Penché, tu regardes l’horizon, triste, seul, amer. Quelque chose s’est brisé en toi. La tête penchée, tu sembles réfléchir. Comme tu me sembles désemparé! Je te regarde, le coeur serré. Dois-je passer mon chemin et te laisser ou bien venir te prendre la main?
Cruel dilemme. Je dois choisir. Tourne la tête. Tu es si désemparé, si vulnérable. J’ai peur de te blesser. Alors, je choisis pour toi, mon idée la plus belle. Viens, donne moi la main. Laisse toi entraîner, par cet ange qui vient de s’approcher.
Je t’obligerai à t’allonger, sur les nuages parfumés. Je te ferai fermer les yeux t’obligeant à respirer, respirer un air inconnu. Un air qui va t’enchanter qui va te changer les idées.
Laisse entrer, en toi, la Vie, découvrir ses cascades de rires stupéfiantes; te faire connaître des instants de douce folie, éloignant de toi tes chimères. Laisse moi effleurer le bord délicieux de tes lèvres, goûter le sel de ta peau; être sans paraître, illuminant tes yeux, de paillettes comme un jour qui se lève.
Laisse moi t’emporter, dans les airs. Laisse le vent caresser ta peau, le laisser te porter dans des effluves fraîches, gémir, doucement, en frémissant d’aise. Laisse moi calmer de ma main, ta peau adoucir cette larme sur ta joue, effacer ce regard éteint, t’offrir le meilleur de moi-même.
Laisse moi t’aimer et je te guiderai comme seul un ange sait le faire, illuminant ton regard de soleil, t’entraînant, joyeusement, vers la lumière. Et si une seule larme reste, près de toi, je resterai, je t’aimerai comme seul un ange sait le faire.
Viens, ne regarde plus jamais en arrière. Laisse moi te montrer le chemin. Ce chemin qui t’emmène vers la lumière, là ou tu seras si heureux. Viens, ne crains plus rien. Viens, prends ma main, là où règne la lumière, tu découvriras comme on y est bien.
- Viens, je ne suis qu’un ange de lumière qui t’emmène, te sourit d’un sourire, si doux, que tu éprouveras l’envie, soudaine, de voltiger, joyeux, dans les airs, sans crainte des lendemains, puisqu’un ange se tient à tes cotés...
Reve51
Cruel dilemme. Je dois choisir. Tourne la tête. Tu es si désemparé, si vulnérable. J’ai peur de te blesser. Alors, je choisis pour toi, mon idée la plus belle. Viens, donne moi la main. Laisse toi entraîner, par cet ange qui vient de s’approcher.
Je t’obligerai à t’allonger, sur les nuages parfumés. Je te ferai fermer les yeux t’obligeant à respirer, respirer un air inconnu. Un air qui va t’enchanter qui va te changer les idées.
Laisse entrer, en toi, la Vie, découvrir ses cascades de rires stupéfiantes; te faire connaître des instants de douce folie, éloignant de toi tes chimères. Laisse moi effleurer le bord délicieux de tes lèvres, goûter le sel de ta peau; être sans paraître, illuminant tes yeux, de paillettes comme un jour qui se lève.
Laisse moi t’emporter, dans les airs. Laisse le vent caresser ta peau, le laisser te porter dans des effluves fraîches, gémir, doucement, en frémissant d’aise. Laisse moi calmer de ma main, ta peau adoucir cette larme sur ta joue, effacer ce regard éteint, t’offrir le meilleur de moi-même.
Laisse moi t’aimer et je te guiderai comme seul un ange sait le faire, illuminant ton regard de soleil, t’entraînant, joyeusement, vers la lumière. Et si une seule larme reste, près de toi, je resterai, je t’aimerai comme seul un ange sait le faire.
Viens, ne regarde plus jamais en arrière. Laisse moi te montrer le chemin. Ce chemin qui t’emmène vers la lumière, là ou tu seras si heureux. Viens, ne crains plus rien. Viens, prends ma main, là où règne la lumière, tu découvriras comme on y est bien.
- Viens, je ne suis qu’un ange de lumière qui t’emmène, te sourit d’un sourire, si doux, que tu éprouveras l’envie, soudaine, de voltiger, joyeux, dans les airs, sans crainte des lendemains, puisqu’un ange se tient à tes cotés...
Reve51