Ode à tes seins
Sans tes deux seins alanguis
Faons jumeaux parcourant la plaine
Qu'est-ce donc que la vie ?
Soudain sans amour ni haine
Mon cour à son tour s'endormit,
Sans jamais tel un oiseau perdu
De ta chair douce aimer le fruit !
Non ce n'est point le fruit défendu
Mais plutôt la tendre moiteur nue
Qui a finalement vaincu mon âme
A l'issue d'un doux combat perdu
Et j'ai rendu ainsi les armes.
Dans la vallée perle une délicate rosée
Que ma langue viendra cueillir au matin
Et sans que jamais je ne l'ose rêver
Mes sens se perdront entre tes seins.
Comment ainsi voir renaître de son nid
L'oiseau qui se pâme et reste étourdi
C'est de l'amour le symbole nourricier
Mais comment pourrais-je m'en passer ??
Sans tes deux seins alanguis
Faons jumeaux parcourant la plaine
Qu'est-ce donc que la vie ?
Soudain sans amour ni haine
Mon cour à son tour s'endormit,
Sans jamais tel un oiseau perdu
De ta chair douce aimer le fruit !
Non ce n'est point le fruit défendu
Mais plutôt la tendre moiteur nue
Qui a finalement vaincu mon âme
A l'issue d'un doux combat perdu
Et j'ai rendu ainsi les armes.
Dans la vallée perle une délicate rosée
Que ma langue viendra cueillir au matin
Et sans que jamais je ne l'ose rêver
Mes sens se perdront entre tes seins.
Comment ainsi voir renaître de son nid
L'oiseau qui se pâme et reste étourdi
C'est de l'amour le symbole nourricier
Mais comment pourrais-je m'en passer ??