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Pépère le chat du poète. Suite. 26 novembre

#1
Liettuje remonta dans sa soucoupe et elle jeta un œil sur ses écrans pour voir comment se passaient les choses à Mornay. Elle vit Pépère dans l'allée totalement essoufflé d'avoir couru vingt mètres et elle se dit, sacré Tigrou. Pendant ce temps, Lalanne était en train d'atterrir sur la planète inconnue et Chouânne assistait à son atterrissage. Elle accueillit son amie avec une larme qui coulait sur sa joue. L'émotion était très intense pour les deux fées de se retrouver.
- Comment vas-tu mon amie, tu n'es pas trop préoccupée par ton transfert sur Xyron pour y être soigné ?
- Non chouânne rassure toi, je serai très bien soigné là-bas. J'ai transmis mes ordres à Liettuje qui t'attend sur le pré proche du canal. J'ai fait en sorte de calmer les Américains qui étaient sur le point de faire du mal à Pépère. Maintenant la situation est calme comme tu pourras le constater.
Les deux fées continuèrent de parler un long moment avant de prendre chacun la direction qui lui était destinée. Leïlanne vers Vénus et Chouânne en direction de la terre, vers le canal. Cette longue écharpe de diamant vermet semblait irisée de gemme sous l'action des reflets de l'aurore. Quelques roseaux oubliés par l'automne se balançaient sous le souffle du Zéphyr. Chacun d'eux semblait verser des larmes de rubis qui en tombant dans l'eau faisaient mille ronds qui mourraient avant de renaître à l'infini. Ce joli ballet que produisaient les danseuses de mousselines créées par la brume était un spectacle féerique. Quelques passants commençaient à s'afférer autour de l'endroit pour poser des panneaux de bienvenue pour le pape. Le barbecue allait être donné dans la journée et déjà des hommes et des femmes y travaillaient. Mais le bal des gouttes d'eau qu'entraînait l'aube était un spectacle unique qui malheureusement passait inaperçus de ces gens qui ignoraient la vraie beauté de la nature. Il y avait au moins une personne, du moins plutôt un chat qui admirait ce spectacle. C'était Toublanc dont ses maîtres adoptifs avaient posé leur camping-car le long de ce traceur de destin où déjà plus de mille enfants avaient certainement essayé de rider sa peau en faisant des ricochets en rigolant. Mais un peu plus haut dans la brasserie le temps était à l'orage entre le ministre et le pape qui était en désaccord sur ce mouvement de grève lancé sur toutes les ondes. Malgré cette information, les gens qui passaient devant la brasserie du cul roux semblaient ne pas s'en faire et saluaient au passage les deux hommes. Là encore une action magique était passée sur le ciel de Sancoins qui semblait en autarcie et coupé du monde. D'ailleurs, le ministre au bout d'un moment de colère partit le long du canal et toutes les personnes qu'il croisa le saluèrent sans amertume. Une sorte d'osmose régnait dans le secteur, une chose inconnue, une sorte d'espèce disparue, la fraternité et le respect de l'autre. Le pape lui resta à la brasserie et regarda les informations qui ne parlaient que de ces informations. La démission du président était demandée par le peuple, enfin plutôt un groupe minoritaire dont la chef suprême avait eut un enseignement sur la négociation en regardant et en s'abreuvant des longs discours de Mussolini des tsars et de Hitler. Elle affirmait et d'ailleurs les gens intelligents le disaient que ces hommes avaient péché par excès de ne pas avoir voulu trop en faire et que le vrai combat devait être mis en place. Le pape était satisfait et il regarda les cours de l'armement qui affichaient une hausse de trente pourcent.
Le Pépère était toujours dans l'allée et son maître l'appelait à se rompre la gorge.
- Arf arf arf, tu sais où tu peux te les mettre tes croquettes bourrées d'extazy. Tu n'as qu'à t'en faire un clafoutis et les manger espèce de poivrot.
Il continua sa route en marchant et arrivé au bout du chemin se sachant visible de la voiture, il se mit à courir. Fripouille qui regardait par la lunette arrière prévint les autres et la porte s'ouvrit devant Pépère qui arrivait en courant. Il sauta dans l'auto et avait des Nike toutes propres. Il avait quand même pris le temps de se changer de chaussure pour la parade.
