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Pépère le chat du poète. Suite. 27 décembre

#1
Dans la maison au bout de la rue, un œil envoyait désespérément des messages à Elchatponne qui ne répondait plus. Il commençait à en avoir marre d'entendre et consulta l'internet pour voir ses contacts et si quelqu'un avait fait une offre pour les textes proposés. Une personne était très intéressée par le spleen de la peau de saucisse. Un œil négocia le texte comme si c'était lui qui l'eut écrit. Il n'avait aucun scrupule à vendre les poèmes de Pépère. Il consulta après les informations et fut surpris de voir le nom de son chef. Au début, il se dit qu'il avait dû se faire arrêter et il lut l'article. Il n'en revenait pas, Elchatponne avait aidé les gendarmes. Un œil se sentait trahi. Il n'aurait pas ses poulets et n'avait plus rien à faire ici. Il décida de partir définitivement de cet endroit, mais avant, il prit le loisir d'aller traîner vers chez le poète pour voir s'il n'y avait pas quelque chose à dérober. Il prit le chemin de la cabane et arriva vers Sybage qui était toujours en train de discuter avec lucie. Un œil avait le museau sur son téléphone et ne faisait pas attention devant lui. Bien qu'il fut à au moins quarante mètres de Sybage, celle-ci le reconnu et dit tout bas à Lucie.
- C'est le chat bandit qui m'a enlevé qu'est ce que je fais Lucie.
- Attend Sybage, je vais chercher Cookie.
Lucie partit dans la cabane et vit que Cookie était réveillée et que Chatdore était arrivé à la calmer. Elle avait compris que les Américains étaient de retour et malgré cela était arrivée à tenir sa colère. Lucie lui fit signe de ne pas faire de bruit et lui dit.
- Cookie, viens voir, je suis avec Sybage et le chat bandit qui l'avait enlevé est dans le chemin. Fait vite, car la pauvre minette ne sait pas comment faire.
Cookie et Lucie partirent vers la clôture. Un œil avait toujours le museau sur l'écran du téléphone et il était arrêté sur place. Sybage semblait terrorisé et n'osait plus bouger. Cookie ne pouvait plus tenir sa colère, recula pour prendre de l'élan et partit au galop pour franchir la clôture. Le chat écouta les pas de la jument, mais il n'eut pas le temps de réagir et vit Cookie foncer sur lui. Il n'eut le temps que de mettre le téléphone dans son chatventre.
- Pirate hiii qu'est-ce que tu viens faire ici, flibustier hiiiii. Je vais te donner un coup de sabot au derrière hii malfaiteur.
Les Americains étaient en train de regarder la jument en vinrent vers la clôture. Ils parlaient dans leur langue. Un œil avait eu la peur de sa vie et il avait disparu dans la forêt proche.
Le poète remontait tranquillement vers chez lui. Il était un peu pressé, car il craignait que Momo n'ait eu peur du terrible bruit. Il repensait au trou et se demandait bien comment il pouvait voir toutes ces choses à l'intérieur. Il fut stoppé dans sa marche par François, le fils de l'un de ses voisins. Celui que Lucie avait vu à plusieurs reprises parler avec les arbres.
- Salut Daniel, j'ai été sur ton terrain. Les gendarmes n'étaient pas à la brigade alors, j'ai laissé un mot dans la boîte. Je ne suis pas fou, tout de même. Une bonne sœur était sur ton terrain avec des câbles de batteries. Oui mon père me l'avait dit, le camping-car est plein d'eau. Fait attention en face de chez-toi, il y a des agents du FBI déguisés en cheval. Ha oui, j'ai vu ton gros chat au-dessus de chez moi, il était dans un hélicoptère. Bon, je te laisse, car je dois m'occuper d'un dossier pour la banque et les gendarmes doivent passer pour enlever des micros dans ma télé.
L'homme lui sera la main et ne répondit rien. Il savait à quoi s'en tenir sur son compatriote. Il se remit en route et Bibou le suivait sagement. Arrivé à la maison, il regarda par la vitre, Momo dormait sur le canapé. Allons voir, dit-il tout haut.
