Ici la nature se meurt,
Pleine de souffrance et de pleurs,
Ne nous inspirant que la peur
Coupables d’être des tueurs.
Les arbres, petit à petit,
S’inclinent dans leurs pauvres vies,
Ne cessant de payer le prix,
D’être une source de profit.
Et nous autres pauvres humains,
Se disant être citoyens,
Sans pour autant tendre la main,
A nos fidèles anges gardiens.
Pouvoir sentir du bois de chêne,
Pouvoir parler à un ébène,
Voir Dame Nature qui reprenne
Le dessus sur une vie malsaine.
C’est un combat perdu d’avance
Même si tout le monde y pense
Car autour de nous la mort danse
Sous l’étendard de la vengeance.
Pleine de souffrance et de pleurs,
Ne nous inspirant que la peur
Coupables d’être des tueurs.
Les arbres, petit à petit,
S’inclinent dans leurs pauvres vies,
Ne cessant de payer le prix,
D’être une source de profit.
Et nous autres pauvres humains,
Se disant être citoyens,
Sans pour autant tendre la main,
A nos fidèles anges gardiens.
Pouvoir sentir du bois de chêne,
Pouvoir parler à un ébène,
Voir Dame Nature qui reprenne
Le dessus sur une vie malsaine.
C’est un combat perdu d’avance
Même si tout le monde y pense
Car autour de nous la mort danse
Sous l’étendard de la vengeance.
Nature