionique bras d'acier s'envoie un coup de dégrippant dans le museau pour se dérouiller et repartir.
Oui, tu trouves que c'est drôle le vin d'arbre, hé bien pas moi. Car j'ai déjà fait la cueillette et en plus en écoutant la musique favorite à ma love colis.
- Ha bon du vin d'arbre, ça existe alors ?
- Oui, écoute l'histoire, tu vas comprendre. Un soir ma love pochettes arrive dans le gourbi et ils se mettent à parler de l'Amazonie. C'est alors qu'elle lui dit, là-bas, ils font de l'alcool avec les feuilles des arbres. Puis la conversation en est restée là. Le lendemain, il arrive tout content avec ma chalauréane remplie de matériel hi-fi. C'est alors qu'il me dit mon gentil minet, tu vas accrocher les hauts parleurs dans les arbres. Je lui ai demandé pourquoi c'était destiné. Il me répond, c'est une surprise pour ta maîtresse. Là, j'ai commencé à craindre le pire. Puis deux jours plus tard, toute la forêt était sonorisée. Ensuite, il m'a fait faire place nette en plein milieu du bois avant de m'y faire emmener l'alambic que j'ai tiré au harnais. C'est alors qu'il me dit charge la bête du bois que tu as coupé, attention elle arrive. Commence à cueillir les feuilles et amène les moi. C'est ainsi que j'ai fait le força entre cueillir les feuilles alimenter l'alambic en bois et tirer le vin. Puis elle est arrivée et il s'est saisi d'une télécommande et à crié, musique maestro. Elle était ravie, elle buvait le vin d'arbre avec sa musique favorite qui a failli me rendre sourd.
Prépare-toi, il repart, mon frérot.
- Oui Pépère, c'était quoi la musique ?
- De l'opérette, la route fleurie, et ça a duré toute la nuit.
- Hii, ça va Momo, tu as vu la chatmoureuse à Pépère.
- Oui, Chère Amie, j'ai rassuré la douce qui fut inquiète que Pépère ne l'ai oublié. Ne savez-vous peut-être pas, mais cet olibrius que je m'en viens de punir à semé le trouble en sa raison.
- Ha, oui, hiii ou est-il ce fou furieux, mais d'où vient-il ?
- Écoutez ma chère, j'ignore comme vous d'où réchappe cet énergumène. Assurément le bougre à les oreilles emplies de cérumen et il n'entendit point les conseils que je lui prodiguasse quelque temps plus tôt avant qu'il ne s'en revienne en ces contrées.
Le pitre, qui ferait un fort mauvais bouffon à notre roi, s'en va au zéphyr chantant pour clamer sa déraison à la belle Adélaïde. Malgré que j'ignorasse la fragrance de la damoiselle, je la subodore et la douce Ainos fut persuadée un temps qu'elle fût une courtisane de Pépère.
- Hiii, comment cela a pu arriver, hiii, il ne ressemble pas à un chat, hiii.
- Pépère fait caca, hiiii c'est un dégoûtant, hiii, il a déjà pollué ma cabane à deux reprises, hiii, pirate.
- Attendez mes mies, que je vous explique le leitmotiv de ses inquiétudes. Voilà, le faquin est venu vers chez elle avec un costume de chat sans que je puisse vous en fournir une quelque raison plausible. Sans doute que le mauvais plaisantin s'en allât à un bal masqué ou bien s'en revenait il de l'asile. Le sacripant tenait son cylindre musical et il déclamait sa passion à la douce Adélaïde dont je ne sais de quelle cour elle puisse être. La brave minette s'était imaginée des choses extravagantes à ce sujet et elle le pensât jusqu'à ce que je lui annonce que ce n'était que ce maraud qui était totalement désorienté et sans raison propre.
C'est alors que m'en revenant de chez la douce minette que j'aie croisé ce rustre.
Fuyez de mes terres, faquin, où je fais ériger un bûcher pour vous punir, lui ai-je annoncé d'un ton clément. Que diantre, lui a-t-il prit de revenir, seul son esprit trismégiste pourrait nous le dire.
C'est alors que je l'ai découvert proche du noyer, je peux vous assurer que là, je n'aie point été tendre à sa demeure.
Écoutez moi bien faquin, lui ai-je dit, je m'en fais donner l'ordre que l'on mit l'huile à bouillir au château. J'envoie un pli à l'intention du roi, regardez manant ce pigeon, lui ai-je assuré, il s'en va porter ma missive au roi. D'ici cinq minutes, le pont-levis sera clos et les meurtrières ornées du fut des canons. Alors fuyez coupe jarret et ne remettez plus jamais les pieds sur les contrées du roi Momo second.
- Hii, il t'a cru ?
- Que diable, il n'en manquât que le contraire pour que je lui bottasse les fesses. Sachez que je n'admets point la défaite et encore moins la désobéissance.
- Hii, c'est un bandit, hiii il a eu ce qu'il mérite, hiii.
À l'épicerie pendant ce temps, tous les convives mangeaient paisiblement avant de reprendre la route dans le camping-car du Belge. L'épicière avait sorti un poulet de la rôtissoire et avait préparé des frites avec l'aide du ministre.
- Alors vieille girafe des îles Galàpagos, tu te régales de la chair de ces succulents poulets, lol.
- Écoute moi vieux zèbre de Corse du Sud, burine toi le museau et mange tes frites, je ne te demande rien.
- N'empêche, tous les deux vous êtes des sacrés comiques. C'est autre chose que les Soubirou n'est-ce pas !
- Manger pendant que c'est chaud, vous vous disputerez après.
- Oui, ma brave rouquine, vous avez raison, le temps est à la paix. Tu les entends mon Manu, question humour, ils vont te faire de l'ombre, lol.
