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Pépère le chat du poète. Suite.

#1
À l'épicerie, la cousine du brigadier se demandait bien pourquoi il était parti vers Sancoins sans la prévenir.
- Vous êtes sûr, monsieur Emmanuel cheveu bleu, que mon cousin soit remonté vers la commune voisine.
- Pourquoi me demander vous cela, je n'ai rien dit à ce sujet, il me semble.
- Ha, bon, vous avez votre prothèse constamment en face des yeux, alors je pensais que vous étiez en direct avec le cabinet médical.
- Qu'appelez-vous ma prothèse ? Si c'est mon téléphone, sachez que je ne suis pas un geek. Mais c'est qu'elle me ferait la morale la vilaine. Je vais ai demandé moi combien de fois vous vous barbouillez le visage par jour pour cacher vos points noirs. Hé paf prend ça dans le museau ma grande, ça t'apprendra à te moquer du président.
- Hé bien, vous n'êtes pas commode dites moi.
- Je n'ai pas de tiroir effectivement, ha ha ha.
- Non seulement un cheveu frontal !
Si tu as un problème, on va se là faire à mains nues, tu vas voir mes points noirs, boutonneux du front.
Le pape qui s'était remis du choc avait revêtu un tablier de cuisinier trouvé dans la rôtissoire. Il était partisan de la paix et se devait d'intervenir.
- Écoutez, mes enfants, jeu de mains jeu de vilains. Ne vous énervez pas comme ça nous sommes tous à cran. Malgré tout, nous devons rester calme.
- Ça te va bien de dire ça, vieux Zébulon, tu n'es pas toujours facile avec les autres.
- Cocorico, sœur Mathilde au galop, cocorico.
- Calme toi Coco, mange ton grain mon copain.
- Mon fils, votre ami Coco est un sage et comme vous, il a vu que sœur du couvent des vielles guenons irascibles est impolie. Tu vas fermer ton four à camembert, tu ferais succomber une mouche à cent mètres. Tais-toi, et vous la vilaine présentez des excuse à cheveu bleu et toi l'asticot au bouton frontal vénère ton père.
Le ministre qui était plus détendu que les autres, pris une bouteille de vin et servis un verre au pape et à la sœur. Il prit ensuite une de Coca-Cola et servi trois verres. Il en donna un au président, un pour l'épicière et en pris un pour lui. Il proposa de trinquer au nom de la paix.
Enfin, la sérénité était revenue. Le pape et la sœur se racontaient des blagues de collégiens. L'épicière se mit à faire les yeux doux au président. Coco chantait et le ministre était heureux d'avoir ramené le calme.
Le président reprit un ton normal à sa conversation.
- Brave épicière, je vais contacter le cabinet pour savoir si votre cousin est en ce lieu de soins.
Il envoya un message et reçut comme réponse que celui-ci n'y était plus. Le général était toujours en train d'attendre.
- C'est bizarre, votre cousin n'y est pas. Il doit être en chemin et va arriver ne vous inquiétez pas ma jolie. Vous dont les cheveux cuivrés sont aussi beaux qu'un poème d'automne, ô bel ange qui tisonne l'âtre de Lucifer, comme vous pourriez de vos lanières m'enchaîner, et... Oups, excusez moi, j'ai eu un moment d'égarement, c'est le Coca-Cola et l'histoire des mouches du pape qui m'ont rappelé une vilaine histoire de virus informatique qui a paralysé toute la capitale à cause de mon cheveu.
- Ha, oui, mais ne vous inquiétez pas Emmanuel, je ne pratique que le martinet, oups, racontez nous ça, cela nous passera le temps en attendant le retour de mon cousin.
