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Pépère le chat du poète. Suite

#1
Lolo vit Pépère qui arrivait et il était vraiment très heureux. Il partit à sa rencontre. Le poète allait dans la même direction et de l'allée il vit Pépère courir dans le champ il en fut étonné car au vue de sa taille, il ne le pensait pas capable.
- Super tu es là mon copain ça va.
- Attend cinq minutes, je me suis échappé et risque de me faire cramer j'ai vu le sac à vin qui arrive. Tu vas l'espionner et dès que tu vois qu'il est occupé tu m'envoies un message. Je filerai dans l'hélicoptère et te me rejoindra après comme ça il ne nous verra plus. Reste ici qu'il te voit et rentre avec lui, fouille au maximum essaie de voler de la nourriture si tu peux, jai les crocs, à tout à l'heure copain c'est ta nouvelle mission pour ton avancement.
Lolo était fier que Pépère soit content de son travail et pour la première fois depuis qu'il était arrivé à mornay chez la fille de sa maîtresse décédée, il se sentait important pour quelqu'un. L'homme arrivant Lolo se mit bien en évidence sur la plate forme le dos tourné comme si il n'attendait pas. Pépère était parti se cacher au font du terrain dans un vieux fourgon désaffecté qui servait pour entreposer des objets divers.
- Hé bien encore là toi, tu n'as pas de maison ce n'est pas possible.
Pépère arrivant dans le fourgon se dit qu'il aurait eu le temps de monter dans l'hélicoptère, maintenant, il était inquiet pour ses poèmes.
L'homme entra dans le chalet et appela Lolo. Tout content de rentrer pour espionner il sauta sur la chaise devant le bureau. Un téléphone était sous ses yeux et une vidéo était en marche. Juste à côté il y avait un briquet et un allume gaz. L'homme sortant pour aller chercher le bol des chats, il en profita pour envoyer un message à son chef de mission pensa t'il. Il regarda derrière lui, la saucisse n'était plus là.
- Alors mon gamin tu dois avoir faim.
Il versa des croquettes dans le bol et le posa derrière la chaise. Super se disait Lolo je vais pouvoir envoyer des messages sans être vu.
- Allo, oui chérie, tu as bien manger.
- Oui et toi mon amour.
- L'épicier ouvre seulement en face et bien dit donc.
- Il a dû faire la fête hier. Ça y est j'ai ramené la minette à la maison je t'envoie les photos.
- Adorable petite bouillette.
Pépère recevait en temps réel les messages et rien que d'imaginer la petite, il tremblait.
- Ce n'est pas possible qu'est ce qu'il a été me ramener un gozila à la maison. Comment je vais faire pour y retourner maintenant je suis en danger de mort.
Lolo compris qu'il était occupé pour un moment et donna le feu vert à Pépère. Puis deux minutes plus tard il réclama la porte et le poète le fit sortir. Il le regardait par le carreau pour voir dans quel direction il allait incroyablement, il le vit disparaître. Lolo n'était pas très futé étant parti directement vers l'hélicoptère pour monté dedans.
- Qu'est-ce que c'est que cette bizarrie, c'est incompréhensible.
Enfin ils étaient ensemble.
- Super mon copain tu as fait un travail formidable, j'envoie un message à Florence Parly pour que tu soit cité et nommé aux rangs de lieutenant.
- Whaaaaaa tu en connais du monde. Elle arrive quand Leïlânne, sniff sniff il y a une drôle d'odeur ici.
- Oui j'étais son enseignant à l'université bref un détail, elle arrive dans quarante minutes ma déesse.
- Tu as été son époux pendant longtemps en Égypte. Écoute Pépère ça pu ici tu t'es posé dans un caca d'éléphant où quoi, on dirait une odeur de fosse septique, tu as la colique.
- Moi non c'était le temps d'une mission. La colique, Pépère jamais je sais d'où vient l'odeur c'est Cookie j'ai croisé chatdore sortant de sa cabane, il m'a dit me voyant asphyxié par une odeur nauséabonde ne t'approche pas de la maison à Cookie elle a la gastro.
- D'accord mon copain, tu as reçu mes messages.
- Oui ça m'a fait rire sa lune avec le karcher j'espère que ce n'était pas ma chatlauréanne.
- Non copain ne t'inquiète pas.
- Si j'ai bien compris Marc c'est le patron de l'épicerie où ils achètent la vinasse et il picole avec eux pour fêter son bilan qui doit être royal vu la quantité qu'ils doivent lui prendre. La où j'ai bien rigolé c'est le briquet brack daniel.
- C'est qui ?
- C'est une marque de whisky et comme ils doivent le livrer par semi remorque ils lui ont offert en cadeau.
L'homme était sortit et regardait à l'endroit où avait disparu Lolo il partit dans cette direction et passa à travers l'hélicoptère du fait qu'il lui était totalement invisible même au point de vue de la matière. Il partit ensuite vers la xm et sortit du coffre une bouteille d'eau et rentra dans le chalet.
- Tu vois, il bois de l'eau.
- Ne t'y trompe pas mon copain c'est certainement de la vodka où du rhum blanc où de la goutte artisanale à soixante dix degrés. C'est officiel mon copain pour ton avancement.
- Ha bon déjà.
- Hé oui mon copain Florence me doit tout, je l'ai sauvé d'un attentat un jour au zoo de Vincennes en terrassant un brontosaure kamikaze qui c'était congelé au jurassique et pour se vanger contre moi ( de n'avoir pas eut le temps de déposer un de ses petits morts sur le site de fouille de Darwin) c'était ensuite décongelé et converti à une religion radicale en Afghanistan. Le bougre était ceinturé de C4. Nous étions avec Nicolas Sarkozy qui a vu à temps qu'il avait un bazooka dans son sac à dos. Du coup j'ai pris le monstre par une patte et l'ai jeté en l'air ensuite d'un coup de souffle l'ai envoyé sur le soleil. Cela a produit une explosion exceptionnelle qui a été source d'aurores polaires magnifiques six mois après ce qui m'a valu la médaille d'or du mérite national. Donc ne t'étonne pas de ton avancement rapide.





La suite très prochainement