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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
Pendant que Pépère fonçait sur Sancoins, un drame se préparait contre lui.Les Américains qui avaient enregistré les fréquences de la chatte Aïnos étaient persuadés que la chatte était en fait une génoïde. C'est ainsi qu'après avoir eu la confirmation des ingénieurs du Pentagone qu'ils décidèrent de lancer une enquête de voisinage afin de savoir où elle habitait. Dans un premier temps les Américains qui avaient eu connaissance de la naissance de la petite dont Pépère était supposé être le père, s'étaient dit que la mère était Aïnos. Mais, suite aux reportages successifs de Voichat, il avait la certitude que la mère de l'enfant n'était pas Aïnos mais Divine la rouquine. Les hommes du pentagone étaient décidés de récupérer Aïnos et l'emmener chez un vétérinaire afin qu'il prouve qu'elle n'avait pas de cœur. Ces hommes étaient pour la plupart des scientifiques et pour eux Aïnos si, elle était une génoïde devenait pour eux un formidable matériel d'étude. Ils avaient observé la chatte et rien ne pouvait la différencier d'un robot. La technique qui avait créé Aïnos était pour eux d'origine extraterrestre, ils n'en avaient aucun doute. Grâce à la lecture et au décryptage de sa mémoire, ils comptaient enfin percer le mystère des relations cognitives qui étaient encore au stade embryonnaire même chez les humanoïdes les plus aboutis. Il manquait toujours une condition essentielle afin que ceux-ci franchissent la barrière qui les empêchait de se prendre pour de vrai humains. Si Aïnos pouvait livrer ces secrets, celui qui les découvrirait aurait entre les mains le Graal absolu. Enfin pouvoir faire un robot, qu'il soit humanoïde ou génoïde totalement autonome et au même degré cognitif que l'humain.
Le brigadier était toujours sur la nationale. Enfin, une voiture arriva sur lui et il se mit au milieu de la route pour l'arrêter. L'homme qui était de passage en France était hollandais et il ne comprenait pas un mot de ce que lui disait le brigadier. Il le prit pour un épouvantail à moineaux et força le passage avant de reprendre la route. L'homme lui avait fait mauvaise impression et il prit la direction de la gendarmerie pour le signaler.
Juste derrière, le Belge qui était resté un moment à Mornay, regagnait Sancoins. Il était encore vexé des propos du général Picolle qu'il avait rencontré à l'épicerie.
Naturellement, voyant qu'il avait devant lui un gendarme, il ralentit et s'arrêta. Il n'était pas question de laisser un collègue dans la misère. Étant lui-même policier à Namur, il ne se voyait pas, ne pas lui porter assistance. Il n'avait pas reconnu le brigadier Tatouvu tant il était dans un état épouvantable.
Le brigadier s'avança et la femme dans l'automobile le reconnu.
- Ça, c'est un comble n'est-ce pas mon mari. Regarde qui est là devant ton carreau une fois. C'est un complice des Soubirou.
- Laisse faire, une fois, c'est un gendarme, je me devais de m'arrêter. N'empêche, c'est une drôle de tenue pour un agent.
Il ouvrit sa vitre et vit que l'homme avait une drôle d'attitude. Le visage rubicond, chancelant et les yeux comme les phares d'un pétrolier en plein naufrage.
Le brigadier n'avait pas oublié de finir la caisse de vin qui était dans le coffre de l'auto.
- Au rond de la bois, votre tentacule est positionnée par la gendarmerie de Tatouvu. Rapier de fidélité, hic, certificat de gérance, hic, nous reste en l'état de gestation, hic.
- Hé bien, c'est du joli la France. Les gendarmes se déguisent en Soubirou n'est-ce pas et détroussent les automobilistes une fois. Pour fêter ça, une fois vous me demandez de l'argent n'est-ce pas, alors que vous m'avez volé chez la vilaine rouquine d'à côté. Tu avais raison mon épouse, c'est une belle escroquerie cet agent. Filons d'ici pour aller raconter ça à Pépère, tantôt.
