La fin dévore toute chose, elle nous suit, sans jamais s'arrêter et achèvera même cette prose. Elle nous guette et ne cesse de nous traquer. Certaines éveilleront la joie, d'autres la tristesse. Tic-tac, le temps passe et se presse. Profitez de toutes choses mes amis car j'entends, qui se dirigent vers la porte, des pas, les bruits.
Un jour viendra où nous nous retrouverons, loins des adieux et des complaintes des violons.
Mais en attendant, je vous dis au revoir, avec l'espoir de ne pas, en partant, vous décevoir.
Un jour viendra où nous nous retrouverons, loins des adieux et des complaintes des violons.
Mais en attendant, je vous dis au revoir, avec l'espoir de ne pas, en partant, vous décevoir.