À la brasserie, Fripouille était toujours avec Elchatponne. Assis confortablement sur une banquette, les pattes croisées, il mangeait du poulet avec son nouveau compagnon. Fripouille était épaté par l'histoire de son nouvel ami. C'était assez étrange, car dans son attitude, il lui faisait penser à Pépère. En fait, Tigrou avait passé beaucoup de temps avec lui étant plus jeune. Il gardait la rue pendant que la bande à Elchatponne dérobait des poulets ou des pâtisseries. Fripouille le regardant lui dit.
- C'est drôle, tu as la même classe que Pépère et un gros ventre comme lui. Je ne t'ai pas dit, mais je suis un coéquipier à lui et je l'ai assisté dans plein d'enquêtes et comme toi une fois, j'ai agi seul pour l'arrestation d'une bande de malfrats venus dérober du Nutella dans l'intermarcher à côté de chez ma chatmoureuse.
- Ha, bon, tu es un chat policier avec Pépère ? Comment tu as fait pour l'arrestation des malfaiteurs ça m'intéresse.
- Voilà un jour, je vais avec ma chatmoureuse faire des courses dans ce magasin. Il y avait ce jour-là, une promotion sur le Nutella. Le pépère en avait acheté dix-sept kilos lol. Donc une bande de terroristes venus de Laponie et nourris au Nutella était entrés armés de louches et de fourchettes. Ils avaient pris en otages une palette de pot de petits poids bon de ruelle. Ma chatmoureuse était entre eux et la palette. J'ai attaqué sans hésiter et à coup de queue, je les ai désarmés. Le pépère est arrivé à ce moment-là et comprenant la gravité de la situation, il a été cherché du scotch pour leur attacher les mains. J'en ai neutralisé trente et Pépère deux. J'ai ensuite appelé les gendarmes et les bandits sont maintenant en prison.
Elchatponne n'était pas dupe, il voyait bien que Fripouille exagérait certainement la scène, mais il lui répondit.
- Fripouille, tu es vraiment un super chat policier. Moi, j'étais bandit, mais maintenant que je suis lavé de tout, je vais demander à Pépère si je peux travailler avec lui
Sur le périphérique, c'était la panique totale. Pépère était allongé sur le flanc et respirait faiblement. Un automobiliste qui passait non loin dit à son épouse en descendant de sa voiture. Regarde, il y a une baleine échouée sur la route. Pêcheur écouta l'homme et vint le voir.
- Toc toc toc, ce n'est pas une baleine, c'est mon copain Pépère toc toc toc. Si vous parlez mal de lui, je vous donne un coup de bec toc toc toc, en voilà des manières.
L'homme qui n'avait jamais vu un héron de sa vie, prit peur et remonta dans son automobile et repartit à toute allure. Le président était toujours sur son téléphone et parlait avec le Premier ministre. Celui-ci l'informait que les nez rouges étaient tous partis du deuxième point de ralliement. Il apprit en même temps au président qu'il y avait une recrudescence de gastro-entérite et que tous les hôpitaux de la région parisienne étaient totalement débordés. C'était d'ailleurs assez étrange, car tout le monde avait été contaminé en même temps. Il regarda les animaux qui étaient à côté de Pépère et il leur dit ;
- Ne vous inquiétez pas pour votre ami. Le vétérinaire arrive, il est garé juste devant et viens à pied. Il n'eut craint qu'il y ait toujours les nez rouges.
L'homme arrivait et Pêcheur vint à lui.
- Toc toc toc, c'est Pépère, toc toc toc faites vite docteur. Toc toc toc, il est inconscient toc toc toc nous avons très peur toc toc toc.
- Fle fle fle, calme toi Pêcheur fle fle fle le monsieur va le soigner fle fle fle.
L'homme était déjà affairé sur le Pépère. Le pouls était normal la respiration normale. Le vétérinaire en conclut à une crise d'hypoglycémie et lui fit une piqûre. Presque, aussitôt, le Pépère commença à bouger et se leva. Pendant qu'il se remettait le soigneur s'en alla en disant au président qu'il ne facturait pas l'acte, car c'était un service rendu à la nation. Puis plus bas à l'oreille, il dit au président qu'il était sous le coup d'un contrôle fiscal. Le chef de l'état lui dit de lui envoyer les informations et qu'il s'en occuperait le lendemain même. Le vétérinaire partit et Pépère se leva et prit la parole.