- Toc toc toc, tu cours sacrément vite Pépère, toc toc toc, et tu n'es pas essoufflé, toc toc toc.
- Oui, tu es vraiment fort, tu n'as pas vu le monstre par hasard, rajouta Turbo.
- Non ne t'inquiète pas Turbo, j'ai une résistance hors norme et grâce à ma taille svelte, je peux courir des kilomètres sans jamais être fatigué.
- Oui, c'est vrai dans le désert, il m'a porté sur son dos pendant quatre-vingts kilomètres en courant pour me sauver, s'exclama Lolo.
- Oui, c'est vrai et nous avons combattu dans pleins de missions ensemble, c'est pour ça que nous allons retrouver mes textes et sauver Sybage. Pour te répondre Turbo, voilà lui et sa comparse sont en train de fabriquer des gilets avec les vielles tenues de protections nucléaires. Oui, ils les portaient quand moi, je creusais pour ensevelir les résidus d'uranium. En même temps, ils sont en train de dresser le monstre. Sa comparse experte en mécanique est en train de démonter une épave sur le terrain et lui, il fait chauffer la marmite pour le ragoût. Le problème, c'est que cette carcasse était utilisée pour le transport d'armes chimiques. Elle a déjà les dents bleues et les cheveux rouges et lui a déjà une oreille de trois mètres et il ne fait que de marcher dessus. Voyez monsieur, ils l'ont libéré de l'hôpital, mais ça ne lui a pas servi de leçon. Le monstre est en train de manger le moteur en attendant que sa soûlarde est finie le ragoût de carcasse de voiture. Lui, il fabrique ses gilets avec le tissu irradié et va nous empoisonner tout le monde, mais que pouvons nous faire.
- D'abord sauver ma chatmoureuse et retrouver tes poèmes, rejoignions Momo, répondit Lolo.

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#2
Liettuje remonta dans sa soucoupe et elle jeta un œil sur ses écrans pour voir comment se passaient les choses à Mornay. Elle vit Pépère dans l'allée totalement essoufflé d'avoir couru vingt mètres et elle se dit, sacré Tigrou. Pendant ce temps, Lalanne était en train d'atterrir sur la planète inconnue et Chouânne assistait à son atterrissage. Elle accueillit son amie avec une larme qui coulait sur sa joue. L'émotion était très intense pour les deux fées de se retrouver.
- Comment vas-tu mon amie, tu n'es pas trop préoccupée par ton transfert sur Xyron pour y être soigné ?
- Non chouânne rassure toi, je serai très bien soigné là-bas. J'ai transmis mes ordres à Liettuje qui t'attend sur le pré proche du canal. J'ai fait en sorte de calmer les Américains qui étaient sur le point de faire du mal à Pépère. Maintenant la situation est calme comme tu pourras le constater.