- Oui, mon mari redémarre, ne t'occupe pas de lui. C'est une honte de se mettre à moitié nu le long des autos tantôt, pour soutirer de l'argent. Passe moi donc une gaufrette une fois et prend en une et détend toi mon époux. C'est certain, je te l'avais dit, c'est une bande d'ivrognes les Soubirou.
Le Belge poussa de la main le brigadier, à qui il ne fallait pas plus pour le faire reculer. Il partit à toute vitesse pour reprendre une allure normale quelques centaines de mètres plus loin.
Le pauvre Pépère ignorait tout des dangers qui menaçaient sa chatte love. Il avait enfin ralenti et arrivait à l'entrée de la commune. Une idée l'obsédait s'arrêter à intermarcher. Il pensait aux caisses de viandes qui avaient été sorties la veille suite à la bourrasque de vent qui avait arraché une partie du toit. Il comptait récupérer une de ces caisses pour l'emmener vers la mare à Coin-coin. Il se voyait déjà dans un savant calcul de moyenne compensée distribuant la viande à ces amis. C'est ainsi qu'il resta arrêté, rêveur, au stop à l'entrée de la ville. Cela faisait dix minutes qu'il était là avec la patte dans le chatventre en train de parler imaginairement à Pauline la poitrine de veau, à Noémi le rôti et Paulette la paupiette.
C'est Avéame qui le sortit de sa rêverie.
- Hé bien, Pépère, tu es en pause. Ho, Pépère passe à la plage suivante, le DVD va se figer, chat chat chat. Tu vas vers intermarcher, pourquoi Pépère, tu me ramènes chez moi ? Je pensais retrouver mon chatmoureux vers la mare à Coin-coin.
- Toc toc toc, je croyais que tu étais pressé, toc toc toc.
- Fle fle fle, je croyais que ma love gendarme était menacée, fle fle fle.
- Ne t'inquiète pas, Coin-coin, ma love aime le vin est en train de manger des crocodiles haribo au rhum avec son ami Portugais à la grotte des moines en récitant des prières en l'honneur du saint des vignerons. Saint-Vincent la veille pas d'inquiétude à avoir. Oui Avéame, je suis arrêté à ce stop depuis un moment, c'est vrai. C'est parce que je suis le code de la route au pied de la lettre. Je respecte les vitesses, les distances de sécurité et l'arrêt imposé au stop. Non Avéame, je ne vais pas te ramener chez toi, je dois voir un ami là-bas, ça sera rapide.
- Profites-en pour acheter du savons de Marseille, chat chat chat, pour laver ton ventre.
Pêcheur et Coin-coin cancanaient à en perdre les plumes.
Le Pépère redémarra et prit la direction du magasin. La blague d'Avéame l'avait amèrement fait sourire. Il entra sur le parking et la regardant lui répondit ce qu'il pensait de sa réflexion.
- Ta blague est très drôle Avéame, néanmoins, elle me rappelle que j'ai failli être électrocuté à cause du savon de Marseille. Alors permet moi de te dire que je rigole amèrement.
- Toc toc toc, tu as travaillé dans une fabrique de savon, toc toc toc, tu t'es électrocuté avec la machine qui le fait toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love gendarme elle lave les écuelles des petites pattes au savon de Marseille, fle fle fle pour mettre du pain dedans.
- Ha bon, Pépère, comment tu as pu t'électrocuter avec du savon ?
