"Encore une danse, je sais que tu veux danser ...
Une valse latente sous les peupliers"
Contre ma joue je t'entends encore murmurer,
Et dans mon corps ressens cette attraction physique...
Et j'écoute le vent muer le divin lyrique,
En un cri perçant cette réalité onirique...
J'ai beau hurler, me jeter contre la glace,
Essayé d'effacer ce que je vois...
De ma douleur, cette peine n'est que la préface,
Et j'en reste sans voix...
En plein rêve tu t'es donné le droit,
De verser la sève de mon amour pour toi,
D'arracher nos racines, de t'enfuir ...
De brûler la cime de notre avenir...
J'ai besoin d'air, de respirer,
Ton odeur dessine des senteurs indélébiles
Sur ma peau aux milles et une feuilles imprégnées...
Et je me demande si tu as trouvé cela facile...
Tous les jours, depuis le commencement...
Toujours tu voyais le verre à moitié vide...
Je me demande ce que l'on ressent,
Lorsque l'on perce sa chrysalide...
De mes lèvres s'échapperaient enfin,
Les souffles empoisonnés d'amour pantois...
Comment as-tu pu laisser seul, mon coeur encore empreint
D'une folie qui brise les lois...
Je me demande encore et encore,
Si à la lueur de nos deux corps,
Tu avais déjà sombré vers la mort,
Si tu avais déjà décidé de ton sort,
Caressant ma peau sans efforts...
Je n'avais donc pas le droit à ma fin heureuse ?!
Aux fleurs bleues et somptueuses..
À ta peau tendre et laiteuse..
Aux baisers, aux souffles, et aux paroles précieuses..
N'avais -je donc pas le droit d'être amoureuse ?!
D'un simple geste tu as décidé de nos destins,
Tu as mis fin au tien,
Et scellé à jamais le mien.
Condamnée à errer dans ton souvenir...
Condamnée à vivre un amour inachevé...
Qui dans les yeux de nos enfants se reflète à n'en plus finir,
Me rappellant chaque jour à ton geste inexpliqué...
Une valse latente sous les peupliers"
Contre ma joue je t'entends encore murmurer,
Et dans mon corps ressens cette attraction physique...
Et j'écoute le vent muer le divin lyrique,
En un cri perçant cette réalité onirique...
J'ai beau hurler, me jeter contre la glace,
Essayé d'effacer ce que je vois...
De ma douleur, cette peine n'est que la préface,
Et j'en reste sans voix...
En plein rêve tu t'es donné le droit,
De verser la sève de mon amour pour toi,
D'arracher nos racines, de t'enfuir ...
De brûler la cime de notre avenir...
J'ai besoin d'air, de respirer,
Ton odeur dessine des senteurs indélébiles
Sur ma peau aux milles et une feuilles imprégnées...
Et je me demande si tu as trouvé cela facile...
Tous les jours, depuis le commencement...
Toujours tu voyais le verre à moitié vide...
Je me demande ce que l'on ressent,
Lorsque l'on perce sa chrysalide...
De mes lèvres s'échapperaient enfin,
Les souffles empoisonnés d'amour pantois...
Comment as-tu pu laisser seul, mon coeur encore empreint
D'une folie qui brise les lois...
Je me demande encore et encore,
Si à la lueur de nos deux corps,
Tu avais déjà sombré vers la mort,
Si tu avais déjà décidé de ton sort,
Caressant ma peau sans efforts...
Je n'avais donc pas le droit à ma fin heureuse ?!
Aux fleurs bleues et somptueuses..
À ta peau tendre et laiteuse..
Aux baisers, aux souffles, et aux paroles précieuses..
N'avais -je donc pas le droit d'être amoureuse ?!
D'un simple geste tu as décidé de nos destins,
Tu as mis fin au tien,
Et scellé à jamais le mien.
Condamnée à errer dans ton souvenir...
Condamnée à vivre un amour inachevé...
Qui dans les yeux de nos enfants se reflète à n'en plus finir,
Me rappellant chaque jour à ton geste inexpliqué...
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