Je passais parmi les idées
le temps me presse et je m'arrete
Ma voix disparait , mon regard est ébloui
Serein , mon esprit convoite l'oubli
La mort a franchi timidement
Les lisiéres de ma pensée
Ma destiné est devenue une lueur
Et la lueur s'est affaiblie par le temps serein
La peur se déroule librement , sans répit
La solitude m'est devenue familiere
Le coeur qui ignore l'amour
Accepte le mal et accueille la souffrance
La tete ailleurs , sauf l'intentio
Le flux des souvenirs tranchés
En parcelles inégales...il avance.
L'amertume qui pese
La beauté est devenue reminiscence
Et le désir fade s'oppose au manque
La pluie des nuits glaciales
A esuyé le sourire joyeux
Ainsi le rire n'a plus de place sur mes lévres
Et le dépit s'est déploye sur mon visage
Le temps a fait disparaitre mes reves espérés
Et le regret est resté gravé
Dans ma mémoire à jamais.
le temps me presse et je m'arrete
Ma voix disparait , mon regard est ébloui
Serein , mon esprit convoite l'oubli
La mort a franchi timidement
Les lisiéres de ma pensée
Ma destiné est devenue une lueur
Et la lueur s'est affaiblie par le temps serein
La peur se déroule librement , sans répit
La solitude m'est devenue familiere
Le coeur qui ignore l'amour
Accepte le mal et accueille la souffrance
La tete ailleurs , sauf l'intentio
Le flux des souvenirs tranchés
En parcelles inégales...il avance.
L'amertume qui pese
La beauté est devenue reminiscence
Et le désir fade s'oppose au manque
La pluie des nuits glaciales
A esuyé le sourire joyeux
Ainsi le rire n'a plus de place sur mes lévres
Et le dépit s'est déploye sur mon visage
Le temps a fait disparaitre mes reves espérés
Et le regret est resté gravé
Dans ma mémoire à jamais.