- Hé bien, non, je n'ai pas travaillé chez le petit Marseillais alcoolisé. Je vais te l'expliquer Avéame et tu vas comprendre. Voilà, l'histoire de cette mésaventure. Un jour, mon stylo au Ricard pour étiquette de vin Norvégien décida de repeindre le toit de sa xsara en rouge. Il était à-jeun à quinze heures ce qui était exceptionnel. Après, ayant désossé la voiture, il était à pieds. Puis sa comparse était passée le matin et sous prétexte de désynchronisation chronique de la langue avait fini tous le vin qui était entreposé dans son gourbi. Donc, il se met à peindre et totalement en manque d'alcool, il a fini par boire le diluant de la peinture. Autant vous dire que mon perroquet spasmophile chanteur de boisson à boire a fini complètement cramé. Il s'était peint en rouge les cheveux autant que le toit de l'auto. Le lendemain, il demande conseil à sa moitié pour savoir comment enlever la peinture sur les cheveux. Elle lui dit de prendre du savon de Marseille. Le pire, c'est que ça a marché et il était content de lui. Dans l'après-midi, il s'est rendu compte que ses cheveux étaient électriques à cause du shampoing au savon de Marseille. Tout content, il fait un essai de démarrage de voiture avec l'électricité des cheveux. C'est ainsi qu'avec deux pinces sur les cheveux, il a redémarré sa quatre ailes dont la batterie était hs. La bonne aubaine qu'il s'est dit, je n'aurais plus besoin de batterie pour charger mon téléphone. Oui, son capharnaüm est équipé en solaire car, ils lui ont coupé le courant suite à des factures impayées quand il avait son magasin de vinasse qu'il alimentait avec son compteur personnel, bref. Le lendemain, il a déchanté, car il était chauve. L'absorption du diluant à peinture ne lui avait pas brûlé le foie qui est habitué à ce genre de jeu. Par contre ses cheveux ont pris feu dans la nuit. Totalement chauve, je le retrouve deux jours plus tard ayant été absent pour une mission. Il me dit, mon gamin, tu vas me rendre un service. Voilà, je n'ai plus d'électricité, car une branche est tombée sur mes panneaux solaires. C'est comme ça que je fus lavé de force au savon de Marseille alors que j'étais déjà parfaitement propre. Puis il m'a fait revêtir un gilet fait avec du grillage et l'a raccordé à la terre avec un fil. Voilà comment j'ai été transformé en chargeur de téléphone prise usb branché dans l'oreille. Des fourmis carnivores d'Uruguay qui étaient non loin de moi ont mangé le fil de terre. Oui, j'ai un sang toxique pour ces fourmis mangeuse de métal. J'ai fini par être chargé par le téléphone, car le courant circulait à l'envers. Voilà l'histoire du savon.
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Cortisone

Maître Poète
#2
Pendant que Pépère fonçait sur Sancoins, un drame se préparait contre lui.Les Américains qui avaient enregistré les fréquences de la chatte Aïnos étaient persuadés que la chatte était en fait une génoïde. C'est ainsi qu'après avoir eu la confirmation des ingénieurs du Pentagone qu'ils décidèrent de lancer une enquête de voisinage afin de savoir où elle habitait. Dans un premier temps les Américains qui avaient eu connaissance de la naissance de la petite dont Pépère était supposé être le père, s'étaient dit que la mère était Aïnos. Mais, suite aux reportages successifs de Voichat, il avait la certitude que la mère de l'enfant n'était pas Aïnos mais Divine la rouquine. Les hommes du pentagone étaient décidés de récupérer Aïnos et l'emmener chez un vétérinaire afin qu'il prouve qu'elle n'avait pas de cœur. Ces hommes étaient pour la plupart des scientifiques et pour eux Aïnos si, elle était une génoïde devenait pour eux un formidable matériel d'étude. Ils avaient observé la chatte et rien ne pouvait la différencier d'un robot. La technique qui avait créé Aïnos était pour eux d'origine extraterrestre, ils n'en avaient aucun doute. Grâce à la lecture et au décryptage de sa mémoire, ils comptaient enfin percer le mystère des relations cognitives qui étaient encore au stade embryonnaire même chez les humanoïdes les plus aboutis. Il manquait toujours une condition essentielle afin que ceux-ci franchissent la barrière qui les empêchait de se prendre pour de vrai humains. Si Aïnos pouvait livrer ces secrets, celui qui les découvrirait aurait entre les mains le Graal absolu. Enfin pouvoir faire un robot, qu'il soit humanoïde ou génoïde totalement autonome et au même degré cognitif que l'humain.
Le brigadier était toujours sur la nationale. Enfin, une voiture arriva sur lui et il se mit au milieu de la route pour l'arrêter. L'homme qui était de passage en France était hollandais et il ne comprenait pas un mot de ce que lui disait le brigadier. Il le prit pour un épouvantail à moineaux et força le passage avant de reprendre la route. L'homme lui avait fait mauvaise impression et il prit la direction de la gendarmerie pour le signaler.