- Ce n'est rien les amis, j'ai simplement eu un malaise à cause de mon morceau de métal dans le cœur. C'est un mauvais souvenir des attentats du onze septembre. Mais j'ai sauvé des milliers de personnes ce jour-là.
- Ha bon, lui dit le président, mais nous n'avons jamais été informé de cette histoire mon brave Pépère.
- Celà est normal monsieur Macron, car je travaillais pour le compte de la CIA et c'est resté secret. Sachez que ce jour-là, j'ai déjà dévié un troisième avions avant de pénétrer dedans et neutraliser les terroristes. Voilà les deux premiers avions avaient déjà percuté les tours quand j'en ai été informé par mes chefs. Un troisième arrivait dessus. J'ai escaladé à pattes nues l'une des tours en flamme et me suis positionné sur le toit. Grâce à mon souffle ultra puissant, j'ai fait dériver l'avion qui sous la force des vents de ma gueule est passé à côté du toit. Avec une de mes moustaches, j'ai fait un trou dans la carlingue de l'appareil. J'ai ensuite aspiré l'avion vers moi toujours avec mon souffle. J'ai pénétré dans l'appareil par le trou que j'avais fait. Ensuite, j'ai été dans le cockpit et j'ai neutralisé les deux malfrats à coup de queue et les ai attachés avec du scotch. J'en ai toujours un rouleau dans mon chatventre. Je suis ensuite revenu sur les lieux et j'ai soutenu l'une des tours grâce à ma force surnaturelle. Celle a fini par céder et j'ai été dégagé par les pompiers sons douze mètres de gravats. J'étais vivant, mais un morceau de métal était entré dans mon cœur. Après quarante-sept heures d'opération, j'étais sain et sauf. Deux jours plus tard, je faisais le marathon de New-York et le jour d'après, je combattais Ben-Laden. Voilà la vraie vérité qu'elle n'est pas fausse et authentiquement réelle et avérée.

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#2
Dans la maison au bout de la rue, un œil envoyait désespérément des messages à Elchatponne qui ne répondait plus. Il commençait à en avoir marre d'entendre et consulta l'internet pour voir ses contacts et si quelqu'un avait fait une offre pour les textes proposés. Une personne était très intéressée par le spleen de la peau de saucisse. Un œil négocia le texte comme si c'était lui qui l'eut écrit. Il n'avait aucun scrupule à vendre les poèmes de Pépère. Il consulta après les informations et fut surpris de voir le nom de son chef. Au début, il se dit qu'il avait dû se faire arrêter et il lut l'article. Il n'en revenait pas, Elchatponne avait aidé les gendarmes. Un œil se sentait trahi. Il n'aurait pas ses poulets et n'avait plus rien à faire ici. Il décida de partir définitivement de cet endroit, mais avant, il prit le loisir d'aller traîner vers chez le poète pour voir s'il n'y avait pas quelque chose à dérober. Il prit le chemin de la cabane et arriva vers Sybage qui était toujours en train de discuter avec lucie. Un œil avait le museau sur son téléphone et ne faisait pas attention devant lui. Bien qu'il fut à au moins quarante mètres de Sybage, celle-ci le reconnu et dit tout bas à Lucie.
- C'est le chat bandit qui m'a enlevé qu'est ce que je fais Lucie.
- Attend Sybage, je vais chercher Cookie.
Lucie partit dans la cabane et vit que Cookie était réveillée et que Chatdore était arrivé à la calmer. Elle avait compris que les Américains étaient de retour et malgré cela était arrivée à tenir sa colère. Lucie lui fit signe de ne pas faire de bruit et lui dit.
- Cookie, viens voir, je suis avec Sybage et le chat bandit qui l'avait enlevé est dans le chemin. Fait vite, car la pauvre minette ne sait pas comment faire.
Cookie et Lucie partirent vers la clôture. Un œil avait toujours le museau sur l'écran du téléphone et il était arrêté sur place. Sybage semblait terrorisé et n'osait plus bouger. Cookie ne pouvait plus tenir sa colère, recula pour prendre de l'élan et partit au galop pour franchir la clôture. Le chat écouta les pas de la jument, mais il n'eut pas le temps de réagir et vit Cookie foncer sur lui. Il n'eut le temps que de mettre le téléphone dans son chatventre.
