A la lueur de la pâle lune
Deux ombres se meuvent comme une
Se heurtant sans cesse, ivres d'amour
Et dansant jusqu'au lever du jour.
Chaque pas est pour l'un une douleur
Chaque instant les rapproche du malheur.
Deux ombres dans un funeste tango
Deux être marqués jusqu'aux os.
Ils se rapprochent dans les maux
Et s'éloignent sans un mot.
Sous la glaciale lumière nocturne
Ils expriment leur passion à la lune.
Leurs mains se lient dans un sourire
Puis se délient dans un soupir.
La souffrance grandissant
Dans un souffle leur amour rampant.
Tantôt dans un heur l'on entend un gémissement
Lorsque chacun perd son courage, frémissant.
Nul besoin de musique, la passion les guidant
Les deux êtres se torturent frénétiquement.
A la lueur de la pâle lune
Deux ombres se blessent dans l'infortune,
Dans une longue lamentation, visages assombris
Ils dansent le tango des amants maudits.
Deux ombres se meuvent comme une
Se heurtant sans cesse, ivres d'amour
Et dansant jusqu'au lever du jour.
Chaque pas est pour l'un une douleur
Chaque instant les rapproche du malheur.
Deux ombres dans un funeste tango
Deux être marqués jusqu'aux os.
Ils se rapprochent dans les maux
Et s'éloignent sans un mot.
Sous la glaciale lumière nocturne
Ils expriment leur passion à la lune.
Leurs mains se lient dans un sourire
Puis se délient dans un soupir.
La souffrance grandissant
Dans un souffle leur amour rampant.
Tantôt dans un heur l'on entend un gémissement
Lorsque chacun perd son courage, frémissant.
Nul besoin de musique, la passion les guidant
Les deux êtres se torturent frénétiquement.
A la lueur de la pâle lune
Deux ombres se blessent dans l'infortune,
Dans une longue lamentation, visages assombris
Ils dansent le tango des amants maudits.