- C'est qui junk ?
- Un chien que j'ai rencontré chez le semeur de semoule de blés noir.
- Morbleu, peux-tu parler un peu plus clairement je n'ai pas compris l'un de tes propos.
- Chez le vétérinaire, tu n'as pas d'humour Momo.
- Bon passons à l'avenir je vais essayé d'ouir un peu mieux des exubérantes fariboles.
Pépère commençait à avoir très faim et son ventre faisait un bruit atroce. Il admirait Mimine qui le dédaignant se leva et partit se coucher tout près de Momo. Dans la pièce voisine la discussion sur l'avenir de junk. Pépère s'en réjouissait et se disait c'est quand même un chouette poète, malgré ses goûts moyenâgeux.
- Qu'en est ce qu'on mange ici j'ai les crocs.
- C'est incroyable quand on vois la rondeur de ton ventre que tu es faim Pépère.
- Oui, mais mon ventre comme tu dis ne contient que des résidus d'os d'à midi. Tu te souviens quand même c'est gargantua qui a tout mangé.
Mimine le regarda et lui dit.
- Pourquoi tu as ce drôle de ton avec les gens ?
- Avant j'étais dans une cité et quand tu parlais bas personne ne t'écoutait. Alors il fallait hausser le ton cela te dérange mimine.
- Oui ici c'est une maison tranquille. J'aimerais bien lire un de tes poèmes Pépère moi, des fois ceux du poète sont un peu complexes pour moi.
- Je suis coincé ici trois jours et mes textes sont dans mon hélicoptère, je suis inquiet d'ailleurs. Momo si tu sors et vois Lolo tu pourrais lui demander s'il peut surveiller mon hélico. Il faut absolument que je sorte malgré tout pour aller chercher mon chatventre. Maman fée, tu me manques, Mimine tu es belle, Momo tu es gentil, Lolo c'est mon copain, mais, mais, j'ai les crocsssssss. Excusez moi c'est la faim suis en plein délire. D'un coup la porte s'ouvrit et un homme s'écria, il faut du bois de ce côté. Pépère regardait cette aubaine...
La suite bientôt.
- Un chien que j'ai rencontré chez le semeur de semoule de blés noir.
- Morbleu, peux-tu parler un peu plus clairement je n'ai pas compris l'un de tes propos.
- Chez le vétérinaire, tu n'as pas d'humour Momo.
- Bon passons à l'avenir je vais essayé d'ouir un peu mieux des exubérantes fariboles.
Pépère commençait à avoir très faim et son ventre faisait un bruit atroce. Il admirait Mimine qui le dédaignant se leva et partit se coucher tout près de Momo. Dans la pièce voisine la discussion sur l'avenir de junk. Pépère s'en réjouissait et se disait c'est quand même un chouette poète, malgré ses goûts moyenâgeux.
- Qu'en est ce qu'on mange ici j'ai les crocs.
- C'est incroyable quand on vois la rondeur de ton ventre que tu es faim Pépère.
- Oui, mais mon ventre comme tu dis ne contient que des résidus d'os d'à midi. Tu te souviens quand même c'est gargantua qui a tout mangé.
Mimine le regarda et lui dit.
- Pourquoi tu as ce drôle de ton avec les gens ?
- Avant j'étais dans une cité et quand tu parlais bas personne ne t'écoutait. Alors il fallait hausser le ton cela te dérange mimine.
- Oui ici c'est une maison tranquille. J'aimerais bien lire un de tes poèmes Pépère moi, des fois ceux du poète sont un peu complexes pour moi.
- Je suis coincé ici trois jours et mes textes sont dans mon hélicoptère, je suis inquiet d'ailleurs. Momo si tu sors et vois Lolo tu pourrais lui demander s'il peut surveiller mon hélico. Il faut absolument que je sorte malgré tout pour aller chercher mon chatventre. Maman fée, tu me manques, Mimine tu es belle, Momo tu es gentil, Lolo c'est mon copain, mais, mais, j'ai les crocsssssss. Excusez moi c'est la faim suis en plein délire. D'un coup la porte s'ouvrit et un homme s'écria, il faut du bois de ce côté. Pépère regardait cette aubaine...
La suite bientôt.