- Pirate hiii qu'est-ce que tu viens faire ici, flibustier hiiiii. Je vais te donner un coup de sabot au derrière hii malfaiteur.
Les Americains étaient en train de regarder la jument en vinrent vers la clôture. Ils parlaient dans leur langue. Un œil avait eu la peur de sa vie et il avait disparu dans la forêt proche.
Le poète remontait tranquillement vers chez lui. Il était un peu pressé, car il craignait que Momo n'ait eu peur du terrible bruit. Il repensait au trou et se demandait bien comment il pouvait voir toutes ces choses à l'intérieur. Il fut stoppé dans sa marche par François, le fils de l'un de ses voisins. Celui que Lucie avait vu à plusieurs reprises parler avec les arbres.
- Salut Daniel, j'ai été sur ton terrain. Les gendarmes n'étaient pas à la brigade alors, j'ai laissé un mot dans la boîte. Je ne suis pas fou, tout de même. Une bonne sœur était sur ton terrain avec des câbles de batteries. Oui mon père me l'avait dit, le camping-car est plein d'eau. Fait attention en face de chez-toi, il y a des agents du FBI déguisés en cheval. Ha oui, j'ai vu ton gros chat au-dessus de chez moi, il était dans un hélicoptère. Bon, je te laisse, car je dois m'occuper d'un dossier pour la banque et les gendarmes doivent passer pour enlever des micros dans ma télé.
L'homme lui sera la main et ne répondit rien. Il savait à quoi s'en tenir sur son compatriote. Il se remit en route et Bibou le suivait sagement. Arrivé à la maison, il regarda par la vitre, Momo dormait sur le canapé. Allons voir, dit-il tout haut.
À la brasserie, Fripouille était toujours avec Elchatponne. Assis confortablement sur une banquette, les pattes croisées, il mangeait du poulet avec son nouveau compagnon. Fripouille était épaté par l'histoire de son nouvel ami. C'était assez étrange, car dans son attitude, il lui faisait penser à Pépère. En fait, Tigrou avait passé beaucoup de temps avec lui étant plus jeune. Il gardait la rue pendant que la bande à Elchatponne dérobait des poulets ou des pâtisseries. Fripouille le regardant lui dit.
- C'est drôle, tu as la même classe que Pépère et un gros ventre comme lui. Je ne t'ai pas dit, mais je suis un coéquipier à lui et je l'ai assisté dans plein d'enquêtes et comme toi une fois, j'ai agi seul pour l'arrestation d'une bande de malfrats venus dérober du Nutella dans l'intermarcher à côté de chez ma chatmoureuse.
- Ha, bon, tu es un chat policier avec Pépère ? Comment tu as fait pour l'arrestation des malfaiteurs ça m'intéresse.
- Voilà un jour, je vais avec ma chatmoureuse faire des courses dans ce magasin. Il y avait ce jour-là, une promotion sur le Nutella. Le pépère en avait acheté dix-sept kilos lol. Donc une bande de terroristes venus de Laponie et nourris au Nutella était entrés armés de louches et de fourchettes. Ils avaient pris en otages une palette de pot de petits poids bon de ruelle. Ma chatmoureuse était entre eux et la palette. J'ai attaqué sans hésiter et à coup de queue, je les ai désarmés. Le pépère est arrivé à ce moment-là et comprenant la gravité de la situation, il a été cherché du scotch pour leur attacher les mains. J'en ai neutralisé trente et Pépère deux. J'ai ensuite appelé les gendarmes et les bandits sont maintenant en prison.
Elchatponne n'était pas dupe, il voyait bien que Fripouille exagérait certainement la scène, mais il lui répondit.
- Fripouille, tu es vraiment un super chat policier. Moi, j'étais bandit, mais maintenant que je suis lavé de tout, je vais demander à Pépère si je peux travailler avec lui
Sur le périphérique, c'était la panique totale. Pépère était allongé sur le flanc et respirait faiblement. Un automobiliste qui passait non loin dit à son épouse en descendant de sa voiture. Regarde, il y a une baleine échouée sur la route. Pêcheur écouta l'homme et vint le voir.