Juste derrière, le Belge qui était resté un moment à Mornay, regagnait Sancoins. Il était encore vexé des propos du général Picolle qu'il avait rencontré à l'épicerie.
Naturellement, voyant qu'il avait devant lui un gendarme, il ralentit et s'arrêta. Il n'était pas question de laisser un collègue dans la misère. Étant lui-même policier à Namur, il ne se voyait pas, ne pas lui porter assistance. Il n'avait pas reconnu le brigadier Tatouvu tant il était dans un état épouvantable.
Le brigadier s'avança et la femme dans l'automobile le reconnu.
- Ça, c'est un comble n'est-ce pas mon mari. Regarde qui est là devant ton carreau une fois. C'est un complice des Soubirou.
- Laisse faire, une fois, c'est un gendarme, je me devais de m'arrêter. N'empêche, c'est une drôle de tenue pour un agent.
Il ouvrit sa vitre et vit que l'homme avait une drôle d'attitude. Le visage rubicond, chancelant et les yeux comme les phares d'un pétrolier en plein naufrage.
Le brigadier n'avait pas oublié de finir la caisse de vin qui était dans le coffre de l'auto.
- Au rond de la bois, votre tentacule est positionnée par la gendarmerie de Tatouvu. Rapier de fidélité, hic, certificat de gérance, hic, nous reste en l'état de gestation, hic.
- Hé bien, c'est du joli la France. Les gendarmes se déguisent en Soubirou n'est-ce pas et détroussent les automobilistes une fois. Pour fêter ça, une fois vous me demandez de l'argent n'est-ce pas, alors que vous m'avez volé chez la vilaine rouquine d'à côté. Tu avais raison mon épouse, c'est une belle escroquerie cet agent. Filons d'ici pour aller raconter ça à Pépère, tantôt.
- Oui, mon mari redémarre, ne t'occupe pas de lui. C'est une honte de se mettre à moitié nu le long des autos tantôt, pour soutirer de l'argent. Passe moi donc une gaufrette une fois et prend en une et détend toi mon époux. C'est certain, je te l'avais dit, c'est une bande d'ivrognes les Soubirou.
Le Belge poussa de la main le brigadier, à qui il ne fallait pas plus pour le faire reculer. Il partit à toute vitesse pour reprendre une allure normale quelques centaines de mètres plus loin.
Le pauvre Pépère ignorait tout des dangers qui menaçaient sa chatte love. Il avait enfin ralenti et arrivait à l'entrée de la commune. Une idée l'obsédait s'arrêter à intermarcher. Il pensait aux caisses de viandes qui avaient été sorties la veille suite à la bourrasque de vent qui avait arraché une partie du toit. Il comptait récupérer une de ces caisses pour l'emmener vers la mare à Coin-coin. Il se voyait déjà dans un savant calcul de moyenne compensée distribuant la viande à ces amis. C'est ainsi qu'il resta arrêté, rêveur, au stop à l'entrée de la ville. Cela faisait dix minutes qu'il était là avec la patte dans le chatventre en train de parler imaginairement à Pauline la poitrine de veau, à Noémi le rôti et Paulette la paupiette.
C'est Avéame qui le sortit de sa rêverie.
- Hé bien, Pépère, tu es en pause. Ho, Pépère passe à la plage suivante, le DVD va se figer, chat chat chat. Tu vas vers intermarcher, pourquoi Pépère, tu me ramènes chez moi ? Je pensais retrouver mon chatmoureux vers la mare à Coin-coin.
- Toc toc toc, je croyais que tu étais pressé, toc toc toc.
- Fle fle fle, je croyais que ma love gendarme était menacée, fle fle fle.
- Ne t'inquiète pas, Coin-coin, ma love aime le vin est en train de manger des crocodiles haribo au rhum avec son ami Portugais à la grotte des moines en récitant des prières en l'honneur du saint des vignerons. Saint-Vincent la veille pas d'inquiétude à avoir. Oui Avéame, je suis arrêté à ce stop depuis un moment, c'est vrai. C'est parce que je suis le code de la route au pied de la lettre. Je respecte les vitesses, les distances de sécurité et l'arrêt imposé au stop. Non Avéame, je ne vais pas te ramener chez toi, je dois voir un ami là-bas, ça sera rapide.
