Hors concours
Espace intemporel....
Perdue au fin fond de l'univers, j'imagine être un ange qui flotte dans les airs, je navigue, à bord d'une navette aux parois de diamant, bleue et translucide où joue la lumière céleste; symphonie de couleurs irisées émettant des notes cristallines...
De ce mirador, je peux dire adieu aux océans et aux reliefs terrestres verdoyants et fleuris, où le jour et la nuit en duo, semblent un yin et yang titanesque, un cache-cache infini...Près de moi, une rose encore fraîche me rappelle combien ma planète était belle...Mais très vite, je me sens merveilleusement bien, car je peux parcourir, à la vitesse d'années-lumière, un monde inconnu, aller de l'alpha à l'oméga, de toute forme de vie....Tout autour de moi, d'intempestives explosions galactiques se perdent en milliards de particules, pareilles à des roses de sable flamboyantes, je peux suivre la course des étoiles filantes...Je m'éloigne de plus en plus de ma planète qui disparaît au cœur d'une spirale de nuées célestes aux reflets arc-en-ciel...Je décide alors, de revêtir une combinaison à peine plus épaisse qu'une peau humaine, composée de prismes captant les couleurs du spectre solaire. Le sas d'argent s'ouvre, le cœur battant, j'entre en apesanteur. A ma grande surprise je me sens légère, légère...Je danse et tourbillonne, me laisse porter par les vents de cet espace intersidéral, j'entends les orgues du ciel, les étoiles qui crépitent...Mon âme fait l'amour avec l'univers... A des milliards d'années-lumière, je vis la plénitude, je revis l'expérience de mon cocon originel et peux sentir sa chaleur...mais prudente, je regagne ma navette de diamant...où je peux à loisirs contempler la valse d'une infinitude d'opales géantes ...J'assiste à la naissance des planètes, je les entends siffler...Elles chantent...Triomphale, la vie apparaît au centre de nuées bouillonnantes, je suis tel Icare, le voyageur de l'espace entrant dans le système solaire, imaginant une fraction de seconde terrestre, que je peux approcher le soleil sans me brûler les ailes, je dérive au royaume de l'amour incommensurable....
Mais tout cela n'est qu'un rêve et je m'éveille...Complice, le soleil me fait un clin d’œil...
Espace intemporel....
Perdue au fin fond de l'univers, j'imagine être un ange qui flotte dans les airs, je navigue, à bord d'une navette aux parois de diamant, bleue et translucide où joue la lumière céleste; symphonie de couleurs irisées émettant des notes cristallines...
De ce mirador, je peux dire adieu aux océans et aux reliefs terrestres verdoyants et fleuris, où le jour et la nuit en duo, semblent un yin et yang titanesque, un cache-cache infini...Près de moi, une rose encore fraîche me rappelle combien ma planète était belle...Mais très vite, je me sens merveilleusement bien, car je peux parcourir, à la vitesse d'années-lumière, un monde inconnu, aller de l'alpha à l'oméga, de toute forme de vie....Tout autour de moi, d'intempestives explosions galactiques se perdent en milliards de particules, pareilles à des roses de sable flamboyantes, je peux suivre la course des étoiles filantes...Je m'éloigne de plus en plus de ma planète qui disparaît au cœur d'une spirale de nuées célestes aux reflets arc-en-ciel...Je décide alors, de revêtir une combinaison à peine plus épaisse qu'une peau humaine, composée de prismes captant les couleurs du spectre solaire. Le sas d'argent s'ouvre, le cœur battant, j'entre en apesanteur. A ma grande surprise je me sens légère, légère...Je danse et tourbillonne, me laisse porter par les vents de cet espace intersidéral, j'entends les orgues du ciel, les étoiles qui crépitent...Mon âme fait l'amour avec l'univers... A des milliards d'années-lumière, je vis la plénitude, je revis l'expérience de mon cocon originel et peux sentir sa chaleur...mais prudente, je regagne ma navette de diamant...où je peux à loisirs contempler la valse d'une infinitude d'opales géantes ...J'assiste à la naissance des planètes, je les entends siffler...Elles chantent...Triomphale, la vie apparaît au centre de nuées bouillonnantes, je suis tel Icare, le voyageur de l'espace entrant dans le système solaire, imaginant une fraction de seconde terrestre, que je peux approcher le soleil sans me brûler les ailes, je dérive au royaume de l'amour incommensurable....
Mais tout cela n'est qu'un rêve et je m'éveille...Complice, le soleil me fait un clin d’œil...
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