- Toc toc toc, ce n'est pas une baleine, c'est mon copain Pépère toc toc toc. Si vous parlez mal de lui, je vous donne un coup de bec toc toc toc, en voilà des manières.
L'homme qui n'avait jamais vu un héron de sa vie, prit peur et remonta dans son automobile et repartit à toute allure. Le président était toujours sur son téléphone et parlait avec le Premier ministre. Celui-ci l'informait que les nez rouges étaient tous partis du deuxième point de ralliement. Il apprit en même temps au président qu'il y avait une recrudescence de gastro-entérite et que tous les hôpitaux de la région parisienne étaient totalement débordés. C'était d'ailleurs assez étrange, car tout le monde avait été contaminé en même temps. Il regarda les animaux qui étaient à côté de Pépère et il leur dit ;
- Ne vous inquiétez pas pour votre ami. Le vétérinaire arrive, il est garé juste devant et viens à pied. Il n'eut craint qu'il y ait toujours les nez rouges.
L'homme arrivait et Pêcheur vint à lui.
- Toc toc toc, c'est Pépère, toc toc toc faites vite docteur. Toc toc toc, il est inconscient toc toc toc nous avons très peur toc toc toc.
- Fle fle fle, calme toi Pêcheur fle fle fle le monsieur va le soigner fle fle fle.
L'homme était déjà affairé sur le Pépère. Le pouls était normal la respiration normale. Le vétérinaire en conclut à une crise d'hypoglycémie et lui fit une piqûre. Presque, aussitôt, le Pépère commença à bouger et se leva. Pendant qu'il se remettait le soigneur s'en alla en disant au président qu'il ne facturait pas l'acte, car c'était un service rendu à la nation. Puis plus bas à l'oreille, il dit au président qu'il était sous le coup d'un contrôle fiscal. Le chef de l'état lui dit de lui envoyer les informations et qu'il s'en occuperait le lendemain même. Le vétérinaire partit et Pépère se leva et prit la parole.
- Ce n'est rien les amis, j'ai simplement eu un malaise à cause de mon morceau de métal dans le cœur. C'est un mauvais souvenir des attentats du onze septembre. Mais j'ai sauvé des milliers de personnes ce jour-là.
- Ha bon, lui dit le président, mais nous n'avons jamais été informé de cette histoire mon brave Pépère.
- Celà est normal monsieur Macron, car je travaillais pour le compte de la CIA et c'est resté secret. Sachez que ce jour-là, j'ai déjà dévié un troisième avions avant de pénétrer dedans et neutraliser les terroristes. Voilà les deux premiers avions avaient déjà percuté les tours quand j'en ai été informé par mes chefs. Un troisième arrivait dessus. J'ai escaladé à pattes nues l'une des tours en flamme et me suis positionné sur le toit. Grâce à mon souffle ultra puissant, j'ai fait dériver l'avion qui sous la force des vents de ma gueule est passé à côté du toit. Avec une de mes moustaches, j'ai fait un trou dans la carlingue de l'appareil. J'ai ensuite aspiré l'avion vers moi toujours avec mon souffle. J'ai pénétré dans l'appareil par le trou que j'avais fait. Ensuite, j'ai été dans le cockpit et j'ai neutralisé les deux malfrats à coup de queue et les ai attachés avec du scotch. J'en ai toujours un rouleau dans mon chatventre. Je suis ensuite revenu sur les lieux et j'ai soutenu l'une des tours grâce à ma force surnaturelle. Celle a fini par céder et j'ai été dégagé par les pompiers sons douze mètres de gravats. J'étais vivant, mais un morceau de métal était entré dans mon cœur. Après quarante-sept heures d'opération, j'étais sain et sauf. Deux jours plus tard, je faisais le marathon de New-York et le jour d'après, je combattais Ben-Laden. Voilà la vraie vérité qu'elle n'est pas fausse et authentiquement réelle et avérée.

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Je me suis régalée à lire ce nouvel épisode Daniel
Merci et à demain pour la suite.
Amicalement
Gaby