La jupe permet aux doigts de s’exprimer, De s’enfouir sauvagement dans ta féminité, Elle permet à la langue ainsi de s’exprimer En toute impunité, dans le plus grand secret. L’érotisme est un parfait état de ressenti et d’imagination, Mais a surtout pouvoir à mettre mes sens en ébullition. L’érotisme, c’est quand on le fait, Le porno, c’est quand on regarde Disait un poète légèrement débridé, Arrêtons le Porno, ma paillarde. La beauté a ses formes, ses cambrures et ses courbes, Tu en es son éclat, tu traduis bien cela, Et dire son contraire, c’est être un vrai fourbe, Ou peut-être un aveugle, un mec qui ne voit pas. Donne-moi le crayon qui a dû te dessiner, Donne-moi la peinture qui t’a badigeonnée, Et je serai l’égal de Renoir ou Manet. Qu’il est bon de peloter ton cul en montant l’escalier, Ressentir cette fraicheur, cette saveur et cette fermeté, Bel instant érotique où s’mélange plaisir et envie, De cette montée des marches qui mène au Paradis. Force est de constatée que ce décolleté Illumine mon regard par sa grâce, sa beauté, Je m’imagine même dégrafer ce bouton, Et libérer ainsi ce joli mamelon, Mais ne t’inquiète pas, pure imagination D’un mec qui aime ainsi savourer sa passion. Et cette invitation, vas-tu me l’accepter, Ou devrais-je plutôt me coucher à tes pieds ? Pour moi, c’est le plaisir, t’inviter à midi, Je serai face à toi, alors me dis-tu oui ? Dans cet habit d’lumière, tu seras mon soleil, Cet astre bouillonnant qui n’a pas son pareil, Ma peau sera halée par tes divins rayons, Un coup de ce soleil, je ne dirai pas non.