Les deux fées continuèrent de parler un long moment avant de prendre chacun la direction qui lui était destinée. Leïlanne vers Vénus et Chouânne en direction de la terre, vers le canal. Cette longue écharpe de diamant vermet semblait irisée de gemme sous l'action des reflets de l'aurore. Quelques roseaux oubliés par l'automne se balançaient sous le souffle du Zéphyr. Chacun d'eux semblait verser des larmes de rubis qui en tombant dans l'eau faisaient mille ronds qui mourraient avant de renaître à l'infini. Ce joli ballet que produisaient les danseuses de mousselines créées par la brume était un spectacle féerique. Quelques passants commençaient à s'afférer autour de l'endroit pour poser des panneaux de bienvenue pour le pape. Le barbecue allait être donné dans la journée et déjà des hommes et des femmes y travaillaient. Mais le bal des gouttes d'eau qu'entraînait l'aube était un spectacle unique qui malheureusement passait inaperçus de ces gens qui ignoraient la vraie beauté de la nature. Il y avait au moins une personne, du moins plutôt un chat qui admirait ce spectacle. C'était Toublanc dont ses maîtres adoptifs avaient posé leur camping-car le long de ce traceur de destin où déjà plus de mille enfants avaient certainement essayé de rider sa peau en faisant des ricochets en rigolant. Mais un peu plus haut dans la brasserie le temps était à l'orage entre le ministre et le pape qui était en désaccord sur ce mouvement de grève lancé sur toutes les ondes. Malgré cette information, les gens qui passaient devant la brasserie du cul roux semblaient ne pas s'en faire et saluaient au passage les deux hommes. Là encore une action magique était passée sur le ciel de Sancoins qui semblait en autarcie et coupé du monde. D'ailleurs, le ministre au bout d'un moment de colère partit le long du canal et toutes les personnes qu'il croisa le saluèrent sans amertume. Une sorte d'osmose régnait dans le secteur, une chose inconnue, une sorte d'espèce disparue, la fraternité et le respect de l'autre. Le pape lui resta à la brasserie et regarda les informations qui ne parlaient que de ces informations. La démission du président était demandée par le peuple, enfin plutôt un groupe minoritaire dont la chef suprême avait eut un enseignement sur la négociation en regardant et en s'abreuvant des longs discours de Mussolini des tsars et de Hitler. Elle affirmait et d'ailleurs les gens intelligents le disaient que ces hommes avaient péché par excès de ne pas avoir voulu trop en faire et que le vrai combat devait être mis en place. Le pape était satisfait et il regarda les cours de l'armement qui affichaient une hausse de trente pourcent.
Le Pépère était toujours dans l'allée et son maître l'appelait à se rompre la gorge.
- Arf arf arf, tu sais où tu peux te les mettre tes croquettes bourrées d'extazy. Tu n'as qu'à t'en faire un clafoutis et les manger espèce de poivrot.
Il continua sa route en marchant et arrivé au bout du chemin se sachant visible de la voiture, il se mit à courir. Fripouille qui regardait par la lunette arrière prévint les autres et la porte s'ouvrit devant Pépère qui arrivait en courant. Il sauta dans l'auto et avait des Nike toutes propres. Il avait quand même pris le temps de se changer de chaussure pour la parade.
- Toc toc toc, tu cours sacrément vite Pépère, toc toc toc, et tu n'es pas essoufflé, toc toc toc.
- Oui, tu es vraiment fort, tu n'as pas vu le monstre par hasard, rajouta Turbo.
- Non ne t'inquiète pas Turbo, j'ai une résistance hors norme et grâce à ma taille svelte, je peux courir des kilomètres sans jamais être fatigué.
- Oui, c'est vrai dans le désert, il m'a porté sur son dos pendant quatre-vingts kilomètres en courant pour me sauver, s'exclama Lolo.
- Oui, c'est vrai et nous avons combattu dans pleins de missions ensemble, c'est pour ça que nous allons retrouver mes textes et sauver Sybage. Pour te répondre Turbo, voilà lui et sa comparse sont en train de fabriquer des gilets avec les vielles tenues de protections nucléaires. Oui, ils les portaient quand moi, je creusais pour ensevelir les résidus d'uranium. En même temps, ils sont en train de dresser le monstre. Sa comparse experte en mécanique est en train de démonter une épave sur le terrain et lui, il fait chauffer la marmite pour le ragoût. Le problème, c'est que cette carcasse était utilisée pour le transport d'armes chimiques. Elle a déjà les dents bleues et les cheveux rouges et lui a déjà une oreille de trois mètres et il ne fait que de marcher dessus. Voyez monsieur, ils l'ont libéré de l'hôpital, mais ça ne lui a pas servi de leçon. Le monstre est en train de manger le moteur en attendant que sa soûlarde est finie le ragoût de carcasse de voiture. Lui, il fabrique ses gilets avec le tissu irradié et va nous empoisonner tout le monde, mais que pouvons nous faire.
- D'abord sauver ma chatmoureuse et retrouver tes poèmes, rejoignions Momo, répondit Lolo.

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Merci Daniel. Je reviendrai vous lire carien ce soir je n'ai pas la tête qui fonctionne à 100 %
Désolée
Amicalement
Gaby