Comme tu es belle , Ô ma colline ,
quand je te regarde du haut pont ,
voyant les eaux noirâtres du fleuve
se diriger lentement vers toi .
Et puis je contemple ta pente si parfaite ,
façonnée par la nature depuis tant de siècles .
Puis quand je regarde tes teintes vertes ,
dont sont revêtus les innombrables arbres
qui te garnissent ; mais aussi cette clairière
dont les tons verts
varient selon du soleil la lumière .
Ô ma colline , tu es celle de ma jeunesse ,
et maintenant de ma vieillesse.
Mais toujours du regard je te caresse ,
quand je passe devant toi .
Car tu es la colline de mes rêves ,
Ô ma colline , pentue à mes lèvres
quand je te regarde du haut pont ,
voyant les eaux noirâtres du fleuve
se diriger lentement vers toi .
Et puis je contemple ta pente si parfaite ,
façonnée par la nature depuis tant de siècles .
Puis quand je regarde tes teintes vertes ,
dont sont revêtus les innombrables arbres
qui te garnissent ; mais aussi cette clairière
dont les tons verts
varient selon du soleil la lumière .
Ô ma colline , tu es celle de ma jeunesse ,
et maintenant de ma vieillesse.
Mais toujours du regard je te caresse ,
quand je passe devant toi .
Car tu es la colline de mes rêves ,
Ô ma colline , pentue à mes lèvres