Cauchemars de la nuit et pas littérature
Un charnier de l’esprit qui sent la pourriture
Le corps est agité avec spasmes bruyants
Tandis que notre esprit n’est que bouillonnement
Paysages dantesques et toujours angoissants
Impossibilités et problèmes croissants
Car jamais résolus les essais frénétiques
Réveil qui relève de l’apocalyptique
Les tempes battantes, le cœur est en chamade
L’esprit tout chamboulé d’une telle panade
On regarde l’heure se croyant au matin
Hélas c’est l’insomnie : redormir pas certain
Les images défilent avec incohérence
On ne broie que du noir, sans aucune espérance
D’un devenir en rose ou qui satisferait
Et les espoirs du jour ne sont plus que défiance
On se lève parfois : un passage aux toilettes
Un verre d’eau bienvenu, quelques gestes tout bêtes
Et de nouveau au lit on compte les moutons
Arrive le sommeil, dans l’enfer repartons !
Jan
Un charnier de l’esprit qui sent la pourriture
Le corps est agité avec spasmes bruyants
Tandis que notre esprit n’est que bouillonnement
Paysages dantesques et toujours angoissants
Impossibilités et problèmes croissants
Car jamais résolus les essais frénétiques
Réveil qui relève de l’apocalyptique
Les tempes battantes, le cœur est en chamade
L’esprit tout chamboulé d’une telle panade
On regarde l’heure se croyant au matin
Hélas c’est l’insomnie : redormir pas certain
Les images défilent avec incohérence
On ne broie que du noir, sans aucune espérance
D’un devenir en rose ou qui satisferait
Et les espoirs du jour ne sont plus que défiance
On se lève parfois : un passage aux toilettes
Un verre d’eau bienvenu, quelques gestes tout bêtes
Et de nouveau au lit on compte les moutons
Arrive le sommeil, dans l’enfer repartons !
Jan