- Hé bien voilà, l'histoire dont il m'est arrivé, par la faute d'un oubli. Un soir, je rentrais du collège en scooter et me fais arrêter pour un contrôle de papiers. Je les avais oubliés à la maison. Je retire mon casque et l'agent me dit qu'il n'était pas conforme, car il présentait un trou en façade. Énervé ce jour-là, je lui réponds ; et comment je fais avec mon cheveu espèce de décrépi de la justice, je vais t'en coller un coup sur le museau tout à l'heure et tu vas comprendre pourquoi tu me casses les pieds. Illico, j'ai été emmené au commissariat. À l'audition, malgré que j'étais encore énervé, je m'excuse de mes propos. Le ton redescend et l'on me propose à boire. Je demande un Coca-Cola. Je le sirotais tranquillement quand je fus ennuyé par une mouche. Celle-ci s'est posée sur le bord du gobelet et j'ai essayé de la tuer à coup de cheveu. Je n'ai réussi qu'à faire un trou dans le bureau et percer le gobelet. Étant seul, j'ai essuyé le liquide et posé une liasse de feuilles sur le trou. Personne n'a rien vu et j'ai été libéré et il me fut demandé de rapporter mes papiers sous vingt-quatre heures pour vérifier que j'étais en règle. Deux jours plus tard, toute la capitale était paralysée, car tous les feux étaient au rouge et plus un véhicule ne pouvait bouger.
- Mais quel est le rapport, Monsieur le Président.
- J'y viens monsieur le pape. Voilà, depuis un moment des pirates cherchaient à introduire un virus dans l'ordinateur central de la police de la route pour bloquer Paris et le pays. Cet appareil était sous le bureau où j'ai fait le trou avec mon cheveu frontal. L'anti-virus qui protégeait l'ordinateur a été drogué par les bulles du Coca-Cola et il s'était assoupi un court instant. Ce fut à cet instant que le virus fut arrivé à rentrer sur le disque dur qui devint tout moue. Après enquête l'affaire a été révélé, mais je n'ai jamais dit à personne que ce fait était de ma faute.
Le Pépère pendant ce temps-là, avançait lentement vers Sancoins. Il était extrêmement prudent, ce qui étonnait énormément, Coin-coin et Pêcheur qui avaient l'habitude de le voir faire le fou en voiture. Il était un peu vexé de la réflexion que lui avait lancée la chatmoureuse à Fripouille. Il marmonnait au fond de lui, mais ne disait rien à l'autre. La route était silencieuse, car la voiture était électrique. Seul le bruit du bec à Pêcheur tapant sur le siège se faisait entendre. Il essayait d'enlever la terre que lui avait mis Pépère en s'essayant le ventre avec son aile.
Dans la tête à Pépère par contre, c'était un vacarme de pensées qui sinuaient en tous sens.
- Osé me dire que je suis sale. C'est le monde à l'envers, moi le chat au prestige inégalé. Moi qui aie combattu dans tant de pays pour la liberté de la France. Moi qui aie terrassé une panthère à pattes nue, il n'y a pas si longtemps. Elle a de la chance d'être la chatmoureuse à Fripouille, elle ne connaît pas le Pépère. C'est comme ma love maîtresse, oser dire de moi que je suis une fifille, un bouboule, moi le téméraire qui ait la ligne si svelte, moi l'athlète qui aie ramené vingt médailles d'or à la France, ça me démoralise. Et l'autre soûlard, s'il n'était pas si inquiet pour la santé de sa courgette des marchés de Lourdes, tu verrais ce que je lui enverrais dans le museau. Soûlard, si tu crois que je n'ai pas vu que tu étais déboussolé, tu te mets le bouchon dans l'œil mon gaillard. Hé oui, Pépère voit tout saligaud, je suis une intelligence artificielle à moi tout seul capable de faire des calculs plus vite que n'importe lesquels des supers ordinateurs existants sur terre.
Il fut sorti de ses pensées par Avéame.
- Hé bien, dit moi Pépère, c'est fou cette histoire de boas !
- Ha oui, ça, tu l'as dit et encore, tu ne sais pas toute l'histoire.
- Toc toc toc, qu'en a-t-elle fait, toc toc toc, il ne sont pas dans le champ à côté du canal, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai très peur, ils vont manger les petites pattes, fle fle fle et tout le poisson du canal, fle fle fle, ma love gendarme est en danger, fle fle fle.
- Oui comment ça s'est finie, cette histoire, Pépère ?
