Cette journée, ce jour du poisson,
Mon chat est mort, couché dans mes bras,
Plongeant tout entier dans l’au-delà.
Il miaula, une dernière fois,
Puis s’en allant au pays des chats,
Il renaquit au paradis de sa passion.
Les souris l’acclamaient gentiment,
Les humains lui servaient du mou frais,
Après dégustation, il s’endormait.
Il rêva, pour la première fois,
Du monde bien réel et j’étais là,
Lui caressant les poils du bout des doigts.
Ses yeux verts brillants, le pelage gris,
Il était doux et charmant, je l’aimais
Comme un frère, et il le savait.
Il se réveilla dans son monde,
Regardait ce paradis immonde,
Je lui manquais, on me l’avait pris.
Mon chat est mort, couché dans mes bras,
Plongeant tout entier dans l’au-delà.
Il miaula, une dernière fois,
Puis s’en allant au pays des chats,
Il renaquit au paradis de sa passion.
Les souris l’acclamaient gentiment,
Les humains lui servaient du mou frais,
Après dégustation, il s’endormait.
Il rêva, pour la première fois,
Du monde bien réel et j’étais là,
Lui caressant les poils du bout des doigts.
Ses yeux verts brillants, le pelage gris,
Il était doux et charmant, je l’aimais
Comme un frère, et il le savait.
Il se réveilla dans son monde,
Regardait ce paradis immonde,
Je lui manquais, on me l’avait pris.
Cid Ragoon