- Quand même des arbres avec des dents, ça ne rigole pas en Mongolie mon père.
Lui répondit le pape qui était en admiration devant le Pépère. Lui il paradait devant la foule admirative devant toutes ses prouesses passées. Il regarda le pape et lui dit ;
- J'ai consulté internet et le ministre n'est toujours pas reparti de Sancerre je me demande bien ce qu'il fait, j'ai des médailles à recevoir. En plus nous attendons pour faire un vrai barbecue et nous mourons de faim nous autres pendant ce temps là. Puis de vous avoir parler des arbres à dents m'a mis encore plus les crocs, en me faisant penser aux frites Belges qui ont été découvert grâce aux Mongoles et les dents tombés au sol.
- Ha bon mon père, mais quel rapport entre des dents et les frites Belges je ne comprends pas.
- Je vais vous l'expliquer mon fils et vous allez tout comprendre. Voilà au début les Mongoliens se sont demander ce qu'il pouvait faire de ces tonnes de dents tombés des arbres. L'un d'eux assez malin a eu l'idée d'en faire des billes pour amuser les enfants. Le commerce était florissant et un jour les chinois ont voulu s'associer avec le patron et ils ont monté ensemble le négoce à l'international. Malheureusement le bougre était tombé sur des malfaisants qui volaient dans la caisse. Il a porté plainte et ils l'ont remboursé d'un chèque en bois ( sans dent chat chat chat) et il a fait faillite. Les tonnes de dents se sont retrouvés à ne plus avoir d'utilité. En même temps en Belgique un virus terrible sévissait au près des habitants. La dentéose, qui est très connue de nos jours...
- La dentéose qu'est-ce donc mon père ?
- Les dents qui poussent de manière ultra violente. En quelques jours vous vous retrouvez avec des dents de 1 à 3 mètres de long et vous ne pouvez plus marcher sans qu'elles traînent sur le sol. En fait c'est que les Belges mangeaient de la salade de petales de marguerite et de tulipes et ces fleurs portent ce virus. Ils n'avaient pas le choix que de manger de la purée car ils étaient obligés de se faire amputer des dents. La pomme de terre est le seul légume qui puisse pousser sur ce sol. Ô il a déjà été demandé à d'autres végétaux s'ils voulaient essayer d'y pousser et après avoir consulter leur syndicat ils ont été unanimes le seul légume qui pousse sur le sol belges est la pomme de terre. Alors notre homme d'affaires Mongolien à eut l'idée fabriquer des dentiers et exporter sa fabrication en Belgique. J'ai ensuite eu l'idée d'inventer l'huile et il se sont mis à faire des frites voilà mon père l'histoire qu'elle est pas fausse vraie réelle authentique.
À Mornay la pauvre jument était furax de l'intrusion du Pépère dans sa maison et les hommes derrière sa cabane revenaient tranquillement vers leur campement, l'odeur s'étant dissipée. Au bout de la rue dans une maison inhabitée la célèbre bande à Elchatponne avait repris possession des lieux malgré que les gendarmes soient proches de l'endroit. Elchatponne et ses complices préparaient leur entrée sur Sancoins. Ils comptaient utiliser la voiture du ministre pour s'y rendre. Un chat-spécialiste de l'informatique était la pour détourner le guidage satellite du véhicule à mornay et ensuite avec la simulation d'un faux accident forcer la voiture à s'arrêter et s'introduire dans le coffre pour y aller. Dans le champ les scientifiques étaient toujours en attente de nouvelles mesures de la part de leurs supérieurs pour pouvoir approcher la jument et voir si ce n'était pas un extraterrestre.
- Qu'est-ce qu'ils font ici hiii bandit partez d'ici hiii vous êtes des cacateux hiii fuyez.
- Ne t'énerve pas Cookie gre gre gre. Où sont Chatdore et Lolo.
Lui demanda Rooki son ami l'écureuil.
- Hiii des trouillards hiii ils ont fui hiii c'est à cause du Pépère hiii c'est un extraterrestre et il se transforme en t-rex hiii.
Lolo revint vers Cookie et lui dit.
- Excuse moi mais j'ai eu peur de la bestiole dans ta cabane. J'ai reçu un message du Pépère qui m'a dit que c'était une blague.