- Rassurez-vous mes amis, les boas, je les ai mis dans l'avion avec la panthère en direction de l'Afrique. Non voilà l'histoire vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vrai par l'huissier de la vérité vraie. Donc, au départ, ils étaient petits et progressivement, ils sont devenus énormes. En porter un autour du cou était devenu impossible. S'asseoir dessus au bar élevait ma love ne boit pas d'eau jusqu'au plafond. C'est ainsi qu'elle a décidé de les garder à l'appartement. Elle s'en servait comme matelas et Josiane dormait aussi sur eux. La pauvre vache avec ses cornes les crevait et c'est ainsi que mon rabougri fut appelé pour trouver une solution. C'est comme ça qu'ils se sont mis à faire du fromage avec le lait de Josiane. C'est comme ça que ma maîtresse a eu un excès de gras dans les chevilles et qu'elle ne pouvait plus mettre de chaussures. Mon soûlard pensait que le fait de faire manger du fromage aux boas allait boucher les trous. Le résultat, c'est que le fromage fait avec le lait de raisin nucléaire de Josiane les a alcoolisé et qu'ils se sont mis à faire n'importe quoi comme avoir mangé deux voitures sur le parking. Puis, je n'en entendais plus parler et j'ai trouvé ça bizarre. Un jour, je passe à l'appartement et plus de boas. C'est là que j'apprends que les voitures du commissariat ne tenaient plus la route et qu'elles sautaient sur la chaussée. En fait, mon réparateur de capsule pour bouteille iranienne avait eu l'idée de mettre des bande de pneu sur les boas pour boucher les trous. Cela marchait et les bestioles trouvaient ces robes de caoutchouc très confortables. C'est comme ça qu'ils ont été se mettre dans les pneus des voitures de la brigade et qu'elles sautaient sur la route. Le chef de la brigade m'a demandé si j'avais une solution. Je lui ai répondu qu'étant donné que je venais de terrasser une panthère qui devait repartir en Afrique je les mettrais moi-même dans l'avion avec le fauve, voilà Avéame l'histoire des boas. Et après, elle a fait le régime une semaine de saucissons, laissez moi vous en parler.

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Cortisone

Maître Poète
#2
À l'épicerie, la cousine du brigadier se demandait bien pourquoi il était parti vers Sancoins sans la prévenir.
- Vous êtes sûr, monsieur Emmanuel cheveu bleu, que mon cousin soit remonté vers la commune voisine.
- Pourquoi me demander vous cela, je n'ai rien dit à ce sujet, il me semble.
- Ha, bon, vous avez votre prothèse constamment en face des yeux, alors je pensais que vous étiez en direct avec le cabinet médical.
- Qu'appelez-vous ma prothèse ? Si c'est mon téléphone, sachez que je ne suis pas un geek. Mais c'est qu'elle me ferait la morale la vilaine. Je vais ai demandé moi combien de fois vous vous barbouillez le visage par jour pour cacher vos points noirs. Hé paf prend ça dans le museau ma grande, ça t'apprendra à te moquer du président.
- Hé bien, vous n'êtes pas commode dites moi.
- Je n'ai pas de tiroir effectivement, ha ha ha.
- Non seulement un cheveu frontal !
Si tu as un problème, on va se là faire à mains nues, tu vas voir mes points noirs, boutonneux du front.
Le pape qui s'était remis du choc avait revêtu un tablier de cuisinier trouvé dans la rôtissoire. Il était partisan de la paix et se devait d'intervenir.
- Écoutez, mes enfants, jeu de mains jeu de vilains. Ne vous énervez pas comme ça nous sommes tous à cran. Malgré tout, nous devons rester calme.
- Ça te va bien de dire ça, vieux Zébulon, tu n'es pas toujours facile avec les autres.
- Cocorico, sœur Mathilde au galop, cocorico.
- Calme toi Coco, mange ton grain mon copain.
- Mon fils, votre ami Coco est un sage et comme vous, il a vu que sœur du couvent des vielles guenons irascibles est impolie. Tu vas fermer ton four à camembert, tu ferais succomber une mouche à cent mètres. Tais-toi, et vous la vilaine présentez des excuse à cheveu bleu et toi l'asticot au bouton frontal vénère ton père.
