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Pépère le chat du poète. Suite. 18 novembre

#1
Dans la maison du poète, le petit minet s'était couché contre Bibou. Bouillette et Mimine étaient entre ses pattes et tout le monde dormait tranquillement. La mère du poète qui s'était levée n'avait même pas vu qu'il y avait un nouveau chat. Elle ouvrit les volets bien qu'il ne fût qu sept heures du matin. En se retournant, elle regarda la paillasse et ne réagit pas de suite et partit dans la cuisine. Elle grattait dans cette pièce depuis dix minutes quand d'un coup, Bibou, fut éveillé par sa voix.
- Hé bien ! Une poche de dix-sept croissants, il n'en reste plus que deux, c'est complet ça. Qui a bien pu les manger, sûrement son espèce de chien. Et encore un chat, il va nous ramener tous les chats errants de la région si ça continue, ce n'est pas un refuge ici, à la fin.
La maman du poète n'était pas bien contente, car cela faisait, trois animaux qu'il ramenait à la maison en quelques jours. Elle l'avait loupée de peu, car il était sur le chemin de sa cabane. En passant le long du champ, il vit que les juments étaient calmes, ainsi que les hommes qui campaient derrière la cabane. Il marchait en regardant les nuages et pensait qu'ils étaient en train de donner naissance au brouillard. Momo, qui était non loin de la route, vit son maître. Il ne bougea pas, car il était anxieux de la suite des événements pour Sybage. Il avait horreur que l'on perturbe sa tranquillité et maintenant, il avait peur pour Mimine. Il se demandait bien pourquoi les Américains voulaient faire du mal à Pépère. Certes, il aimait à se rendre intéressant, mais cela n'était pas une raison tout de même pour l'assassiner. La lumière de la maison en face se coupa et Momo tendit l'oreille. Il y avait des bruits bizarre et il vit d'un seul coup le chat à un œil qui sortit de la maison. Il se dirigea vers la route et regarda de toute part. Cela semblait vouloir dire qu'il allait bientôt bouger. Au même instant, une voiture de gendarmerie passa sur la route et Momo ne bougea pas de la haie contrairement à un œil qui s'enfuit à pattes rabattues derrière la maison. Le véhicule de gendarmerie ralentit et s'arrêta pour héler son maître. Momo tendit l'oreille et écouta distinctement les paroles.
- Bonjour gendarmerie nationale, brigadier Tatouvu. Monsieur, vous avez une démarche de crabe. Veuillez s'il vous plaît me présenter les papiers de vos chaussures et le contrôle technique ainsi que l'assurance et votre permis de piéton, hic.
Son maître regarda l'homme qui était seul dans la voiture une bouteille de villageoise posée entre les jambes. Il lui répondit.
- Des papier de piéton, une assurance pour des chaussures, vous êtes sérieux, c'est pour la caméra cachée des œuvre de bienfaisance de la gendarmerie. Je n'ai que ma carte d'identité et cela est suffisant. Non mais c'est quoi cette histoire à la noix vous avez la rubéole du képi qui vous chatouille où quoi !!!!
- Je m'en doutais que tu avais rigolé hic, souffle la dedans espèce de pharaonique, hic.
Le poète agacé souffla dans l'appareil, et il affichait zéro gramme. Le brigadier furieux souffla à son tour et s'écria.
- Trois grammes trente-trois, hic export, oui trente-trois export hic. Bon, cet appareil ne fonctionne plus, hic. Tu as rangé quoi ce matin, avoue de la vinasse.
- Ranger, non mais vous aller me foutre la paix à la fin, c'est vous qui êtes ivre mort, si vous voulez dire manger, hé bien, quinze croissants.
- Je m'en routais hic ton compte est bon mon gaillard. Tu ne peux pas conter par ce côté, car je conduis alors, je lait le nerf demi-tour et je reviens de hic.
