Aux marches du Palais
J'ai vu la vérité, et j'en suis satisfait,
Que soit le déhanché, toujours bien s'accrocher,
Sous l’œillade complice, la lune salivait,
Au charnel expansif, nos ombres rapprochées.
Le besoin de lumière, la pareille éclairée,
Et c'était presque hier, les âmes se sont touchées,
Frémissant sur les peaux, d'un instant éthéré,
Aux mains qui se recherchent, à nos corps attisés.
De la nuit la plus sombre jusqu'aux lueurs rêvées,
Impossible Marche-ombre en notre blanc palais,
Sous le clair des étoiles, l'obscurité gravée,
Dans un levé de voile, au forme d'un ballet.
Et dansent les images, au son du menuet,
Là où plus rien n'est sage commençons la dictée,
D'un alphabet de sens, sur nos chairs en brasier,
Nos lèvres s’effleurant, désirs d'avidités.
Phoeube, Matthale ©(22/09/2018)
J'ai vu la vérité, et j'en suis satisfait,
Que soit le déhanché, toujours bien s'accrocher,
Sous l’œillade complice, la lune salivait,
Au charnel expansif, nos ombres rapprochées.
Le besoin de lumière, la pareille éclairée,
Et c'était presque hier, les âmes se sont touchées,
Frémissant sur les peaux, d'un instant éthéré,
Aux mains qui se recherchent, à nos corps attisés.
De la nuit la plus sombre jusqu'aux lueurs rêvées,
Impossible Marche-ombre en notre blanc palais,
Sous le clair des étoiles, l'obscurité gravée,
Dans un levé de voile, au forme d'un ballet.
Et dansent les images, au son du menuet,
Là où plus rien n'est sage commençons la dictée,
D'un alphabet de sens, sur nos chairs en brasier,
Nos lèvres s’effleurant, désirs d'avidités.
Phoeube, Matthale ©(22/09/2018)