Dans l’extase de la brume légère,
Au seuil du jour nu et amer,
Aujourd’hui revers des saisons
Q’allument les beaux horizons,
J’ai la nostalgie de ton fiel,
De ton parfum saveur miel,
Du bleu de ton ciel d’un soir doux.
Et mes yeux comblés clament fous,
Mon bonheur à la douceur avide.
Tous me disent : « regret été torride. »
Laissez-moi mes baisers roses,
Car j’aime où vallons reposent.
Dans ton regard blême ruisselant,
J’ai lu mon seul bonheur pantelant.
Si nul n’a mon cœur lourd,
J’irai volontiers à ta tendresse ;
Et la douceur de tes caresses,
Je me souviens toujours pantois.
Rassasies-moi de ton amour
Afin que jamais se noie,
Ma faim pour ton souffle pur
Pour un raisin d’amour qui dure.
Au seuil du jour nu et amer,
Aujourd’hui revers des saisons
Q’allument les beaux horizons,
J’ai la nostalgie de ton fiel,
De ton parfum saveur miel,
Du bleu de ton ciel d’un soir doux.
Et mes yeux comblés clament fous,
Mon bonheur à la douceur avide.
Tous me disent : « regret été torride. »
Laissez-moi mes baisers roses,
Car j’aime où vallons reposent.
Dans ton regard blême ruisselant,
J’ai lu mon seul bonheur pantelant.
Si nul n’a mon cœur lourd,
J’irai volontiers à ta tendresse ;
Et la douceur de tes caresses,
Je me souviens toujours pantois.
Rassasies-moi de ton amour
Afin que jamais se noie,
Ma faim pour ton souffle pur
Pour un raisin d’amour qui dure.