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La lettre à l'illusion - (verset 1)

rivrain

Nouveau poète
#1
Tes yeux flous me questionnent sans envies de réponses.

Je repose mon attention, sans un geste, et sans prononcer, tout ce qu’il me reste à dire.

Ta silhouette se reprend, ton regard se détourne, avec apparemment, l’Image de quelqu’un d’autre à qui penser, pour te sentir autre.

Dans ‘ta fuite en abandon’, tes non dits s’apparentent à tes réponses ;

Celles que j’aperçois pour tellement !

Avec toutes ces belles phrases ;

Celles que l’on vante comme des souvenirs.

Comment les prononcer sans les ressentir ?

Peut-être parce que ces mots : ne sont plus que des mots qui s’éprennent des reproches pesant sur nos rancœurs !

Voici toute notre clarté, habituée à reprendre et à relever, pour prétexter nos absences : avec notre méfiance…

Ainsi, le passé s’amoncelle dans de ritournelles Obsessions, désencombré de la raison d’aimer vraiment.

Nos voies de peines ont creusé leur cul-de-sac, avec des jurements raccourcis, comme ;

“ Avec toi, tout est si important ! ” -

Et maintenant ?

L’Autre ! Cet unique rapport ! Si transporté vers ses Abîmes de sur Bonheur, reflète son indifférence, jusque dans ses

mensonges.

Ensuite ;

En bons Camarades, nous nous racontons de nouveaux les mêmes choses, sur un Ton plus pronateur : “ Comment vas-tu ? ”

-À partir de cela, commence l’Exil !

Le Mieux, Ennemi jurant, peut nous laisser las.

Alors, autant faire pire !

Surtout avec cette prochaine marque de tendresse, attendue par un pied si ferme, pour assister la naissance du sentiment

séparateur de l’Union, et admirer une exaltation que nos membres aboient.


Nos années communes ont encerclé notre intimité, avec l’interrogatoire centrifuge de nos peurs ;

L’un contre l’autre.

Depuis, nos gestes et nos dires se transfèrent vers quelques autres, différents, insinuant plaisirs et divergences :

dans l’Entrepôt des phantasmes et des possessions.

Nous pouvons enfin, reprendre la mission de nos craintes, en feignant une fois de plus, de n’admettre qu’il y a

‘toujours’ avant jamais.
 

thesmile

Maître Poète
#2
"désencombré de la raison d'aimer vraiment"; votre écrit est une matière à réflexion, je le trouve riche et plutôt parleur, bien que je ne retiens pas l'ensemble... Je vous remercie de ce partage.
 

Vaury

Nouveau poète
#3
Alors puisque toutes ces questions deviennent l'inutilité , pourquoi ne pas dire jamais avant toujours et laisser place à la pléthorique........ PS t as vu je t ai trouvé :)
 

Vaury

Nouveau poète
#4
Grrrr expliques mieu xà lizbeth
tu prends (terre promise )
défilement des mots ?
essaies de trouver une voix sinon ben déroulement de mot sur vidéo
A + Philippe