Il a, en s’envolant, altéré ma mémoire
Mes mots sont égarés dans un curieux néant
La musique s’éteint, je ne sais plus d’histoires,
Le mimosa se meurt dans un souffle de vent
Les oiseaux se sont tus pressentant la tempête
L’océan déferlant a noyé la jetée
Les fracs et les bijoux ne feront plus la fête,
Même le casino, de rage, en a brûlé
Il a, en s’envolant, altéré ma mémoire,
La glace a fondu sous les patins rouillés,
Les aiguilles de pin servent de patinoire,
Pour une gitane qui ne sait plus danser
Sur les bancs désertés par les vieilles romances,
Personne n’attend plus les âmes égarées
Qui recherchaient l’amour, qui cherchaient une chance
De retrouver la vie dont on les a spoliés
Il a, en s’envolant, altéré ma mémoire
Mes mots sont égarés dans un curieux néant
La musique s’éteint, je ne sais plus d’histoires,
Le mimosa se meurt dans un souffle de vent
Mes mots sont égarés dans un curieux néant
La musique s’éteint, je ne sais plus d’histoires,
Le mimosa se meurt dans un souffle de vent
Les oiseaux se sont tus pressentant la tempête
L’océan déferlant a noyé la jetée
Les fracs et les bijoux ne feront plus la fête,
Même le casino, de rage, en a brûlé
Il a, en s’envolant, altéré ma mémoire,
La glace a fondu sous les patins rouillés,
Les aiguilles de pin servent de patinoire,
Pour une gitane qui ne sait plus danser
Sur les bancs désertés par les vieilles romances,
Personne n’attend plus les âmes égarées
Qui recherchaient l’amour, qui cherchaient une chance
De retrouver la vie dont on les a spoliés
Il a, en s’envolant, altéré ma mémoire
Mes mots sont égarés dans un curieux néant
La musique s’éteint, je ne sais plus d’histoires,
Le mimosa se meurt dans un souffle de vent
