Aux plus grandes bibliothèques du monde
D'ici et d'ailleurs, et encore plus lointain
J'ai passé des heures, des jours et bien plusieurs années
À la recherche du trésor d'amour
Il paraît qu'il se trouve quelque part
Entre la Turquie et l'Azerbaïdjan
J'ai voyagé vers toi
La grande forêt, j'ai passé
Les deux lacs calmes, je m'y suis perdu
La caverne à droite et celle sur la gauche
Et puis le rosier, ô le rosier...
Je m'y suis reposé très longuement
Le pont d'ivoire, j'ai suivi
Pour découvrir les deux vignobles
Tellement mûrs, tellement fleuris
Situés au sommet des deux montagnes enneigées
La douceur exquise de la neige des anges
Gourmand, j'en ai sucé à volonté dans ma bouche
Et la prairie, le ventre du monde
J'admire les courbes ici et là
Mon nez s'y glisse et inspire
J'inspire le parfum de la terre vivante
Mon oreille pressée sur le coeur
Pour chercher le rythme de la vie
Puisqu'il n'y avait aucune grotte dans la grande forêt
Je passe le petit bois sans y prêter attention
Surtout comme je suis fasciné par ces deux colonnes de marbre
Je monte et descends, mais hélas, c'est la fin du monde
Et c'est en revenant par les deux couloirs de marbre
Oui, de ce côté, je trouve enfin ce dont j'ai envie !
J'entre dans le tunnel très lentement
Pour ressentir pleinement la joie et la victoire
À l'intérieur, c'est mouillé, bien glissant
Donc il faut insérer, enfoncer et planter
Mais la caverne, elle devient de plus en plus mouillée, glissante
J'insère, j'enfonce et je plante oh je ne sais plus combien...
Tout d'un coup, un grand tremblement de terre
Dois-je m'enfuir ou rester et mourir dans le trésor d'amour?
Dans cette douceur inexprimable, je tombe dans les pommes
Et quand je me réveille, ton visage souriant comme la pleine lune
Tu es nue, et mes bras sont les seuls que tu portes
De nouveau, je rame sur le ruisseau de belle sueur sous la lune
Notre petit bateau pour te ramener des milliers de plaisirs...
D'ici et d'ailleurs, et encore plus lointain
J'ai passé des heures, des jours et bien plusieurs années
À la recherche du trésor d'amour
Il paraît qu'il se trouve quelque part
Entre la Turquie et l'Azerbaïdjan
J'ai voyagé vers toi
La grande forêt, j'ai passé
Les deux lacs calmes, je m'y suis perdu
La caverne à droite et celle sur la gauche
Et puis le rosier, ô le rosier...
Je m'y suis reposé très longuement
Le pont d'ivoire, j'ai suivi
Pour découvrir les deux vignobles
Tellement mûrs, tellement fleuris
Situés au sommet des deux montagnes enneigées
La douceur exquise de la neige des anges
Gourmand, j'en ai sucé à volonté dans ma bouche
Et la prairie, le ventre du monde
J'admire les courbes ici et là
Mon nez s'y glisse et inspire
J'inspire le parfum de la terre vivante
Mon oreille pressée sur le coeur
Pour chercher le rythme de la vie
Puisqu'il n'y avait aucune grotte dans la grande forêt
Je passe le petit bois sans y prêter attention
Surtout comme je suis fasciné par ces deux colonnes de marbre
Je monte et descends, mais hélas, c'est la fin du monde
Et c'est en revenant par les deux couloirs de marbre
Oui, de ce côté, je trouve enfin ce dont j'ai envie !
J'entre dans le tunnel très lentement
Pour ressentir pleinement la joie et la victoire
À l'intérieur, c'est mouillé, bien glissant
Donc il faut insérer, enfoncer et planter
Mais la caverne, elle devient de plus en plus mouillée, glissante
J'insère, j'enfonce et je plante oh je ne sais plus combien...
Tout d'un coup, un grand tremblement de terre
Dois-je m'enfuir ou rester et mourir dans le trésor d'amour?
Dans cette douceur inexprimable, je tombe dans les pommes
Et quand je me réveille, ton visage souriant comme la pleine lune
Tu es nue, et mes bras sont les seuls que tu portes
De nouveau, je rame sur le ruisseau de belle sueur sous la lune
Notre petit bateau pour te ramener des milliers de plaisirs...
