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Les rivaux ...

lilasys

Maître Poète
#1
Les rivaux ....


Je hais les testaments qui font le cri des armes ,
Ces horreurs qui éloignent de leurs tendres berceaux ,
Ces guerriers changés en bêtes près à vider les boyaux
A travers le monde auréolés d'hommes en larmes ,
Les pieds sur l'échine de ces corps en lambeaux
Le bourreau jouit sur les nappes de sang des martyrs
d'un coup de fouet ils balaient leurs repentirs,
Combien de soldats mangent des racines au nom des idéaux ?
Et les gouffres communs auront la flamme du triomphe
Hélas !qui aujourd'hui connait le prix de cette putain de liberté
Aucune médaille aucune couronne n'est assez belle ,assez parfumée
Seuls les souvenirs sur les livres d'histoires doucement ronflent
Grandirons nous un jour pour l'humanité, toutes patries unies ?
Où est cet engrais qui pourrait faire germer la paix ?
Ce ruisseau qui coule aussi loin à l'infini?
faudra t'il un embarquement de plus, pour des syndicats bourrés ?.

LILASYS.....
 

janu

Maître Poète
#2
Tu touches la corde sensible... que messieurs les assassins renoncent à leurs boucheries
La planète bleue, fut, est et sera encore longtemps rougie du sang des innoçents...
Un poème quii interpelle !!
Bise amicale
 

popa1234

Maître Poète
#4
je rejoins Janu dans sa réflexion et puis être idéaliste c'est bien mais utopique (dans ce cas de figure)......merci du partage..........bisous
 

luron1er

Administrator
Membre du personnel
#5
Les rivaux ....


Je hais les testaments qui font le cri des armes ,
Ces horreurs qui éloignent de leurs tendres berceaux ,
Ces guerriers changés en bêtes près à vider les boyaux
A travers le monde auréolés d'hommes en larmes ,
Les pieds sur l'échine de ces corps en lambeaux
Le bourreau jouit sur les nappes de sang des martyrs
d'un coup de fouet ils balaient leurs repentirs,
Combien de soldats mangent des racines au nom des idéaux ?
Et les gouffres communs auront la flamme du triomphe
Hélas !qui aujourd'hui connait le prix de cette putain de liberté
Aucune médaille aucune couronne n'est assez belle ,assez parfumée
Seuls les souvenirs sur les livres d'histoires doucement ronflent
Grandirons nous un jour pour l'humanité, toutes patries unies ?
Où est cet engrais qui pourrait faire germer la paix ?
Ce ruisseau qui coule aussi loin à l'infini?
faudra t'il un embarquement de plus, pour des syndicats bourrés ?.

LILASYS.....
Je suis bien d’accord avec toi
Un petit marivaudage en humour érotique, rien que pour rire.

Des Marivaudages....

J’aime les tests amant qui sont l’écrit de tes larmes,
Et les honneurs qui témoignent à me vendre des cerceaux,
Ces palefreniers échangés m’embêtent près à vider mes joyaux,

Associés à ma ronde auréolés pour femme en armes,
De mon encre de chine, un décor de flambeaux,
Le bourg haut réjouit mes agapes, j’en ai mare, j’me tire,

Au coup de sifflet, je déblayais tous leurs soupirs,
O combien ma solde basse me démange, j’enracine de ces fléaux,
J’engouffre comme un taureau la femme en triomphe,

Hé, là, qui demain reconnaîtra l’esprit des catins en liberté,
Nulle sonnaille, nulle cour sonne, remarquable, elle partira enfumée,
Seul sous à venir, je vous livre l’histoire qui délicatement s’enfle,

Grands, irons-nous une nuit pour mériter, toutes mes parties réunies ?
Où est cet Anglais qui devait me faire fermer mes pets ?
Ce puceau d’où découle tous mes soins bien finis,
Faudra-t-il un débarquement en plus, pour des seins délicats débourrés ?