Et sans plus de paroles le brigadier répartit tout droit. Il roula un long moment en continuant sur le chemin boueux qui finissait la route et fit au moins deux kilomètres avant d'arriver où s'était enfoncé sœur Mathilde. Il tomba à son tour dans la boue. Il rouspétait autant qu'il buvait de l'abri-peur et il finit par s'endormir. Le poète lui était sidéré et n'avait rien comprit à la blague. Momo lui était rassuré que cette espèce de gendarme soit repartie. Il envoya un message à Lolo qui suivait pas à pas, grâce à lui les activités d'un œil. Il l'informa qu'une voiture de gendarmerie était dans le chemin. Lolo lui avait décrit le chemin auparavant et il savait où il était à présent. Il n'était pas bien loin de la maison du chat bandit, mais il fallait malheureusement passer par la nationale pour y arriver au risque de s'embourber.
Pendant ce temps le long de la voie la plus rapide justement ; l'huissier était déjà sous le charme du discours de Pépère qui le changeait de son ordinaire.
-Voilà pourquoi le gilet jaune est le signe du ralliement nucléaire.
- Quelle histoire, c'est hallucinant. Donc des voitures circulent avec des charges nucléaires ?
- Oui, et ceci grâce à moi qui en suis l'inventeur.
- Vous avez inventé une voiture nucléaire ? Je ne vous suis plus à présent.
- Oui, laissez-moi vous expliquer, à l'origine, c'était pour les rois que je l'avais inventé. La diligence nucléaire qui fonctionne avec une pile qui a une autonomie de un milliard d'années. Oui voilà l'histoire, c'était pour soulager les chevaux, enfin faire des économies. Les chevaux, c'étaient très bien, mais coûtaient très cher en coiffeur et en manucure. Les cheveux des chevaux blanchissent des la troisième années peut-être ne le savez-vous pas. Donc ce sont huit teintures par an. Il fallait aussi les coiffer et leur couper les cheveux et c'étaient tous les mois. Enfin, il fallait leur couper les ongles tous les quize jours et leur mettre du vernis pour les chevelles que l'on appelaient ainsi à l'époque. Un jours Louis 14 vient me voir et me dit.
- Salut Pépère, est-ce que tu as fini la réparation de ma Xbox 360. J'ai reçu mon nouveau call of duty et je suis vert, car je ne peux pas l'essayer. Tiens au fait, j'ai vu Michael, il y a un mois, il partait voir son parc à mammouths et s'est arrêté me voir, nous avons été chez Maqueuedonald ensemble, enfin ça, tu le sais, car, il était avec ta chatlauréanne. Voilà, il faut que je t'expose un grave problème sur l'entretien de nos chevaux qui coûtent une fortune. La twizy, c'est bien, mais pas assez d'autonomie alors quand, je vais au golf ou en discothèque ou au restaurant, enfin bref. Nous sommes obligés de les utiliser pour aller loin. Toi l'inventeur révolutionnaire qui a conçu la pizza lyophilisée pour Jean-Pierre Croft le frère a lara le dentifrice aux binzodiadepines pour dents dépressives, que pouvons nous faire ?
- Pas de problème que je lui dis nous allons prendre modèle sur ma chatlaureanne qui a été inventé pour le film, va faire un tour dans mon futur pour manger ma confiture. Cette auto est révolutionnaire et malgré que mon soûlard saoudien saupoudré d'acide varicelleuse, ait monté dedans un poste à galène avec un chargeur six disques microsillons soixante-dix-huit tours, elle peut fonctionner sur batterie nucléaire. C'est ainsi que j'ai fabriqué pour la cour des diligences nucléaires.
- Pépère vous êtes assurément un génie. Tiens qui s'arrête face à nous lui dit l'huissier.
Pépère reconnu Lolo dans la voiture et s'exclama, mais c'est sœur Mathilde avec mon coéquipier Lolo, yes, ça, c'est excellent, je les attendais pour résoudre le vol de mes poèmes d'exception.

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