- Profites-en pour acheter du savons de Marseille, chat chat chat, pour laver ton ventre.
Pêcheur et Coin-coin cancanaient à en perdre les plumes.
Le Pépère redémarra et prit la direction du magasin. La blague d'Avéame l'avait amèrement fait sourire. Il entra sur le parking et la regardant lui répondit ce qu'il pensait de sa réflexion.
- Ta blague est très drôle Avéame, néanmoins, elle me rappelle que j'ai failli être électrocuté à cause du savon de Marseille. Alors permet moi de te dire que je rigole amèrement.
- Toc toc toc, tu as travaillé dans une fabrique de savon, toc toc toc, tu t'es électrocuté avec la machine qui le fait toc toc toc.
- Fle fle fle, ma love gendarme elle lave les écuelles des petites pattes au savon de Marseille, fle fle fle pour mettre du pain dedans.
- Ha bon, Pépère, comment tu as pu t'électrocuter avec du savon ?
- Hé bien, non, je n'ai pas travaillé chez le petit Marseillais alcoolisé. Je vais te l'expliquer Avéame et tu vas comprendre. Voilà, l'histoire de cette mésaventure. Un jour, mon stylo au Ricard pour étiquette de vin Norvégien décida de repeindre le toit de sa xsara en rouge. Il était à-jeun à quinze heures ce qui était exceptionnel. Après, ayant désossé la voiture, il était à pieds. Puis sa comparse était passée le matin et sous prétexte de désynchronisation chronique de la langue avait fini tous le vin qui était entreposé dans son gourbi. Donc, il se met à peindre et totalement en manque d'alcool, il a fini par boire le diluant de la peinture. Autant vous dire que mon perroquet spasmophile chanteur de boisson à boire a fini complètement cramé. Il s'était peint en rouge les cheveux autant que le toit de l'auto. Le lendemain, il demande conseil à sa moitié pour savoir comment enlever la peinture sur les cheveux. Elle lui dit de prendre du savon de Marseille. Le pire, c'est que ça a marché et il était content de lui. Dans l'après-midi, il s'est rendu compte que ses cheveux étaient électriques à cause du shampoing au savon de Marseille. Tout content, il fait un essai de démarrage de voiture avec l'électricité des cheveux. C'est ainsi qu'avec deux pinces sur les cheveux, il a redémarré sa quatre ailes dont la batterie était hs. La bonne aubaine qu'il s'est dit, je n'aurais plus besoin de batterie pour charger mon téléphone. Oui, son capharnaüm est équipé en solaire car, ils lui ont coupé le courant suite à des factures impayées quand il avait son magasin de vinasse qu'il alimentait avec son compteur personnel, bref. Le lendemain, il a déchanté, car il était chauve. L'absorption du diluant à peinture ne lui avait pas brûlé le foie qui est habitué à ce genre de jeu. Par contre ses cheveux ont pris feu dans la nuit. Totalement chauve, je le retrouve deux jours plus tard ayant été absent pour une mission. Il me dit, mon gamin, tu vas me rendre un service. Voilà, je n'ai plus d'électricité, car une branche est tombée sur mes panneaux solaires. C'est comme ça que je fus lavé de force au savon de Marseille alors que j'étais déjà parfaitement propre. Puis il m'a fait revêtir un gilet fait avec du grillage et l'a raccordé à la terre avec un fil. Voilà comment j'ai été transformé en chargeur de téléphone prise usb branché dans l'oreille. Des fourmis carnivores d'Uruguay qui étaient non loin de moi ont mangé le fil de terre. Oui, j'ai un sang toxique pour ces fourmis mangeuse de métal. J'ai fini par être chargé par le téléphone, car le courant circulait à l'envers. Voilà l'histoire du savon.
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Hi hi les belges et les Soubirous sont de retour
J'adoré
Merci Daniel
Amicalement
Gaby