Le spectre des affres revêt son tissu noir.
Danse des macabres au sein de l’inconscient,
Et l’esprit, apparent, psychologiquement,
Souffre des tortures de ses beaux yeux hagards.
Le spectre des affres sort son surin hybride
En se plantant parfois dans l’axe de sa panse,
Entre la sensation, pure, physique et transe.
Le corps choit en toute absence d’âme intrépide.
Le spectre des affres ne tua qu’en son nom,
Entre l’histoire et l’art, et de toutes les ères
Pour le commun accord par les haches et épées.
Nous souffrions d’effroi, censure bafouée,
Que meurt cette inconnue ! Et le temps des prières,
Pour que de raison nous perdîmes l’inhibition.
Danse des macabres au sein de l’inconscient,
Et l’esprit, apparent, psychologiquement,
Souffre des tortures de ses beaux yeux hagards.
Le spectre des affres sort son surin hybride
En se plantant parfois dans l’axe de sa panse,
Entre la sensation, pure, physique et transe.
Le corps choit en toute absence d’âme intrépide.
Le spectre des affres ne tua qu’en son nom,
Entre l’histoire et l’art, et de toutes les ères
Pour le commun accord par les haches et épées.
Nous souffrions d’effroi, censure bafouée,
Que meurt cette inconnue ! Et le temps des prières,
Pour que de raison nous perdîmes l’inhibition.