Le soleil se couche sur les corons,
A l'heure où les mineurs de fonds,
Noirs de poussières de charbon,
Rentre chez eux avec un émoi profond.
Mes grands-parents ont connu cette période
Que j'aurais voulu malgré moi connaître,
Ainsi je ne suis pas née à la bonne époque,
Et la nostalgie en moi ne fait que s'émettre.
Je sais que cela est idiot,
Que la misère aurait pu m'atteindre
En ces moments de sanglots
Et alors j'aurais préféré m'éteindre.
Malgré la faible chaleur de ce soleil,
Eux seuls possédaient dans leurs coeurs
Le plaisir de vivre leur vie comme celle d'une fleur,
Eblouissante à l'été, morte au ciel de l'hiver.
Jamais ils ne se plaignaient,
Alors que nous, jeunes de la nouvelle société,
N'acceptons pas le vie
Telle que nous la vivons aujourd'hui.
Et c'est ainsi que nous devons comprendre
Que quelque soit notre chemin,
Notre destin,
Comme il vient il faut le prendre...
... car on ne sait jamais,
Ce qu'il peut arriver.
28/01/02
A l'heure où les mineurs de fonds,
Noirs de poussières de charbon,
Rentre chez eux avec un émoi profond.
Mes grands-parents ont connu cette période
Que j'aurais voulu malgré moi connaître,
Ainsi je ne suis pas née à la bonne époque,
Et la nostalgie en moi ne fait que s'émettre.
Je sais que cela est idiot,
Que la misère aurait pu m'atteindre
En ces moments de sanglots
Et alors j'aurais préféré m'éteindre.
Malgré la faible chaleur de ce soleil,
Eux seuls possédaient dans leurs coeurs
Le plaisir de vivre leur vie comme celle d'une fleur,
Eblouissante à l'été, morte au ciel de l'hiver.
Jamais ils ne se plaignaient,
Alors que nous, jeunes de la nouvelle société,
N'acceptons pas le vie
Telle que nous la vivons aujourd'hui.
Et c'est ainsi que nous devons comprendre
Que quelque soit notre chemin,
Notre destin,
Comme il vient il faut le prendre...
... car on ne sait jamais,
Ce qu'il peut arriver.
28/01/02