Les filles que j’ai jadis, connues
Mais que sont elles devenues
Ces filles que j’ai jadis, connues
Il y a longtemps
Celles que j’aimais, dont je rêvais
De prendre en noces, quand moi j’avais
Juste vingt ans
Où sont elles donc, ces blondes ou brunes
A qui j’disais, au clair de lune
Je t’aime tant
Elles étaient belles et ravissantes
Comme les roses épanouissantes !
De tout printemps
Je me sentais si amoureux
Que tout près d’elles, j’étais heureux
Le cœur battant
A chaque rencontre en tête à tête
C’était l’ivresse, c’était la fête
Et le beau temps
Entre les roses et les jasmins
On galopait main dans la main
Gais en chantant
Comme les rêves sont permis
J’en ai tant fait, et tant promis
A chaque instant
J’étais sincère, car j’le pensais
Et promettais lorsqu’on dansait
En chuchotant
L’on se disait des mots si tendres
Que l’on aimait toujours entendre
En se quittant
Mais, après toutes ces années
Tout comme les reines, elles sont fanées
Et les sultans
Et cependant, elles sont heureuses
D’être des femmes, fort amoureuses
D’époux contents
D’être aussi, les meilleurs mamans
D’enfants mignons, doux et charmants
Qu’elles aiment autant !
Quant à moi, j’ai d’la tendresse
Des souvenirs de ma jeunesse
Et bon vieux temps
Merzak OUABED
Alger, le 26/03/03
Mais que sont elles devenues
Ces filles que j’ai jadis, connues
Il y a longtemps
Celles que j’aimais, dont je rêvais
De prendre en noces, quand moi j’avais
Juste vingt ans
Où sont elles donc, ces blondes ou brunes
A qui j’disais, au clair de lune
Je t’aime tant
Elles étaient belles et ravissantes
Comme les roses épanouissantes !
De tout printemps
Je me sentais si amoureux
Que tout près d’elles, j’étais heureux
Le cœur battant
A chaque rencontre en tête à tête
C’était l’ivresse, c’était la fête
Et le beau temps
Entre les roses et les jasmins
On galopait main dans la main
Gais en chantant
Comme les rêves sont permis
J’en ai tant fait, et tant promis
A chaque instant
J’étais sincère, car j’le pensais
Et promettais lorsqu’on dansait
En chuchotant
L’on se disait des mots si tendres
Que l’on aimait toujours entendre
En se quittant
Mais, après toutes ces années
Tout comme les reines, elles sont fanées
Et les sultans
Et cependant, elles sont heureuses
D’être des femmes, fort amoureuses
D’époux contents
D’être aussi, les meilleurs mamans
D’enfants mignons, doux et charmants
Qu’elles aiment autant !
Quant à moi, j’ai d’la tendresse
Des souvenirs de ma jeunesse
Et bon vieux temps
Merzak OUABED
Alger, le 26/03/03