Tel l’effluve du jardin secret
Que dissimule un tout un chacun
Je cache au fond de moi
L’esquisse de mes œuvres vidées par le chagrin
Morfondre dans le noyau de ce monde
Une image arrangée de son apparence
De sa personnalité vile et dérangée
Et se fondre quelques temps la bas pour exister
Eloigner sa pensée de son corps
La sentir seule mais vivante
Quand lui se croit vivre mais presque mort
Et que les gens me croient ivre et moi si fort
Ai-je oublié l’odeur de la douceur
D’un unique et sublime pétale de rose sur mon corps
Suis-je ici en tord comme si le paradoxe
De mon humeur filtre le manque d’amour que je pleure
Il vient si proche le moment de l’exutoire
Celui la qui éclairera mon propre paraître
Qui me dira enfin qui dois-je être
Pour qu’il se rende sincère et que je le comprenne
Que dissimule un tout un chacun
Je cache au fond de moi
L’esquisse de mes œuvres vidées par le chagrin
Morfondre dans le noyau de ce monde
Une image arrangée de son apparence
De sa personnalité vile et dérangée
Et se fondre quelques temps la bas pour exister
Eloigner sa pensée de son corps
La sentir seule mais vivante
Quand lui se croit vivre mais presque mort
Et que les gens me croient ivre et moi si fort
Ai-je oublié l’odeur de la douceur
D’un unique et sublime pétale de rose sur mon corps
Suis-je ici en tord comme si le paradoxe
De mon humeur filtre le manque d’amour que je pleure
Il vient si proche le moment de l’exutoire
Celui la qui éclairera mon propre paraître
Qui me dira enfin qui dois-je être
Pour qu’il se rende sincère et que je le comprenne