- Hiii un blague, hiii cucul plein de caca hiii.
La plage de sable qui bordait la mer intérieure de Mercure était enfin déserte et le soleil caressait ses rivages avec douceur. Liettuje avait besoin de se reposer un peu et elle dit à Lienad.
- Mon ami, les hommes dans la forêt sont transparent donc tu peux retourner à ta charge. Je vais rester un peu ici en attendant de me reposer car je suis un peu lasse d'un coup.
Le gardien disparut vers la forêt et elle resta seule au bord de l'eau. Il lui semblait que chaque vague était une feuille de papier qui versait ses lettres sur le rivage. Elle ferma les yeux et respira profondément et se laissa emporter par la musique des flots. Il lui semblait écouter comme des airs de piano et un morceau qu'elle affectionnait. Elle se vit enfant dans le jardin courir derrière des papillons tous blancs qui volaient au dessus d'œillet de poète. Elle courait sur le terrain de son enfance avec son chien. Le labrador semblait aussi intéressé qu'elle par les insectes volants. Le grondement au loin lui faisait dire que l'orage était proche. Elle n'en avait pas peur et elle aimait la magie des éclairs et la pluie sur son visage la faisait rêver en attendant qu'elle sente le vent. Elle disait à ses parents qu'il était son ami. Qu'elle posait dessus des mots pour son papa et qu'elle était certaine qu'il les écoutait avant que l'orage ne froisse de ses mains les feuillets invisible du zephyr. Puis l'orage passé elle sentait la fraîche haleine de l'herbage et emmenait jusqu'à dans ses rêves l'odeur de la terre et des fleurs. Toute la nuit elle continuait à écouter le vent et savait que tout ce qu'elle n'osait pas dire et qu'elle lui confiait était délivré à ceux qu'elle aimait. Elle resta ainsi rêveuse un long moment au bord de la mer puis ouvrit les yeux et regarda les nuages danser sur les vagues. Elle aimait ces louanges du ciel et disait que ces morceaux de coton étaient magiques. Elle affirmait que ces instants d'éternité lu dans les cieux étaient inestimables comme un baiser échanger avec tendresse.
Lui répondit le pape qui était en admiration devant le Pépère. Lui il paradait devant la foule admirative devant toutes ses prouesses passées. Il regarda le pape et lui dit ;
- J'ai consulté internet et le ministre n'est toujours pas reparti de Sancerre je me demande bien ce qu'il fait, j'ai des médailles à recevoir. En plus nous attendons pour faire un vrai barbecue et nous mourons de faim nous autres pendant ce temps là. Puis de vous avoir parler des arbres à dents m'a mis encore plus les crocs, en me faisant penser aux frites Belges qui ont été découvert grâce aux Mongoles et les dents tombés au sol.
- Ha bon mon père, mais quel rapport entre des dents et les frites Belges je ne comprends pas.
- Je vais vous l'expliquer mon fils et vous allez tout comprendre. Voilà au début les Mongoliens se sont demander ce qu'il pouvait faire de ces tonnes de dents tombés des arbres. L'un d'eux assez malin a eu l'idée d'en faire des billes pour amuser les enfants. Le commerce était florissant et un jour les chinois ont voulu s'associer avec le patron et ils ont monté ensemble le négoce à l'international. Malheureusement le bougre était tombé sur des malfaisants qui volaient dans la caisse. Il a porté plainte et ils l'ont remboursé d'un chèque en bois ( sans dent chat chat chat) et il a fait faillite. Les tonnes de dents se sont retrouvés à ne plus avoir d'utilité. En même temps en Belgique un virus terrible sévissait au près des habitants. La dentéose, qui est très connue de nos jours...
- La dentéose qu'est-ce donc mon père ?
