Le feu sous la cendre
En silence, je t’admire sans pouvoir de daigner te toucher,
Sans le savoir, tu as réveillé mon envie, mon feu, mon péché.
Tentée par la douceur de tes lèvres, de tes mains, de ton corps,
Mais je cache ma flamme sous un masque de remords.
Je rêve de ton amour en cachette, sans vouloir te blesser,
Tu es à mes yeux mon bonheur, mon espoir, ma pensée.
Je vis de tes mots, de tes gestes, de ton visage, de ton âme,
Sans bruit, je tais mon amour même si mon cœur t’acclame.
Le cœur plein d’amour, je t'aime en secret, et je ne sais que faire,
Dois-je te révéler ce que je ressens si fort où continuer à me taire ?
Dois-je risquer le tout pour le tout, tout avouer et tenter de te conquérir ?
Toi, oui, toi, tu es le seul homme qui jaillit dans les fureurs de mes désirs.
Secrètement, j’aimerais tellement rejoindre l’univers chaleureux de tes bras,
À ton égard, mon cœur vagabonde, dans l’espoir qu’un jour, on s’aimera,
Rêvant qu’un jour, tu me regardes comme je te vois et que tu viennes m’enlacer,
Si tu viens contre moi, j’aimerais très fort te serrer et langoureusement t’embrasser.
En silence, je t’admire sans pouvoir de daigner te toucher,
Sans le savoir, tu as réveillé mon envie, mon feu, mon péché.
Tentée par la douceur de tes lèvres, de tes mains, de ton corps,
Mais je cache ma flamme sous un masque de remords.
Je rêve de ton amour en cachette, sans vouloir te blesser,
Tu es à mes yeux mon bonheur, mon espoir, ma pensée.
Je vis de tes mots, de tes gestes, de ton visage, de ton âme,
Sans bruit, je tais mon amour même si mon cœur t’acclame.
Le cœur plein d’amour, je t'aime en secret, et je ne sais que faire,
Dois-je te révéler ce que je ressens si fort où continuer à me taire ?
Dois-je risquer le tout pour le tout, tout avouer et tenter de te conquérir ?
Toi, oui, toi, tu es le seul homme qui jaillit dans les fureurs de mes désirs.
Secrètement, j’aimerais tellement rejoindre l’univers chaleureux de tes bras,
À ton égard, mon cœur vagabonde, dans l’espoir qu’un jour, on s’aimera,
Rêvant qu’un jour, tu me regardes comme je te vois et que tu viennes m’enlacer,
Si tu viens contre moi, j’aimerais très fort te serrer et langoureusement t’embrasser.