Non je ne parlerais pas de toi....
Non je ne parlerais pas de toi
six ans dans 37 jours
six ans à te chercher
mais tu n'est pas la
non je ne parlerais pas de toi
des bateaux qui nous suivent
jusqu'à la baie de seine...
je revois encore cette scène
j'ai gardé cette image
non chut, je ne parlerais pas de toi
cette gerbe bercée par les flots
cette urne
et ces cendres
à la dérive
non ,je ne parlerais pas de toi
combien de capitaines
combien de marins
j'ai le cœur en berne
tu sais je me souviens de mon premier livre
l'homme et la mer j'ai retenus de ce bouquin
la couverture ….
pipe ,bouc, casquette
je ne pleure pas tu sais
et si j'en parle maintenant
c'est qu'au moins le jour venu
peut etre que j'aurais le cœur ailleurs
peut être que j'aurais le sourire
mélangé de pleures
de pleures, ça pleure pas un homme ,hein dit moi
ça ne pleure pas un homme
non je ne parlerais pas de toi
vois tu ,ce qui me manque le plus c'est ta grande gueule
l'odeur du tabac
la fumée de tes boyards maïs
ha oui ,tu te rappel
qui a piqué mes bougies
non je ne parlerais pas de toi
de nos sorties en mer
de nos tempêtes affrontées ensemble
de cette dernière ou je me suis vue mourir
ola ménagères à la belle crevette
de tes rires, de tes grandes mains
comme quoi la vie
peut basculer du jour au lendemain
et je n'accepte toujours pas....
Mais non je ne parlerais pas de toi
et tous ces touristes qui regardent la mer
d'Honfleur en passant par le Havre à Antifer
qui s’émerveillent de ses colères
sans avoir une pensée
pour ces marins ,ces capitaines
et combien de bateaux …
emmenez moi au bout de la terre
non je ne parlerais pas de toi....
Papa ...
ericvilleypoemes detendeur du copyright numero 00052936 @
six ans dans 37 jours
six ans à te chercher
mais tu n'est pas la
non je ne parlerais pas de toi
des bateaux qui nous suivent
jusqu'à la baie de seine...
je revois encore cette scène
j'ai gardé cette image
non chut, je ne parlerais pas de toi
cette gerbe bercée par les flots
cette urne
et ces cendres
à la dérive
non ,je ne parlerais pas de toi
combien de capitaines
combien de marins
j'ai le cœur en berne
tu sais je me souviens de mon premier livre
l'homme et la mer j'ai retenus de ce bouquin
la couverture ….
pipe ,bouc, casquette
je ne pleure pas tu sais
et si j'en parle maintenant
c'est qu'au moins le jour venu
peut etre que j'aurais le cœur ailleurs
peut être que j'aurais le sourire
mélangé de pleures
de pleures, ça pleure pas un homme ,hein dit moi
ça ne pleure pas un homme
non je ne parlerais pas de toi
vois tu ,ce qui me manque le plus c'est ta grande gueule
l'odeur du tabac
la fumée de tes boyards maïs
ha oui ,tu te rappel
qui a piqué mes bougies
non je ne parlerais pas de toi
de nos sorties en mer
de nos tempêtes affrontées ensemble
de cette dernière ou je me suis vue mourir
ola ménagères à la belle crevette
de tes rires, de tes grandes mains
comme quoi la vie
peut basculer du jour au lendemain
et je n'accepte toujours pas....
Mais non je ne parlerais pas de toi
et tous ces touristes qui regardent la mer
d'Honfleur en passant par le Havre à Antifer
qui s’émerveillent de ses colères
sans avoir une pensée
pour ces marins ,ces capitaines
et combien de bateaux …
emmenez moi au bout de la terre
non je ne parlerais pas de toi....
Papa ...
ericvilleypoemes detendeur du copyright numero 00052936 @