Les mots sont sillons
Dans des poèmes troublons
Qui tuent ma sérénité
Ma solitude méritée
Les mots sont cruels
Quand la distance s’en mêle
Tes caresses s’égarent
A mille lieux des gares
Les mots sont barbares
Ils blessent l’espoir
De ma main délaissée
Qui essaie de te retrouver
Les mots sont si froids
Ils ne ressentent pas
Le goût d’un baiser
Sur ton cou déposé
Les mots sont bêtes
Parce qu’ils décrètent
Que je ne sais pas t’expliquer
Le verbe "aimer"
Les mots sont si dures
Ils prennent aux murmures
La puissance du souffle
D’un cœur qui s’essouffle
Les mots me dévorent
Quand j’ai faim de ton corps
Sur ta peau s’abîme
Ma dernière rime
Dans des poèmes troublons
Qui tuent ma sérénité
Ma solitude méritée
Les mots sont cruels
Quand la distance s’en mêle
Tes caresses s’égarent
A mille lieux des gares
Les mots sont barbares
Ils blessent l’espoir
De ma main délaissée
Qui essaie de te retrouver
Les mots sont si froids
Ils ne ressentent pas
Le goût d’un baiser
Sur ton cou déposé
Les mots sont bêtes
Parce qu’ils décrètent
Que je ne sais pas t’expliquer
Le verbe "aimer"
Les mots sont si dures
Ils prennent aux murmures
La puissance du souffle
D’un cœur qui s’essouffle
Les mots me dévorent
Quand j’ai faim de ton corps
Sur ta peau s’abîme
Ma dernière rime
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