Le ministre qui était plus détendu que les autres, pris une bouteille de vin et servis un verre au pape et à la sœur. Il prit ensuite une de Coca-Cola et servi trois verres. Il en donna un au président, un pour l'épicière et en pris un pour lui. Il proposa de trinquer au nom de la paix.
Enfin, la sérénité était revenue. Le pape et la sœur se racontaient des blagues de collégiens. L'épicière se mit à faire les yeux doux au président. Coco chantait et le ministre était heureux d'avoir ramené le calme.
Le président reprit un ton normal à sa conversation.
- Brave épicière, je vais contacter le cabinet pour savoir si votre cousin est en ce lieu de soins.
Il envoya un message et reçut comme réponse que celui-ci n'y était plus. Le général était toujours en train d'attendre.
- C'est bizarre, votre cousin n'y est pas. Il doit être en chemin et va arriver ne vous inquiétez pas ma jolie. Vous dont les cheveux cuivrés sont aussi beaux qu'un poème d'automne, ô bel ange qui tisonne l'âtre de Lucifer, comme vous pourriez de vos lanières m'enchaîner, et... Oups, excusez moi, j'ai eu un moment d'égarement, c'est le Coca-Cola et l'histoire des mouches du pape qui m'ont rappelé une vilaine histoire de virus informatique qui a paralysé toute la capitale à cause de mon cheveu.
- Ha, oui, mais ne vous inquiétez pas Emmanuel, je ne pratique que le martinet, oups, racontez nous ça, cela nous passera le temps en attendant le retour de mon cousin.
- Hé bien voilà, l'histoire dont il m'est arrivé, par la faute d'un oubli. Un soir, je rentrais du collège en scooter et me fais arrêter pour un contrôle de papiers. Je les avais oubliés à la maison. Je retire mon casque et l'agent me dit qu'il n'était pas conforme, car il présentait un trou en façade. Énervé ce jour-là, je lui réponds ; et comment je fais avec mon cheveu espèce de décrépi de la justice, je vais t'en coller un coup sur le museau tout à l'heure et tu vas comprendre pourquoi tu me casses les pieds. Illico, j'ai été emmené au commissariat. À l'audition, malgré que j'étais encore énervé, je m'excuse de mes propos. Le ton redescend et l'on me propose à boire. Je demande un Coca-Cola. Je le sirotais tranquillement quand je fus ennuyé par une mouche. Celle-ci s'est posée sur le bord du gobelet et j'ai essayé de la tuer à coup de cheveu. Je n'ai réussi qu'à faire un trou dans le bureau et percer le gobelet. Étant seul, j'ai essuyé le liquide et posé une liasse de feuilles sur le trou. Personne n'a rien vu et j'ai été libéré et il me fut demandé de rapporter mes papiers sous vingt-quatre heures pour vérifier que j'étais en règle. Deux jours plus tard, toute la capitale était paralysée, car tous les feux étaient au rouge et plus un véhicule ne pouvait bouger.
- Mais quel est le rapport, Monsieur le Président.
- J'y viens monsieur le pape. Voilà, depuis un moment des pirates cherchaient à introduire un virus dans l'ordinateur central de la police de la route pour bloquer Paris et le pays. Cet appareil était sous le bureau où j'ai fait le trou avec mon cheveu frontal. L'anti-virus qui protégeait l'ordinateur a été drogué par les bulles du Coca-Cola et il s'était assoupi un court instant. Ce fut à cet instant que le virus fut arrivé à rentrer sur le disque dur qui devint tout moue. Après enquête l'affaire a été révélé, mais je n'ai jamais dit à personne que ce fait était de ma faute.
Le Pépère pendant ce temps-là, avançait lentement vers Sancoins. Il était extrêmement prudent, ce qui étonnait énormément, Coin-coin et Pêcheur qui avaient l'habitude de le voir faire le fou en voiture. Il était un peu vexé de la réflexion que lui avait lancée la chatmoureuse à Fripouille. Il marmonnait au fond de lui, mais ne disait rien à l'autre. La route était silencieuse, car la voiture était électrique. Seul le bruit du bec à Pêcheur tapant sur le siège se faisait entendre. Il essayait d'enlever la terre que lui avait mis Pépère en s'essayant le ventre avec son aile.
