La vie des amis permanents.
D'après : La mort des amants de passage de Lilasys
Dans mon petit coin, dans l'immense chaleur,
Moi petit voleur de tes mots, je cherche tes caresses,
Dans mes jours si courts, j'n'veux pas ta tristesse,
L'éclair de tes yeux s'empare de moi toutes les heures.
Tout est plus joyeux avec tes expressions sans détours,
Comme cette fleur odorante quand on coupe sa tige,
Ne laissant aucun râle, ni même aucun de ses beaux vestiges,
Cette bise du nord avec le vent d'autan me joue des tours.
M'éveillant sous cette lune pleine, te sachant gaie, jalouse,
Comme cette orchidée qui dors, rêvant de mon humour,
Laissant pour mort les idiots qui polluent tes nuits d'amour,
Toi la grande maîtresse des petites âmes andalouses.
La glace sera cassée sur ce beau paysage, l'arôme du plus beau,
En surface, tes pensées de nouveau feront des risettes,
Elles te délivreront sous un soleil aux rayons de midinettes,
Je t'ouvre toutes les serrures et t'estime, te délivrant du tombeau.
D'après : La mort des amants de passage de Lilasys
Dans mon petit coin, dans l'immense chaleur,
Moi petit voleur de tes mots, je cherche tes caresses,
Dans mes jours si courts, j'n'veux pas ta tristesse,
L'éclair de tes yeux s'empare de moi toutes les heures.
Tout est plus joyeux avec tes expressions sans détours,
Comme cette fleur odorante quand on coupe sa tige,
Ne laissant aucun râle, ni même aucun de ses beaux vestiges,
Cette bise du nord avec le vent d'autan me joue des tours.
M'éveillant sous cette lune pleine, te sachant gaie, jalouse,
Comme cette orchidée qui dors, rêvant de mon humour,
Laissant pour mort les idiots qui polluent tes nuits d'amour,
Toi la grande maîtresse des petites âmes andalouses.
La glace sera cassée sur ce beau paysage, l'arôme du plus beau,
En surface, tes pensées de nouveau feront des risettes,
Elles te délivreront sous un soleil aux rayons de midinettes,
Je t'ouvre toutes les serrures et t'estime, te délivrant du tombeau.