Lasse, lasse de vivre sans elles.
Elles qui donnaient un sens a ma vie
Mais la distance, peu à peu, les pousse dans l'oubli.
Alors que de tout mon corps, mon coeur, mon âme
Je refuse cette déchirure.
Le temps coule et s'écoule sans murmure
Indifférent à ma douleur, bourreau de mon âme !
Le temps qui croit que je m'estime forte
Le temps qui me dit sotte
Il dit que rien ni personne ne s'oppose à lui.
Il a tort...
Je ne m'estime pas forte...
Je me meurs de leur absence...
Elles qui donnaient un sens a ma vie
Mais la distance, peu à peu, les pousse dans l'oubli.
Alors que de tout mon corps, mon coeur, mon âme
Je refuse cette déchirure.
Le temps coule et s'écoule sans murmure
Indifférent à ma douleur, bourreau de mon âme !
Le temps qui croit que je m'estime forte
Le temps qui me dit sotte
Il dit que rien ni personne ne s'oppose à lui.
Il a tort...
Je ne m'estime pas forte...
Je me meurs de leur absence...