- Les dents qui poussent de manière ultra violente. En quelques jours vous vous retrouvez avec des dents de 1 à 3 mètres de long et vous ne pouvez plus marcher sans qu'elles traînent sur le sol. En fait c'est que les Belges mangeaient de la salade de petales de marguerite et de tulipes et ces fleurs portent ce virus. Ils n'avaient pas le choix que de manger de la purée car ils étaient obligés de se faire amputer des dents. La pomme de terre est le seul légume qui puisse pousser sur ce sol. Ô il a déjà été demandé à d'autres végétaux s'ils voulaient essayer d'y pousser et après avoir consulter leur syndicat ils ont été unanimes le seul légume qui pousse sur le sol belges est la pomme de terre. Alors notre homme d'affaires Mongolien à eut l'idée fabriquer des dentiers et exporter sa fabrication en Belgique. J'ai ensuite eu l'idée d'inventer l'huile et il se sont mis à faire des frites voilà mon père l'histoire qu'elle est pas fausse vraie réelle authentique.
À Mornay la pauvre jument était furax de l'intrusion du Pépère dans sa maison et les hommes derrière sa cabane revenaient tranquillement vers leur campement, l'odeur s'étant dissipée. Au bout de la rue dans une maison inhabitée la célèbre bande à Elchatponne avait repris possession des lieux malgré que les gendarmes soient proches de l'endroit. Elchatponne et ses complices préparaient leur entrée sur Sancoins. Ils comptaient utiliser la voiture du ministre pour s'y rendre. Un chat-spécialiste de l'informatique était la pour détourner le guidage satellite du véhicule à mornay et ensuite avec la simulation d'un faux accident forcer la voiture à s'arrêter et s'introduire dans le coffre pour y aller. Dans le champ les scientifiques étaient toujours en attente de nouvelles mesures de la part de leurs supérieurs pour pouvoir approcher la jument et voir si ce n'était pas un extraterrestre.
- Qu'est-ce qu'ils font ici hiii bandit partez d'ici hiii vous êtes des cacateux hiii fuyez.
- Ne t'énerve pas Cookie gre gre gre. Où sont Chatdore et Lolo.
Lui demanda Rooki son ami l'écureuil.
- Hiii des trouillards hiii ils ont fui hiii c'est à cause du Pépère hiii c'est un extraterrestre et il se transforme en t-rex hiii.
Lolo revint vers Cookie et lui dit.
- Excuse moi mais j'ai eu peur de la bestiole dans ta cabane. J'ai reçu un message du Pépère qui m'a dit que c'était une blague.
- Hiii un blague, hiii cucul plein de caca hiii.
La plage de sable qui bordait la mer intérieure de Mercure était enfin déserte et le soleil caressait ses rivages avec douceur. Liettuje avait besoin de se reposer un peu et elle dit à Lienad.
- Mon ami, les hommes dans la forêt sont transparent donc tu peux retourner à ta charge. Je vais rester un peu ici en attendant de me reposer car je suis un peu lasse d'un coup.
Le gardien disparut vers la forêt et elle resta seule au bord de l'eau. Il lui semblait que chaque vague était une feuille de papier qui versait ses lettres sur le rivage. Elle ferma les yeux et respira profondément et se laissa emporter par la musique des flots. Il lui semblait écouter comme des airs de piano et un morceau qu'elle affectionnait. Elle se vit enfant dans le jardin courir derrière des papillons tous blancs qui volaient au dessus d'œillet de poète. Elle courait sur le terrain de son enfance avec son chien. Le labrador semblait aussi intéressé qu'elle par les insectes volants. Le grondement au loin lui faisait dire que l'orage était proche. Elle n'en avait pas peur et elle aimait la magie des éclairs et la pluie sur son visage la faisait rêver en attendant qu'elle sente le vent. Elle disait à ses parents qu'il était son ami. Qu'elle posait dessus des mots pour son papa et qu'elle était certaine qu'il les écoutait avant que l'orage ne froisse de ses mains les feuillets invisible du zephyr. Puis l'orage passé elle sentait la fraîche haleine de l'herbage et emmenait jusqu'à dans ses rêves l'odeur de la terre et des fleurs. Toute la nuit elle continuait à écouter le vent et savait que tout ce qu'elle n'osait pas dire et qu'elle lui confiait était délivré à ceux qu'elle aimait. Elle resta ainsi rêveuse un long moment au bord de la mer puis ouvrit les yeux et regarda les nuages danser sur les vagues. Elle aimait ces louanges du ciel et disait que ces morceaux de coton étaient magiques. Elle affirmait que ces instants d'éternité lu dans les cieux étaient inestimables comme un baiser échanger avec tendresse.
