Il est là, toujours présent dans la chair et dans les veines,
Il est là, embrassant toute parcelle de corps, il m'entraîne,
Vers le septième ciel, tout en délicatesse et lenteur,
Mais sur ses ailes, on y sent comme un souffle menteur...
Vous le connaissez, aussi bien que moi,
Vous le méprisez, ou vous en fichez c'est à voir,
Ce souffle de menteur, celui qui dans ses bras,
Vous promettait mille et un mirages...
Des mirages oui, tout ce que j'avais cru voir,
Tout ce que j'osais penser savoir,
Tout ce dont j'étais certaine,
Tout s'écroula sauf ma peine.
L'amour, vous embrasse et vous fait perdre la tête,
Le jour, vous étreint jusqu'à ce que vous soyez prête,
Sous son joug, à souffrir pendant des heures,
Du manque, de la solitude, dus à ce souffle menteur.
C'est celui que j'aime de tout mon être, celui qui me fait vibrer,
Qui me prend en traitre, à chaque mot et chaque promesse prononcés,
Il me dit "j'ai du travail ne m'attends pas pour dîner"
C'est ce souffle menteur qui prétend m'aimer,
Je l'attends des jours durant, ses séminaires prenant tout son temps.
Me disant "Ne t'inquiète pas mon amour c'est juste de l'amitié"
Et pensant évidemment, que je ne me doute pas qu'il ment...
C'est cette douleur qui me torture, vous la connaissez,
Votre coeur qui se censure, partagé entre deux sentiments,
Tandis que c'est dans les bras d'une autre que se trouve l'être aimé...
L'aimer trop pour le détester, l'aimer trop pour le mépriser.
Vous avez envie de ne plus souffrir, et vous pensez,
Que vous aurez encore plus mal après l'avoir quitté...
Alors c'est dans la douceur incongrue de la liqueur,
Que vous essayez de soigner votre coeur...
Il est là, embrassant toute parcelle de corps, il m'entraîne,
Vers le septième ciel, tout en délicatesse et lenteur,
Mais sur ses ailes, on y sent comme un souffle menteur...
Vous le connaissez, aussi bien que moi,
Vous le méprisez, ou vous en fichez c'est à voir,
Ce souffle de menteur, celui qui dans ses bras,
Vous promettait mille et un mirages...
Des mirages oui, tout ce que j'avais cru voir,
Tout ce que j'osais penser savoir,
Tout ce dont j'étais certaine,
Tout s'écroula sauf ma peine.
L'amour, vous embrasse et vous fait perdre la tête,
Le jour, vous étreint jusqu'à ce que vous soyez prête,
Sous son joug, à souffrir pendant des heures,
Du manque, de la solitude, dus à ce souffle menteur.
C'est celui que j'aime de tout mon être, celui qui me fait vibrer,
Qui me prend en traitre, à chaque mot et chaque promesse prononcés,
Il me dit "j'ai du travail ne m'attends pas pour dîner"
C'est ce souffle menteur qui prétend m'aimer,
Je l'attends des jours durant, ses séminaires prenant tout son temps.
Me disant "Ne t'inquiète pas mon amour c'est juste de l'amitié"
Et pensant évidemment, que je ne me doute pas qu'il ment...
C'est cette douleur qui me torture, vous la connaissez,
Votre coeur qui se censure, partagé entre deux sentiments,
Tandis que c'est dans les bras d'une autre que se trouve l'être aimé...
L'aimer trop pour le détester, l'aimer trop pour le mépriser.
Vous avez envie de ne plus souffrir, et vous pensez,
Que vous aurez encore plus mal après l'avoir quitté...
Alors c'est dans la douceur incongrue de la liqueur,
Que vous essayez de soigner votre coeur...
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