- Écoute mon Totof, je ne suis pas un comique non plus, mais ça me rappelle avoir fait des ombres chinoises en Belgique par association d'idée.
- Tu entends ça vieux sapajou, ce n'est pas toi qui en ferais autant avec ton aube dans ton mausolée.
- Mais faites là taire, c'est insupportable à la fin, et toi au couvent, tu en faisais avec ta cornette vieille bique. Écoutons plutôt l'histoire du président.
- Ho, vous savez monsieur le pape ce n'est qu'une petite anecdote. Voilà, comment, c'est arrivé, j'étais parti en vacances en Belgique avec mes parents et un soir nous avons été manger dans un restaurant où se tenaient des spectacles. Il y avait un numéro d'ombres chinoises.
Nous mangions tranquillement quand la femme qui venait de faire son numéro passa à côté de notre table. Moi, j'étais émerveillé et je l'ai salué de la tête en passant. J'avais oublié mon maudit cheveu et j'ai fait une balayette à la malheureuse sans le vouloir. Elle a chuté sur la table d'en face où trônaient des bougies. Certainement, qu'on y donnât un dîner romantique. Ses cheveux se sont embrassés et mon père a éteint l'incendie du cheveu avec du vin. La brave femme plutôt que de rester calme pour un malheureux feu de cheveux s'était agité dans tout le restaurant avant qu'elle soit revenue vers mon père. Voilà comment elle a fini chauve et que le restaurant a brûlé. Voyez-vous, rien de bien méchant en fait. Malheureusement, j'ai été condamné à trente jours d'ombres chinoises en dédommagement dès que le restaurant fut remis en état. Je faisais des ombres exceptionnelles avec mon cheveu et en un mois le propriétaire a empoché des millions d'euros. J'ai même été notifié au livre Guinness des records comme étant le seul être sur terre capable de faire des ombres chinoises avec un seul de ses cheveux.
Le poète à Sancoins regardait évoluer, Coin-coin et Pêcheur et il lui semblait que le héron avait un chat sur son dos.
- Toc toc toc, mais que fait cet homme, toc toc toc, il nous espionne, toc toc toc, il faut prévenir Pépère.
- Fle fle fle, non, c'est le maître à Pépère et le love poète de ma love gendarme qui donne du pain aux petites pattes, fle fle fle.
- Alors laissons le regarder, il me semblait le reconnaître de loin. Alors Isidore, que penses-tu de notre prestation.
- Vous êtes les meilleurs et vous serez les plus applaudis de toutes griffes dehors.
Le poète prit la résolution de partir et commença à aller vers sa voiture. Le Pépère se dépêcha de ranger sa bible comme il l'appelait dans le fond du chat-ventre.
- Hé, regarde mon frérot, cornet de glace au rhum pour love saucisson vinassée s'en va vers sa voiture. Prépare-toi, je vais te rendre invisible et n'oublie pas dès qu'il pose la carte prend là. Je serai devant le musée de la viande à t'attendre.
Mince, il s'arrête, mais que faut-il ?
Hé soûlard, tu vas te dépêcher un peu de monter dans ton char, nous attendons nous autres. Nous avons des poulets à rouler soûlard, tu t'occuperas des feuilles qui tombent des arbres demain. Ce n'est pas la saison poivrot de faire de la vinasse d'arbre.
- Que regarde-t-il comme ça ?
C'est drôle ça le vin d'arbre, chat chat chat.
- Ce qu'il fait, regarde, il a le téléphone en main. Il est en direct avec l'auberge des moines avec Marc pour sans doute se renseigner sur l'état de la cave. Oui, n'oublie pas que ma love rhum y est déjà. Surtout en sortant de la voiture devant l'antre des soûlographes ne t'inquiète pas de l'odeur. Oui là vilaine que l'on a arrêté à fait en sorte que son Dracula fasse une explosion de couche. Lâche moi ce téléphone soûlard et va tant ce n'est pas de ton âge cet objet, non mais, donne le à ton chat.
Bon attendons que jambe bionique bras d'acier s'envoie un coup de dégrippant dans le museau pour se dérouiller et repartir.
Oui, tu trouves que c'est drôle le vin d'arbre, hé bien pas moi. Car j'ai déjà fait la cueillette et en plus en écoutant la musique favorite à ma love colis.
- Ha bon du vin d'arbre, ça existe alors ?
- Oui, écoute l'histoire, tu vas comprendre. Un soir ma love pochettes arrive dans le gourbi et ils se mettent à parler de l'Amazonie. C'est alors qu'elle lui dit, là-bas, ils font de l'alcool avec les feuilles des arbres. Puis la conversation en est restée là. Le lendemain, il arrive tout content avec ma chalauréane remplie de matériel hi-fi. C'est alors qu'il me dit mon gentil minet, tu vas accrocher les hauts parleurs dans les arbres. Je lui ai demandé pourquoi c'était destiné. Il me répond, c'est une surprise pour ta maîtresse. Là, j'ai commencé à craindre le pire. Puis deux jours plus tard, toute la forêt était sonorisée. Ensuite, il m'a fait faire place nette en plein milieu du bois avant de m'y faire emmener l'alambic que j'ai tiré au harnais. C'est alors qu'il me dit charge la bête du bois que tu as coupé, attention elle arrive. Commence à cueillir les feuilles et amène les moi. C'est ainsi que j'ai fait le força entre cueillir les feuilles alimenter l'alambic en bois et tirer le vin. Puis elle est arrivée et il s'est saisi d'une télécommande et à crié, musique maestro. Elle était ravie, elle buvait le vin d'arbre avec sa musique favorite qui a failli me rendre sourd.
Prépare-toi, il repart, mon frérot.
- Oui Pépère, c'était quoi la musique ?
- De l'opérette, la route fleurie, et ça a duré toute la nuit.