Elle m’appelle, cette voix, tout au fond de mon cœur.
Ravivant ainsi les antiques douleurs.
Moi qui attends, tout le jour durant, de retrouver mes songes,
Pour de mes bras étreindre sa lumière.
Retrouvant alors, la lueur de ses yeux, la douceur de sa chair.
Elle m’appelle, cette voix, de l’autre côté de la rive,
Invitant ainsi mon âme à la dérive.
Puis vient le soleil, chassant l’illusion,
Et mon cœur cesse de battre, quand je lui dis adieu.
Mon corps esseulé, silencieux,
Retourne alors au monde et à ses déraisons,
Dénué de couleur, dénué de ses yeux.
Je l’entends alors, cette voix, tout au fond de mon cœur.
.
J’ai franchi des océans de tristesse,
Sillonné encore les chemins de mon cœur.
Je suis ce voyageur, voguant sur les rivages,
Et refaisant encore les mêmes erreurs.
Elle m’appelle encore, cette voix, murée dans chaque souvenir,
Et dont je garde chacun des murmures.
Je suis ce voyageur connaissant le noir de l’enfer,
Pour l’avoir traversé à chaque chute.
Je l’entends alors, cette voix, qui chante pour me ravir.
.
Chacun de mes pas me porte vers la fin,
Mais il semble si long, le chemin.
Elle m’appelle, cette voix tout au fond de mon cœur,
Je le retrouverai un jour, sur cet autre rive.
.
Ravivant ainsi les antiques douleurs.
Moi qui attends, tout le jour durant, de retrouver mes songes,
Pour de mes bras étreindre sa lumière.
Retrouvant alors, la lueur de ses yeux, la douceur de sa chair.
Elle m’appelle, cette voix, de l’autre côté de la rive,
Invitant ainsi mon âme à la dérive.
Puis vient le soleil, chassant l’illusion,
Et mon cœur cesse de battre, quand je lui dis adieu.
Mon corps esseulé, silencieux,
Retourne alors au monde et à ses déraisons,
Dénué de couleur, dénué de ses yeux.
Je l’entends alors, cette voix, tout au fond de mon cœur.
.
J’ai franchi des océans de tristesse,
Sillonné encore les chemins de mon cœur.
Je suis ce voyageur, voguant sur les rivages,
Et refaisant encore les mêmes erreurs.
Elle m’appelle encore, cette voix, murée dans chaque souvenir,
Et dont je garde chacun des murmures.
Je suis ce voyageur connaissant le noir de l’enfer,
Pour l’avoir traversé à chaque chute.
Je l’entends alors, cette voix, qui chante pour me ravir.
.
Chacun de mes pas me porte vers la fin,
Mais il semble si long, le chemin.
Elle m’appelle, cette voix tout au fond de mon cœur,
Je le retrouverai un jour, sur cet autre rive.
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