L'odeur du vide,
s'inspire par la narine,
plus facilement que la farine,
mais n'attise pas l'avide.
Le gout du rien,
la saveur fadasse,
de la patate du bidasse,
meilleur est le purin.
Touché de l’ absence,
frisson de la caresse,
ou claque sur la fesse,
se voit en abstinence.
Regard de l'invisible,
qui perce le néant,
scrute en se retournant,
mais ne trouve pas sa cible.
L’ écoute de l’ abîme,
écho de la vengeance,
cherche à faire séance,
à se simuler victime.
Privé de mes atours,
je suis seul dans le noir,
ma seule chaleur comme espoir,
d' attirer enfin l' amour.
O.
s'inspire par la narine,
plus facilement que la farine,
mais n'attise pas l'avide.
Le gout du rien,
la saveur fadasse,
de la patate du bidasse,
meilleur est le purin.
Touché de l’ absence,
frisson de la caresse,
ou claque sur la fesse,
se voit en abstinence.
Regard de l'invisible,
qui perce le néant,
scrute en se retournant,
mais ne trouve pas sa cible.
L’ écoute de l’ abîme,
écho de la vengeance,
cherche à faire séance,
à se simuler victime.
Privé de mes atours,
je suis seul dans le noir,
ma seule chaleur comme espoir,
d' attirer enfin l' amour.
O.
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