Dans la tête à Pépère par contre, c'était un vacarme de pensées qui sinuaient en tous sens.
- Osé me dire que je suis sale. C'est le monde à l'envers, moi le chat au prestige inégalé. Moi qui aie combattu dans tant de pays pour la liberté de la France. Moi qui aie terrassé une panthère à pattes nue, il n'y a pas si longtemps. Elle a de la chance d'être la chatmoureuse à Fripouille, elle ne connaît pas le Pépère. C'est comme ma love maîtresse, oser dire de moi que je suis une fifille, un bouboule, moi le téméraire qui ait la ligne si svelte, moi l'athlète qui aie ramené vingt médailles d'or à la France, ça me démoralise. Et l'autre soûlard, s'il n'était pas si inquiet pour la santé de sa courgette des marchés de Lourdes, tu verrais ce que je lui enverrais dans le museau. Soûlard, si tu crois que je n'ai pas vu que tu étais déboussolé, tu te mets le bouchon dans l'œil mon gaillard. Hé oui, Pépère voit tout saligaud, je suis une intelligence artificielle à moi tout seul capable de faire des calculs plus vite que n'importe lesquels des supers ordinateurs existants sur terre.
Il fut sorti de ses pensées par Avéame.
- Hé bien, dit moi Pépère, c'est fou cette histoire de boas !
- Ha oui, ça, tu l'as dit et encore, tu ne sais pas toute l'histoire.
- Toc toc toc, qu'en a-t-elle fait, toc toc toc, il ne sont pas dans le champ à côté du canal, toc toc toc.
- Fle fle fle, j'ai très peur, ils vont manger les petites pattes, fle fle fle et tout le poisson du canal, fle fle fle, ma love gendarme est en danger, fle fle fle.
- Oui comment ça s'est finie, cette histoire, Pépère ?
- Rassurez-vous mes amis, les boas, je les ai mis dans l'avion avec la panthère en direction de l'Afrique. Non voilà l'histoire vraie réelle pas fausse et authentiquement avérée vrai par l'huissier de la vérité vraie. Donc, au départ, ils étaient petits et progressivement, ils sont devenus énormes. En porter un autour du cou était devenu impossible. S'asseoir dessus au bar élevait ma love ne boit pas d'eau jusqu'au plafond. C'est ainsi qu'elle a décidé de les garder à l'appartement. Elle s'en servait comme matelas et Josiane dormait aussi sur eux. La pauvre vache avec ses cornes les crevait et c'est ainsi que mon rabougri fut appelé pour trouver une solution. C'est comme ça qu'ils se sont mis à faire du fromage avec le lait de Josiane. C'est comme ça que ma maîtresse a eu un excès de gras dans les chevilles et qu'elle ne pouvait plus mettre de chaussures. Mon soûlard pensait que le fait de faire manger du fromage aux boas allait boucher les trous. Le résultat, c'est que le fromage fait avec le lait de raisin nucléaire de Josiane les a alcoolisé et qu'ils se sont mis à faire n'importe quoi comme avoir mangé deux voitures sur le parking. Puis, je n'en entendais plus parler et j'ai trouvé ça bizarre. Un jour, je passe à l'appartement et plus de boas. C'est là que j'apprends que les voitures du commissariat ne tenaient plus la route et qu'elles sautaient sur la chaussée. En fait, mon réparateur de capsule pour bouteille iranienne avait eu l'idée de mettre des bande de pneu sur les boas pour boucher les trous. Cela marchait et les bestioles trouvaient ces robes de caoutchouc très confortables. C'est comme ça qu'ils ont été se mettre dans les pneus des voitures de la brigade et qu'elles sautaient sur la route. Le chef de la brigade m'a demandé si j'avais une solution. Je lui ai répondu qu'étant donné que je venais de terrasser une panthère qui devait repartir en Afrique je les mettrais moi-même dans l'avion avec le fauve, voilà Avéame l'histoire des boas. Et après, elle a fait le régime une semaine de saucissons, laissez moi vous en parler.

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Même un passage poétique.
Vraiment trop fort ce Pépère
A demain pour la suite
Amicalement
Gaby